Investing.com - Les bourses européennes étaient sans direction claire ce mercredi matin, alors que la circonspection restait à l'ordre du jour à la veille de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne, le moral régional restant soutenu par les performances réjouissantes divulguées hier.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.08%, et le CAC 40 français de 0.04%, tandis que le DAX 30 allemand grignotait 0.08%.
La BCE devrait selon toute vraisemblance maintenir demain son taux directeur à 0.75%, mais sa conférence de presse post-réunion tenue par son président Mario Draghi sera sans doute surveillée de près afin de tenter d'y glaneer des indices sur ses orientations futures.
L'atmosphère s'était allégée hier après que le groupe de recherches économiques Markit ait montré que le baromètre définitif des prestataires du tertiaire de la zone euro avait grimpé, partant de 47.2 jusqu'à 48.6 pour janvier, sa plus forte valeur en dix mois, dépassant les 48.3 évalués au préalable, confirmant les récents signaux positifs.
Ces informations quelque peu éclipsé les incertitudes politiques faisant remonter les coûts des emprunts émis par Madrid et Rome depuis hier.
La finance était sur la défensive, les français BNP Paribas et Société Générale reculant respectivment de 0.31 et 0.55%, suivis de la Commerzbank allemande avec 0.13%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens intesa Sanpaolo et Unicredit plongeant de 0.64 et 1.1%, les espagnols Banco Santander et BBVA limitant les dégâts à 0.01 et 0.56%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le géant de la sidérurgie ArcelorMittal bondissant de 1.69% malgré l'enregistrement de ses profits trimestriels les plus bas des trois années écoulées, la demande pour l'acier ayant été mise à mal par la crise de la dette européenne.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.33%, tiré vers le haut par des extracteurs en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi engrangé 0.92 et 0.84%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata leur emboîtant le pas de 0.41 et 1.1%.
La City nageait pour sa part à contre-courant du continent, Barclays grignotant 0.01%, HSBC Holdings 0.26%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking empochaient 0.92 et 1.03%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que la RBS s'apprêtait à débourser entre 400 et 500 millions de GBP d'amendes en raison de ses manipulations des taux d'intérêt, ce qui constituerait la seconde plus grosse pénalité infligée dans le cadre d'une enquête internationale.
La diffuseur de télévision câblée Virgin Media avançait pour sa part de 0.13% sur fond de rumeurs selon lesquelles Liberty Global aurait accepté d'en faire l'acquisition contre 16 milliards d'USD en liquidités et en actions, afin de lutter contre l'empire de Rupert Murdoch sur le premier marché de la télévision payante d'Europe.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
L'Allemagne comptait pour sa part dévoiler aujourd'hui le volume officiel des commandes passées auprès de ses usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.08%, et le CAC 40 français de 0.04%, tandis que le DAX 30 allemand grignotait 0.08%.
La BCE devrait selon toute vraisemblance maintenir demain son taux directeur à 0.75%, mais sa conférence de presse post-réunion tenue par son président Mario Draghi sera sans doute surveillée de près afin de tenter d'y glaneer des indices sur ses orientations futures.
L'atmosphère s'était allégée hier après que le groupe de recherches économiques Markit ait montré que le baromètre définitif des prestataires du tertiaire de la zone euro avait grimpé, partant de 47.2 jusqu'à 48.6 pour janvier, sa plus forte valeur en dix mois, dépassant les 48.3 évalués au préalable, confirmant les récents signaux positifs.
Ces informations quelque peu éclipsé les incertitudes politiques faisant remonter les coûts des emprunts émis par Madrid et Rome depuis hier.
La finance était sur la défensive, les français BNP Paribas et Société Générale reculant respectivment de 0.31 et 0.55%, suivis de la Commerzbank allemande avec 0.13%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens intesa Sanpaolo et Unicredit plongeant de 0.64 et 1.1%, les espagnols Banco Santander et BBVA limitant les dégâts à 0.01 et 0.56%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le géant de la sidérurgie ArcelorMittal bondissant de 1.69% malgré l'enregistrement de ses profits trimestriels les plus bas des trois années écoulées, la demande pour l'acier ayant été mise à mal par la crise de la dette européenne.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.33%, tiré vers le haut par des extracteurs en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi engrangé 0.92 et 0.84%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata leur emboîtant le pas de 0.41 et 1.1%.
La City nageait pour sa part à contre-courant du continent, Barclays grignotant 0.01%, HSBC Holdings 0.26%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking empochaient 0.92 et 1.03%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que la RBS s'apprêtait à débourser entre 400 et 500 millions de GBP d'amendes en raison de ses manipulations des taux d'intérêt, ce qui constituerait la seconde plus grosse pénalité infligée dans le cadre d'une enquête internationale.
La diffuseur de télévision câblée Virgin Media avançait pour sa part de 0.13% sur fond de rumeurs selon lesquelles Liberty Global aurait accepté d'en faire l'acquisition contre 16 milliards d'USD en liquidités et en actions, afin de lutter contre l'empire de Rupert Murdoch sur le premier marché de la télévision payante d'Europe.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
L'Allemagne comptait pour sa part dévoiler aujourd'hui le volume officiel des commandes passées auprès de ses usines.