Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce lundi après-midi, dans le sillage de statistiques en demi-teinte du côté de Madrid, sur fond d'inquiétudes persistantes concernant l'expansion économique régionale.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,48%, le CAC 40 français de 0,32%, et le DAX 30 allemand 0,13%.
Une étude officielle avait en effet montré en fin de matinée que les ventes au détail avaient sans surprise décliné de 0,1% en mars au sein du bloc ayant adopté la monnaie unique, prolongeant les 0,2% d'érosion précédents.
Il était d'autre part à noter que le baromètre de l'activité des prestataires de services du pays était en repli depuis 45,3 vers 44,4 dans le même temps, alors qu'un sursaut à 45,6 était espéré.
La nervosité était palpable après que la Commission Européenne ait revu vendredi ses projections économiques du bloc euro à la baisse, s'attendant à déplorer 0,4% de rétraction annuelle, au lieu des 0,3% précédemment redoutés.
La finance était sur la défensive, l'allemand Commerzbank laissant échapper 0,18%, suivi des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,02 et 0,95%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0,54 et 1,33%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,43 et 0,20%.
La compagnie aérienne Norwegian Air Shuttle ASA ne plongeait plus que de 0,27%, sauvant les meubles suite à son aveu suivant lequel le taux d'occupation des places de ses avions était passé de 75,8% à 73,6% pour avril d'une année sur l'autre.
En Allemagne, Linde, spécialiste des gaz et de l'ingénierie, bondissait par contre de 3,71% après avoir revendiqué 13% de profits opérationnels supplémentaires pour un total de 923 millions d'euros au premier trimestre.
A Londres, le FTSE 100, demeurait inopérant en raison des festivités du début du mois de mai.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérament optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,16%.
Il avait par ailleurs été signalé que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire italien avait avancé depuis 45,5 vers 47,0 pour le mois dernier, dépassant du coup les 45,8 espérés.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,48%, le CAC 40 français de 0,32%, et le DAX 30 allemand 0,13%.
Une étude officielle avait en effet montré en fin de matinée que les ventes au détail avaient sans surprise décliné de 0,1% en mars au sein du bloc ayant adopté la monnaie unique, prolongeant les 0,2% d'érosion précédents.
Il était d'autre part à noter que le baromètre de l'activité des prestataires de services du pays était en repli depuis 45,3 vers 44,4 dans le même temps, alors qu'un sursaut à 45,6 était espéré.
La nervosité était palpable après que la Commission Européenne ait revu vendredi ses projections économiques du bloc euro à la baisse, s'attendant à déplorer 0,4% de rétraction annuelle, au lieu des 0,3% précédemment redoutés.
La finance était sur la défensive, l'allemand Commerzbank laissant échapper 0,18%, suivi des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,02 et 0,95%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0,54 et 1,33%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,43 et 0,20%.
La compagnie aérienne Norwegian Air Shuttle ASA ne plongeait plus que de 0,27%, sauvant les meubles suite à son aveu suivant lequel le taux d'occupation des places de ses avions était passé de 75,8% à 73,6% pour avril d'une année sur l'autre.
En Allemagne, Linde, spécialiste des gaz et de l'ingénierie, bondissait par contre de 3,71% après avoir revendiqué 13% de profits opérationnels supplémentaires pour un total de 923 millions d'euros au premier trimestre.
A Londres, le FTSE 100, demeurait inopérant en raison des festivités du début du mois de mai.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérament optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,16%.
Il avait par ailleurs été signalé que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire italien avait avancé depuis 45,5 vers 47,0 pour le mois dernier, dépassant du coup les 45,8 espérés.