Investing.com - Les bourses européennes ont aggravé leur repli ce mardi après-midi, subissant les inquiétudes au sujet de la gestion des restes de la crise de la dette régionale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 se repliait de 0,77%, le CAC 40 français de 0,63%, et le DAX 30 allemand de 1,11%.
Les valeurs européennes se sont en effet retrouvées fragilisées après que Vito Gaspar, ministre des finances du Portugal, ait démissionné dans la soirée, des informations ayant récemment fait état d'une aggravation du déficit budgétaire au premier trimestre.
Des représentants des autorités européennes ont quand à eux fait savoir en cours de matinée que la Grèce disposait de trois jours pour trouver un accord avec la troïka de ses bailleurs de fonds afin de se voir octroyer la prochaine tranche d'aides lors du sommet que les ministres des finances de l'Eurogroupe tiendront lundi.
Les yeux se tournaient désormais vers les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance était du coup plutôt en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,17%, suivie du français Société Générale avec 0,43%, dont le compatriote BNP Paribas empochait par contre 0,38%.
La périphérie était plus unannime, l'espagnol Banco Santander trébuchant de 0,76%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec respectivement 0,24 et 0,77%.
A Paris, Michelin, premier fabricant de pneus du continent, s'aggripait à ses 2,68% de gains après qu'UBS AG en ait recommandé l'achat.
A Francfort, le fournisseur de composants électroniques Dialog Semiconductor, dont les produits sont utilisés dans l'iPhone d'Apple, était aussi en pointe avec 2,98%, ayant accepter d'acquérir IWatt Inc. pour une somme qui pourrait atteindre 345 millions d'USD.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, sombrait de 0,40%, bien qu'il ait été souligné que le bâtiment britannique avait connu le mois passé son expansion la plus rapide depuis mai 2012.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto voyaient leurs avancées fondre, n'amassant plus que 0,51 et 0,73%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,25%, leur rival Polymetal persistant cependant à s'élever, avec 5,20%.
La City suivait le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking limitant les dégâts à 0,3%, et HSBC Holdings à 0,95%, Barclays et la Royal Bank of Scotland coiffant le bonnet d'âne avec 1,14 et 2,72%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,43%.
Les autorités de l'Espagne avaient auparavant dénombré 127.200 chômeurs de moins pour juin, prolongeant les 98.300 précédents.
Les experts ne pensaient pourtant pas voir cette soustraction dépasser les 83.500 pour la période considérée.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des commandes passées auprès de leurs usines.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 se repliait de 0,77%, le CAC 40 français de 0,63%, et le DAX 30 allemand de 1,11%.
Les valeurs européennes se sont en effet retrouvées fragilisées après que Vito Gaspar, ministre des finances du Portugal, ait démissionné dans la soirée, des informations ayant récemment fait état d'une aggravation du déficit budgétaire au premier trimestre.
Des représentants des autorités européennes ont quand à eux fait savoir en cours de matinée que la Grèce disposait de trois jours pour trouver un accord avec la troïka de ses bailleurs de fonds afin de se voir octroyer la prochaine tranche d'aides lors du sommet que les ministres des finances de l'Eurogroupe tiendront lundi.
Les yeux se tournaient désormais vers les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance était du coup plutôt en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,17%, suivie du français Société Générale avec 0,43%, dont le compatriote BNP Paribas empochait par contre 0,38%.
La périphérie était plus unannime, l'espagnol Banco Santander trébuchant de 0,76%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec respectivement 0,24 et 0,77%.
A Paris, Michelin, premier fabricant de pneus du continent, s'aggripait à ses 2,68% de gains après qu'UBS AG en ait recommandé l'achat.
A Francfort, le fournisseur de composants électroniques Dialog Semiconductor, dont les produits sont utilisés dans l'iPhone d'Apple, était aussi en pointe avec 2,98%, ayant accepter d'acquérir IWatt Inc. pour une somme qui pourrait atteindre 345 millions d'USD.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, sombrait de 0,40%, bien qu'il ait été souligné que le bâtiment britannique avait connu le mois passé son expansion la plus rapide depuis mai 2012.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto voyaient leurs avancées fondre, n'amassant plus que 0,51 et 0,73%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,25%, leur rival Polymetal persistant cependant à s'élever, avec 5,20%.
La City suivait le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking limitant les dégâts à 0,3%, et HSBC Holdings à 0,95%, Barclays et la Royal Bank of Scotland coiffant le bonnet d'âne avec 1,14 et 2,72%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,43%.
Les autorités de l'Espagne avaient auparavant dénombré 127.200 chômeurs de moins pour juin, prolongeant les 98.300 précédents.
Les experts ne pensaient pourtant pas voir cette soustraction dépasser les 83.500 pour la période considérée.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des commandes passées auprès de leurs usines.