Investing.com - Les bourses européennes étaient à la fête ce mardi matin, bien que l'ouragan Sandy continue à perturber et freiner les transactions mondiales.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.81%, le CAC 40 français de 0.75%, et le DAX 30 allemand de 0.82%.
La circonspection était à l'ordre du jour après que Mariano Rajoy, premier ministre de l'Espagne, ait affirmé hier qu'il accepterait une bouée de sauvetage "quand il estimerait qu'une telle décision servirait les intérêts nationaux".
Cette intervention était survenue après qu'une étude officielle ait signalé que les ventes au détail du pays avaient subi en septembre leur plus forte dégringolade de tous les temps, épaississant du même coup l'ombre planant sur les perspectives économiques espagnoles.
Rome s'apprêtait pour sa part à émettre jusqu'à 7 milliards d'euros d'obligations, mais la nervosité demeurait palpable suite aux menaces de renversement de son gouvernement brandies par l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi.
La finance était nettement en forme, les français BNP Paribas engrangeant respactivement 1.31 et 1.48%, surpassés par les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 2.06 et 4.17%.
Cette dernière avait fait savoir en début de matinée que ses bénéfices du troisième trimestre avaient augmenté de manière inattendue après que sa branche d'affaires ait dépassé ses objectifs.
L'UBS n'était pas en reste, raflant 5.03% suite à la révélation de son plan de réduction de 3.4 milliards de CHF de ses coûts de fonctionnement annuels d'ici la fin 2015 en réduisant le nombre de ses employés aux alentours des 54 000.
Le fournisseur majeur de carburants qu'est l'italien Eni SpA s'est toutefois contenté de 1.33%, avec des profits nets opérationnels ajustés à 1.78 milliards d'euros entre début juillet et fin septembre, au lieu des 1.56 milliards envisagés.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.57%, tiré vers le haut par l'offensive des exploitants.
BP, poids lourd des hydrocarbures, était en tête avec 3.73%, imité par son rival Anglo American avec 0.74%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 1.91 et 1.2%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys non plus avec 1.52 et 1.47%.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland se contentant de 0.56%, Lloyds Banking de 0.77% et Barclays de 1.47%, tandis que HSBC Holdings décevait avec une dérapage de 0.13%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.44%.
Des chiffres officiels aient auparavant montré que l'économie de l'Espagne ne s'était contractée que de 0.3% au troisième trimestre, améliorant à peine les 0.4% précédents.
Les experts avaient cependant redouté que l'histoire se répête à l'identique.
Les Etats-Unis comptaient de leur coté diffuser en fin de journée leur baromètre de la confiance de leurs consommateurs, ainsi que l'évolution des coûts des logements constatée par les spécialistes de l'immobilier.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.81%, le CAC 40 français de 0.75%, et le DAX 30 allemand de 0.82%.
La circonspection était à l'ordre du jour après que Mariano Rajoy, premier ministre de l'Espagne, ait affirmé hier qu'il accepterait une bouée de sauvetage "quand il estimerait qu'une telle décision servirait les intérêts nationaux".
Cette intervention était survenue après qu'une étude officielle ait signalé que les ventes au détail du pays avaient subi en septembre leur plus forte dégringolade de tous les temps, épaississant du même coup l'ombre planant sur les perspectives économiques espagnoles.
Rome s'apprêtait pour sa part à émettre jusqu'à 7 milliards d'euros d'obligations, mais la nervosité demeurait palpable suite aux menaces de renversement de son gouvernement brandies par l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi.
La finance était nettement en forme, les français BNP Paribas engrangeant respactivement 1.31 et 1.48%, surpassés par les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 2.06 et 4.17%.
Cette dernière avait fait savoir en début de matinée que ses bénéfices du troisième trimestre avaient augmenté de manière inattendue après que sa branche d'affaires ait dépassé ses objectifs.
L'UBS n'était pas en reste, raflant 5.03% suite à la révélation de son plan de réduction de 3.4 milliards de CHF de ses coûts de fonctionnement annuels d'ici la fin 2015 en réduisant le nombre de ses employés aux alentours des 54 000.
Le fournisseur majeur de carburants qu'est l'italien Eni SpA s'est toutefois contenté de 1.33%, avec des profits nets opérationnels ajustés à 1.78 milliards d'euros entre début juillet et fin septembre, au lieu des 1.56 milliards envisagés.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.57%, tiré vers le haut par l'offensive des exploitants.
BP, poids lourd des hydrocarbures, était en tête avec 3.73%, imité par son rival Anglo American avec 0.74%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 1.91 et 1.2%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys non plus avec 1.52 et 1.47%.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland se contentant de 0.56%, Lloyds Banking de 0.77% et Barclays de 1.47%, tandis que HSBC Holdings décevait avec une dérapage de 0.13%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.44%.
Des chiffres officiels aient auparavant montré que l'économie de l'Espagne ne s'était contractée que de 0.3% au troisième trimestre, améliorant à peine les 0.4% précédents.
Les experts avaient cependant redouté que l'histoire se répête à l'identique.
Les Etats-Unis comptaient de leur coté diffuser en fin de journée leur baromètre de la confiance de leurs consommateurs, ainsi que l'évolution des coûts des logements constatée par les spécialistes de l'immobilier.