Investing.com - Les bourses européennes ont bien tenu ce lundi matin, dans le sillage des bons résultats de l'emploi espagnol et des belles performances régionales dévoilées vendredi, la prudence restant toutefois de mise à l'approche de la rencontre d'aujourd'hui entre les chefs d'état de Madrid et Berlin.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a trébuché de 0.02%, et le CAC 40 français de 0.01%, mais le DAX 30 allemand grignotait 0.01%.
Le ministère de l'emploi de l'Espagne a en effet révélé que le nombre des demandeurs d'emploi avait moins augmenté en janvier que redouté, avec tout de même 132 100 inscriptions suite aux 59 100 déjà enregistrées le mois précédent.
Les experts redoutaient toutefois d'en dénombrer 150 000 pour la période considérée.
L'ambiance a alors également bénéficié du soutien d'études montrant que l'activité manufacturière de la région où elle a cours avait augmenté en janvier, tandis que son inflation et son chômage se stabilisaient, confirmant l'hypothèse d'un tournant décisif passé dans sa crise.
Il ne fallait pas non plus oublier que l'indice des directeurs des achats des usines de la zone euro avait dans le même temps frémi de 47.5 vers 47.9, demeurant malgré cela au-dessous des 50 dénotant une croissance du secteur, mais subissant sa plus faible rétraction des 11 mois écoulés.
La finance était plutôtt morose, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank reculant respectivement de 0.32 et 0.39%, le français BNP Paribas s'en tirant plutôt bien en ne laissant échapper que 0.04% tandis que son compatriote Société Générale constituait une bonne surprise en grignotant 0.12%.
La périphérie était plus unanime, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit s'effondrant de 1.92 et 3.11%, les espagnols Banco Santander et BBVA limitant les dégâts à 0.33 et 0.41%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Swatch encaissant 2.89% suite au bond de 26% de ses revenus nets en 2012, pour atteindre 1.6 milliards de CHF, l'entreprise ayant fabriqué davantage de montre, prenant avantage de l'amélioration de la capacité de production de ses usines.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a glissé de 0.17%, tiré vers le bas par des extracteurs en difficulté.
Les mastodontes BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi fondu de 0.43 et 0.3%, Antofagasta et Glencore faisant bien pire avec 1.64 et 1.24%.
La City suivait majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking cédant 0.01%, HSBC Holdings 0.1%, et Barclays 0.19%, après avoir annoncé que son directeur financier Chris Lucas et son shef du contentieux Mark Harding prendraient incessamment leur retraite.
La Royal Bank of Scotland a par contre arraché 0.12%.
Les perspectives des marchés américains étaient sans éclat non plus: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 envisageaient un faux pas de 0.01%.
Les autorités américaines comptent de leur côté dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a trébuché de 0.02%, et le CAC 40 français de 0.01%, mais le DAX 30 allemand grignotait 0.01%.
Le ministère de l'emploi de l'Espagne a en effet révélé que le nombre des demandeurs d'emploi avait moins augmenté en janvier que redouté, avec tout de même 132 100 inscriptions suite aux 59 100 déjà enregistrées le mois précédent.
Les experts redoutaient toutefois d'en dénombrer 150 000 pour la période considérée.
L'ambiance a alors également bénéficié du soutien d'études montrant que l'activité manufacturière de la région où elle a cours avait augmenté en janvier, tandis que son inflation et son chômage se stabilisaient, confirmant l'hypothèse d'un tournant décisif passé dans sa crise.
Il ne fallait pas non plus oublier que l'indice des directeurs des achats des usines de la zone euro avait dans le même temps frémi de 47.5 vers 47.9, demeurant malgré cela au-dessous des 50 dénotant une croissance du secteur, mais subissant sa plus faible rétraction des 11 mois écoulés.
La finance était plutôtt morose, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank reculant respectivement de 0.32 et 0.39%, le français BNP Paribas s'en tirant plutôt bien en ne laissant échapper que 0.04% tandis que son compatriote Société Générale constituait une bonne surprise en grignotant 0.12%.
La périphérie était plus unanime, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit s'effondrant de 1.92 et 3.11%, les espagnols Banco Santander et BBVA limitant les dégâts à 0.33 et 0.41%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Swatch encaissant 2.89% suite au bond de 26% de ses revenus nets en 2012, pour atteindre 1.6 milliards de CHF, l'entreprise ayant fabriqué davantage de montre, prenant avantage de l'amélioration de la capacité de production de ses usines.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a glissé de 0.17%, tiré vers le bas par des extracteurs en difficulté.
Les mastodontes BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi fondu de 0.43 et 0.3%, Antofagasta et Glencore faisant bien pire avec 1.64 et 1.24%.
La City suivait majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking cédant 0.01%, HSBC Holdings 0.1%, et Barclays 0.19%, après avoir annoncé que son directeur financier Chris Lucas et son shef du contentieux Mark Harding prendraient incessamment leur retraite.
La Royal Bank of Scotland a par contre arraché 0.12%.
Les perspectives des marchés américains étaient sans éclat non plus: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 envisageaient un faux pas de 0.01%.
Les autorités américaines comptent de leur côté dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.