Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce mercredi après-midi, l'attention étant partagée entre les doutes concernant l'accord de désendettement grec et la menace du mur fiscal américain.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0.5%, le CAC 40 français de 0.35%, et le DAX 30 allemand de 0.2%.
Les bailleurs de fonds ont eu beau se mettre d'accord sur un plan de réduction des dettes d'Athènes, lui permettant ainsi de bénéficier de la prochaine tranche d'aides et d'éviter un défaut de paiement, le scepticisme dû au manque de détails sur la manière de s'y conformer allait grandissant.
Mais le spectre du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier, se situe désormais au premier plan.
Des chefs de grandes entreprises, et notamment Lloyds Blankfein, directeur général de Goldman Sachs, rencontreront le président Barack Obama en fin de journée afin d'évoquer le sujet.
John Boehner, président de la chambre des députés, se réunira aussi avec lui et certains de ses homologues.
Harry Reid, à la tête du groupe majoritaire au sénat, n'a pas rassuré les opérateurs en déclarant hier que "peu d'avancées" avaient eu lieu dans le but de sortir de l'impasse avant la fin de l'année.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des cinq semaines précédant la date fatidique.
La finance s'en ressentait, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank reculant respectivement de 2.3 et 1.5%, les français BNP Paribas et Société Générale limitant tous deux les dégâts à 1.5%.
La périphérie n'était pas à l'abri, l'espagnol BBVA subissant une hémorragie de 1.6%, imité par l'italien Unicredit avec 1.4%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a fléchi de 0.2%, suivant l'exemple continental.
Le Lloyds Banking Group chutait de 1.9%, la Royal Bank of Scotland de 1%, et Barclays de 0.7%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient guères mieux loties, les cuivriers Xstrata et Anglo American suivant le mouvement de 1.5 et 1%.
Tout n'était cependant pas désespéré, United Utilities bondissant de 2.5% après avoir enregistré une augmentation de ses bénéfices semestriels, estimant être sur la voie tracée par ses objectifs.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi modérément pessimistes, l'impasse des négociations destinées à éviter une crise budgétaire américaine avant le début de l'année prochaine sapant l'attrait des valeurs audacieuses.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer incessamment les chiffres des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0.5%, le CAC 40 français de 0.35%, et le DAX 30 allemand de 0.2%.
Les bailleurs de fonds ont eu beau se mettre d'accord sur un plan de réduction des dettes d'Athènes, lui permettant ainsi de bénéficier de la prochaine tranche d'aides et d'éviter un défaut de paiement, le scepticisme dû au manque de détails sur la manière de s'y conformer allait grandissant.
Mais le spectre du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier, se situe désormais au premier plan.
Des chefs de grandes entreprises, et notamment Lloyds Blankfein, directeur général de Goldman Sachs, rencontreront le président Barack Obama en fin de journée afin d'évoquer le sujet.
John Boehner, président de la chambre des députés, se réunira aussi avec lui et certains de ses homologues.
Harry Reid, à la tête du groupe majoritaire au sénat, n'a pas rassuré les opérateurs en déclarant hier que "peu d'avancées" avaient eu lieu dans le but de sortir de l'impasse avant la fin de l'année.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des cinq semaines précédant la date fatidique.
La finance s'en ressentait, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank reculant respectivement de 2.3 et 1.5%, les français BNP Paribas et Société Générale limitant tous deux les dégâts à 1.5%.
La périphérie n'était pas à l'abri, l'espagnol BBVA subissant une hémorragie de 1.6%, imité par l'italien Unicredit avec 1.4%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a fléchi de 0.2%, suivant l'exemple continental.
Le Lloyds Banking Group chutait de 1.9%, la Royal Bank of Scotland de 1%, et Barclays de 0.7%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient guères mieux loties, les cuivriers Xstrata et Anglo American suivant le mouvement de 1.5 et 1%.
Tout n'était cependant pas désespéré, United Utilities bondissant de 2.5% après avoir enregistré une augmentation de ses bénéfices semestriels, estimant être sur la voie tracée par ses objectifs.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi modérément pessimistes, l'impasse des négociations destinées à éviter une crise budgétaire américaine avant le début de l'année prochaine sapant l'attrait des valeurs audacieuses.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer incessamment les chiffres des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.