Investing.com - Les bourses européennes étaient pessimistes ce lundi, la confiance s'étant trouvée affectée par la victoire des indépendantistes catalans lors des élections régionales espagnoles, les yeux demeurant tournés vers le nouveau sommet centré sur l'aide à la Grèce.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.47%, le CAC 40 français de 0.5%, et le DAX 30 allemand de 0.17%.
Le principal parti séparatiste espagnol, Convergence et Union, dirigé par Artur Mas, président de la généralité de Catalogne, a en effet perdu des sièges lors du scrutin de dimanche, les électeurs exprimant ainsi leur frustration découlant de la mise en place des mesures de rigueur, mais les deux tiers des 135 places du parlement régional se sont répartis entre quatre formations favorables à l'indépendance de la Catalogne.
Mais la prudence restait de mise avant la réunion des membres de l'Eurogroupe d'aujourd'hui, axée sur le déblocage de la prochaine tranche d'aides destinées à Athènes.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait déclaré qu'un compromis pourrait être trouvé à cette occasion, tandis que Pierre Moscovici, chargé des caisses de l'état français, estimait en fin de semaine que le but était proche.
La finance était nettement en difficulté, les français BNP Paribas et Société Générale reculant respectivement de 0.63 et 0.59%, dépasssé par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 1.04 et 0.81%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols BBVA et Banco Santander laissant échapper 0.62 et 0.69%, tandis que l'italien Unicredit limitait les dégâts à 0.34%, et que son compatriote Intesa Sanpaolo gardait la tête hors de l'eau en arrachant 0.03%.
Parmi les bonnes nouvelles, Straumann Holding, premier fabricant de prothèses dentaires, bondissait de 6.55% après que son vice-président Thomas Straumann en ait revendu 10% de parts.
A Londres, le FTSE 100 a sombré de 0.3%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking dérapait ainsi de 0.86%, HSBC Holdings de 0.85%, et la Royal Bank of Scotland de 1.86%, Barclays s'effondrant de 3.73% après que Qatar Holding ait déclaré compter en céder pour 771 millions de GBP d'actions.
Aberdeen Asset Management, premier gestionnaire de fonds d'Ecosse, perdait néanmoins 0.38% malgré les 869.2 millions de GBP de rentrées annuelles revendiquées, dépassant les espérances des analystes.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, fléchissait de 0.31%, imité par BP avec 0.36%.
Les extracteurs étaient plus mitigés, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 0.37 et 0.17%, alors que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys s'élevaient de 0.57 et 0.29%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.36% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
L'Allemagne comptait d'autre part fournir en cours de journée le baromètre du moral de ses consommateurs établi par le groupe de recherches économiques Gfk.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.47%, le CAC 40 français de 0.5%, et le DAX 30 allemand de 0.17%.
Le principal parti séparatiste espagnol, Convergence et Union, dirigé par Artur Mas, président de la généralité de Catalogne, a en effet perdu des sièges lors du scrutin de dimanche, les électeurs exprimant ainsi leur frustration découlant de la mise en place des mesures de rigueur, mais les deux tiers des 135 places du parlement régional se sont répartis entre quatre formations favorables à l'indépendance de la Catalogne.
Mais la prudence restait de mise avant la réunion des membres de l'Eurogroupe d'aujourd'hui, axée sur le déblocage de la prochaine tranche d'aides destinées à Athènes.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait déclaré qu'un compromis pourrait être trouvé à cette occasion, tandis que Pierre Moscovici, chargé des caisses de l'état français, estimait en fin de semaine que le but était proche.
La finance était nettement en difficulté, les français BNP Paribas et Société Générale reculant respectivement de 0.63 et 0.59%, dépasssé par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 1.04 et 0.81%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols BBVA et Banco Santander laissant échapper 0.62 et 0.69%, tandis que l'italien Unicredit limitait les dégâts à 0.34%, et que son compatriote Intesa Sanpaolo gardait la tête hors de l'eau en arrachant 0.03%.
Parmi les bonnes nouvelles, Straumann Holding, premier fabricant de prothèses dentaires, bondissait de 6.55% après que son vice-président Thomas Straumann en ait revendu 10% de parts.
A Londres, le FTSE 100 a sombré de 0.3%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking dérapait ainsi de 0.86%, HSBC Holdings de 0.85%, et la Royal Bank of Scotland de 1.86%, Barclays s'effondrant de 3.73% après que Qatar Holding ait déclaré compter en céder pour 771 millions de GBP d'actions.
Aberdeen Asset Management, premier gestionnaire de fonds d'Ecosse, perdait néanmoins 0.38% malgré les 869.2 millions de GBP de rentrées annuelles revendiquées, dépassant les espérances des analystes.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, fléchissait de 0.31%, imité par BP avec 0.36%.
Les extracteurs étaient plus mitigés, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 0.37 et 0.17%, alors que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys s'élevaient de 0.57 et 0.29%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.36% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
L'Allemagne comptait d'autre part fournir en cours de journée le baromètre du moral de ses consommateurs établi par le groupe de recherches économiques Gfk.