Investing.com - Les bourses européennes étaient moroses ce mardi, alors que les investisseurs restaient prudents à l'orée de la réunion de l'Union Européenne de demain, dont ils attendent une solution durable au problème du surendettement régional.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.45%, le CAC 40 français de 0.56%, et le DAX 30 allemand de 0.16%.
Les représentants des pays membres de la zone euro se sont rapprochés en fin de semaine d'un accord sur la recapitalisation des banques de la région, tandis que la France et l'Allemagne faisaient de même concernant le renforcement de son fonds de secours.
Les dissensions concernant la restructuration de la dette grecque demeuraient toutefois, et aucun accord final n'est attendu avant la prochaine rencontre, prévue demain.
STMicroelectronics, fournisseur de composants franco-italien, était en lanterne rouge, s'effondrant de 7.16% après avoir avoué une forte chute de ses bénéfices nets au troisième trimestre, et prévu qu'ils se situeraient au-desssosu des attentes pour le quatrième, invoquant la faiblesse du marché.
La compagnie pharmaceutique Novartis n'était guère mieux lotie, plongeant de 2.26% suite à la publication de revenus décevants, annonçant par ailleurs un plan de réduction des coûts impliquant environ 2 000 licenciements.
La finance était plus mitigée, BNP Paribas et la Société Générale reculant respectivement de 1.41 et 1.21%, , tandis que l'italien Intesa Sanpaolo se situait en tête de classe avec 0.62% d'amélioration.
La Deutsche Bank allemande était elle aussi en progression de 0.16% après avoir annoncé 725 millions d'euro de profits, dépassant les espérances pour le troisième trimestre.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.1%, tiré vers le haut par le secteur énergétique et la hausse constante des produits bruts.
British Petroleum, le poids lourd des hydrocarbures, a ainsi engrangé 3.95% après avoir souligné une hausse de ses bénéfices nets du troisième trimestre et revu à la hausse ses objectifs de ventes d'actifs à 45 milliards d'USD contre 30 précédemment.
Essar Energy n'était pas beaucoup plus mal placé, de même que le Bg Group, spécialiste du gaz naturel, bondissant respectivement de 3.65 et 1.32%.
La finance britannique n'était pas aussi unie, Barclays plongeant de 0.94% et HSBC Holdings de 0.72% tandis que la Royal Bank of Scotland gagnait 0.44%.
Les perspectives des marchés américains étaient ausi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
Les spécialistes de Etats-Unis ont quand à eux prévu de révéler leurs chiffres concernant l'inflation des coûts des logements et leur rapport sur la confiance des consommateurs.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.45%, le CAC 40 français de 0.56%, et le DAX 30 allemand de 0.16%.
Les représentants des pays membres de la zone euro se sont rapprochés en fin de semaine d'un accord sur la recapitalisation des banques de la région, tandis que la France et l'Allemagne faisaient de même concernant le renforcement de son fonds de secours.
Les dissensions concernant la restructuration de la dette grecque demeuraient toutefois, et aucun accord final n'est attendu avant la prochaine rencontre, prévue demain.
STMicroelectronics, fournisseur de composants franco-italien, était en lanterne rouge, s'effondrant de 7.16% après avoir avoué une forte chute de ses bénéfices nets au troisième trimestre, et prévu qu'ils se situeraient au-desssosu des attentes pour le quatrième, invoquant la faiblesse du marché.
La compagnie pharmaceutique Novartis n'était guère mieux lotie, plongeant de 2.26% suite à la publication de revenus décevants, annonçant par ailleurs un plan de réduction des coûts impliquant environ 2 000 licenciements.
La finance était plus mitigée, BNP Paribas et la Société Générale reculant respectivement de 1.41 et 1.21%, , tandis que l'italien Intesa Sanpaolo se situait en tête de classe avec 0.62% d'amélioration.
La Deutsche Bank allemande était elle aussi en progression de 0.16% après avoir annoncé 725 millions d'euro de profits, dépassant les espérances pour le troisième trimestre.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.1%, tiré vers le haut par le secteur énergétique et la hausse constante des produits bruts.
British Petroleum, le poids lourd des hydrocarbures, a ainsi engrangé 3.95% après avoir souligné une hausse de ses bénéfices nets du troisième trimestre et revu à la hausse ses objectifs de ventes d'actifs à 45 milliards d'USD contre 30 précédemment.
Essar Energy n'était pas beaucoup plus mal placé, de même que le Bg Group, spécialiste du gaz naturel, bondissant respectivement de 3.65 et 1.32%.
La finance britannique n'était pas aussi unie, Barclays plongeant de 0.94% et HSBC Holdings de 0.72% tandis que la Royal Bank of Scotland gagnait 0.44%.
Les perspectives des marchés américains étaient ausi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
Les spécialistes de Etats-Unis ont quand à eux prévu de révéler leurs chiffres concernant l'inflation des coûts des logements et leur rapport sur la confiance des consommateurs.