Investing.com - Les bourses européennes étaient mi-figue, mi-raisin ce lundi, les bons chiffres de l'emploi américain diminuant l'attente de nouvelles mesures de stimulation de la part de la Réserve Fédérale tandis que les craintes liées à la crise de la dette grecque demeuraientt présentes.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.02%, le CAC 40 français trébuchant de 0.13%, et le DAX 30 allemand grignotant 0.08%.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé vendredi que le pays avait créé 227 000 emplois en février, prolongeant les 284 000 du moins précédent, le taux de chômage demeurant stabilisé à 8.3%, son plus bas niveau en trois ans.
L'atmosphère demeurait toutefois assombrie, après que l'Association Internationale des Swaps et Dérivés ISDA ait finalement affirmé que la substitution des bons du trésor grecs constituait un "évènement de crédit" qui activerait les couvertures de défaillance destinées à protéger les investisseurs contre des pertes dûes aux obligations hellènes.
La finance ne savait plus sur quel pied danser, les français Société Générale et BNP Paribas fléchhissant respectivement de 0.53 et 0.43%, tandis que la Deutsche Bank allemande gagnait 0.68%.
EADS, consortium aérospatial civil et militaire, a pour sa part reculé de 1.1%, bien que l'Organisation Mondiale du Commerce ait largement confirmé le jugement selon lequel Boeing avait bénéficié de milliards de dollars de subventions faussant la concurrence, nouvelle étape dans la plus grosse controverse commerciale au monde, qui avait déjà entraîné la révélation d'aides substantielles de l'Europe à Airbus.
Tout n'était cependant pas désespéré, l'éditeur de logiciels bancaires suisse Temenos bondissant de 1.25% après avoir annoncé en début de matinée que les négociations visant une fusion en actions avec Misys avaient échoué faute de consensus.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a subi un repli de 0.07%, tiré vers le bas une secteur minier en déroute.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton ont effectivement fondu de 0.83 et 0.58%, et le cuivrier Xstrata de 0.33%.
Glencore a laissé échapper 0.39% après qu'il ait été rapporté que la compagnie avait exprimé un intérêt à l'achat de Viterra, premier fournisseur de céréales canadien.
Le domaine financier n'était guère mieux loti, la Royal Bank of Scotland sombrant de 1.07%, Lloyds Banking de 0.86%, HSBC Holdings et Barclays redressant tooutefois la tête de 0.36 et 0.49%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.19%.
Les ministres des finances du bloc euro tiendront aujourd'hui des pourparlers à Bruxelles afin de donner leur accord final aux 130 milliards d'euros du plan de secours à la Grèce.
L'Espagne risque aussi d'être à l'ordre du jour, Mariano Rajoy, son premiere ministre, ayant annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.02%, le CAC 40 français trébuchant de 0.13%, et le DAX 30 allemand grignotant 0.08%.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé vendredi que le pays avait créé 227 000 emplois en février, prolongeant les 284 000 du moins précédent, le taux de chômage demeurant stabilisé à 8.3%, son plus bas niveau en trois ans.
L'atmosphère demeurait toutefois assombrie, après que l'Association Internationale des Swaps et Dérivés ISDA ait finalement affirmé que la substitution des bons du trésor grecs constituait un "évènement de crédit" qui activerait les couvertures de défaillance destinées à protéger les investisseurs contre des pertes dûes aux obligations hellènes.
La finance ne savait plus sur quel pied danser, les français Société Générale et BNP Paribas fléchhissant respectivement de 0.53 et 0.43%, tandis que la Deutsche Bank allemande gagnait 0.68%.
EADS, consortium aérospatial civil et militaire, a pour sa part reculé de 1.1%, bien que l'Organisation Mondiale du Commerce ait largement confirmé le jugement selon lequel Boeing avait bénéficié de milliards de dollars de subventions faussant la concurrence, nouvelle étape dans la plus grosse controverse commerciale au monde, qui avait déjà entraîné la révélation d'aides substantielles de l'Europe à Airbus.
Tout n'était cependant pas désespéré, l'éditeur de logiciels bancaires suisse Temenos bondissant de 1.25% après avoir annoncé en début de matinée que les négociations visant une fusion en actions avec Misys avaient échoué faute de consensus.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a subi un repli de 0.07%, tiré vers le bas une secteur minier en déroute.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton ont effectivement fondu de 0.83 et 0.58%, et le cuivrier Xstrata de 0.33%.
Glencore a laissé échapper 0.39% après qu'il ait été rapporté que la compagnie avait exprimé un intérêt à l'achat de Viterra, premier fournisseur de céréales canadien.
Le domaine financier n'était guère mieux loti, la Royal Bank of Scotland sombrant de 1.07%, Lloyds Banking de 0.86%, HSBC Holdings et Barclays redressant tooutefois la tête de 0.36 et 0.49%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.19%.
Les ministres des finances du bloc euro tiendront aujourd'hui des pourparlers à Bruxelles afin de donner leur accord final aux 130 milliards d'euros du plan de secours à la Grèce.
L'Espagne risque aussi d'être à l'ordre du jour, Mariano Rajoy, son premiere ministre, ayant annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.