Investing.com - Les bourses européennes étaient indécises et chaotiques ce jeudi, suite à la diffusion d'une serie de performances, tandis que la gestion de la crise de la dette de la zone euro continuait toujours à assombrir l'atmosphère.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.11%, et le CAC 40 français de 0.1%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.26%.
La nervosité était de mise après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait étouffé l'espoir de l'octroi au Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours à la région, d'une licence bancaire, ce qui en augmenterait la puissance de feu pour mieux combattre le problème du surendettement de l'Europe.
Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la BCE, avait pourtant affirmé hier qu'il existait des arguments en faveur de cette idée.
Le taux des obligations décennales de l'Espagne est quand à lui redescendu ce matin depuis les 7.74% d'hier, du jamais vu depuis l'introduction de l'euro, jusqu'à 7.38%, demeurant toutefois au-dessus du seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme.
Les chiffres de l'immobilier des Etats-Unis dévoilés hier ont en effet créé la déception, et ravivé l'espoir que la banque centrale du pays injecte à nouveau des liquidités afin de renflouer la croissance.
La finance se montrait largement en forme, les français Société Générale et BNP Paribas bondissant respectivement de 2.31 et 1.73%, suivis de leurs collègues Deutsche Bank et Commerzbank avec 1.42 et 0.88%.
Ceux de la périphérie n'étaient pas en reste, les espagnols BBVA et Banco Santander engrangeant 1.84 et 1.47%, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo n'étant pas en reste avec 2.28 et 1.01%.
Parmi les entreprises ayant divulgué leurs résultats, France Télécom a raflé 1.75% grâce à une diminution de ses rentrées du premier semestre inférieure aux craintes, la modération de ses tarifs ayant jugulé les défections de ses clients.
Mais tout n'était pas rose, Telefonica dégringolant de 6.2% suite à la suspension du versement de ses dividendes et à la révision à la baisse de ses prévisions de revenus, invoquant une situation économique "extrêment difficile".
Alcatel-Lucent, premier fournisseur d'équipements téléphoniques de France, a pour sa part dérapé de 5.83% après l'annonce de licenciements à venir dans le cadre d'un plan destiné à économiser encore 750 millions d'euros.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a trébuché de 0.01%, tiré vers le bas par un secteur énergétique en berne.
Le poids lourd des hydrocarbures Royal Dutch Shell était en queue de peloton, ses actions A s'effondrant de 2.74% et les B de 2.87%, la compagnie ayant fait savoir que ses bénéfices du second trimestre avaient subi un coup de mou, principalement imputable au fléchissement de coûts énergétiques, son rival BP lui emboîtant le pas de 0.72%.
Les valeurs minières ont par contre retrouvé le sourire, Rio Tinto grignotant 0.03% et BHP Billiton 0.7%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 1.22 et 1.21%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé par ses homologues du continent, Barclays engrangeant 1.32% et la Royal Bank of Scotland 0.96%, Lloyds Banking et HSBC Holdings n'étant pas à négliger avec 0.92 et 0.15%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois à peine optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0.02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.01% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.01% également.
Le groupe de recherches économiques Gfk a d'autre part révélé que son baromètre de l'humeur des consommateurs était remonté de 5.8 vers 5.9, et ce alors qu'une stagnation était envisagée par les experts.
Les Etats-Unis dévoileront de leur côté en fin de journée leur volume des commandes de biens durables et des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que des informations de spécialistes concernant les ventes d'habitations en cours.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.11%, et le CAC 40 français de 0.1%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.26%.
La nervosité était de mise après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait étouffé l'espoir de l'octroi au Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours à la région, d'une licence bancaire, ce qui en augmenterait la puissance de feu pour mieux combattre le problème du surendettement de l'Europe.
Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la BCE, avait pourtant affirmé hier qu'il existait des arguments en faveur de cette idée.
Le taux des obligations décennales de l'Espagne est quand à lui redescendu ce matin depuis les 7.74% d'hier, du jamais vu depuis l'introduction de l'euro, jusqu'à 7.38%, demeurant toutefois au-dessus du seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme.
Les chiffres de l'immobilier des Etats-Unis dévoilés hier ont en effet créé la déception, et ravivé l'espoir que la banque centrale du pays injecte à nouveau des liquidités afin de renflouer la croissance.
La finance se montrait largement en forme, les français Société Générale et BNP Paribas bondissant respectivement de 2.31 et 1.73%, suivis de leurs collègues Deutsche Bank et Commerzbank avec 1.42 et 0.88%.
Ceux de la périphérie n'étaient pas en reste, les espagnols BBVA et Banco Santander engrangeant 1.84 et 1.47%, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo n'étant pas en reste avec 2.28 et 1.01%.
Parmi les entreprises ayant divulgué leurs résultats, France Télécom a raflé 1.75% grâce à une diminution de ses rentrées du premier semestre inférieure aux craintes, la modération de ses tarifs ayant jugulé les défections de ses clients.
Mais tout n'était pas rose, Telefonica dégringolant de 6.2% suite à la suspension du versement de ses dividendes et à la révision à la baisse de ses prévisions de revenus, invoquant une situation économique "extrêment difficile".
Alcatel-Lucent, premier fournisseur d'équipements téléphoniques de France, a pour sa part dérapé de 5.83% après l'annonce de licenciements à venir dans le cadre d'un plan destiné à économiser encore 750 millions d'euros.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a trébuché de 0.01%, tiré vers le bas par un secteur énergétique en berne.
Le poids lourd des hydrocarbures Royal Dutch Shell était en queue de peloton, ses actions A s'effondrant de 2.74% et les B de 2.87%, la compagnie ayant fait savoir que ses bénéfices du second trimestre avaient subi un coup de mou, principalement imputable au fléchissement de coûts énergétiques, son rival BP lui emboîtant le pas de 0.72%.
Les valeurs minières ont par contre retrouvé le sourire, Rio Tinto grignotant 0.03% et BHP Billiton 0.7%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 1.22 et 1.21%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé par ses homologues du continent, Barclays engrangeant 1.32% et la Royal Bank of Scotland 0.96%, Lloyds Banking et HSBC Holdings n'étant pas à négliger avec 0.92 et 0.15%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois à peine optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0.02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.01% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.01% également.
Le groupe de recherches économiques Gfk a d'autre part révélé que son baromètre de l'humeur des consommateurs était remonté de 5.8 vers 5.9, et ce alors qu'une stagnation était envisagée par les experts.
Les Etats-Unis dévoileront de leur côté en fin de journée leur volume des commandes de biens durables et des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que des informations de spécialistes concernant les ventes d'habitations en cours.