Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce vendredi matin, dans le sillage d'une relativement bonne surprise provenant d'Espagne, la circonspection étant à l'ordre du jour à l'approche du décompte crucial des embauches américaines.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,28%, le CAC 40 français de laissant cependant échapper 0,01%, et le DAX 30 allemand arrachant 0,12%.
Une diminution du nombre des chômeurs espagnols avait en effet été mise en relief pour la cinquième fois d'affilée en juillet, voyant leur nombre diminué de 64.900 unités, prolongeant les 127.200 précédents.
Les experts attendaient cependant une soustraction de 80.000 pour la période considérée.
Les cours avaient retrouvé du poil de la bête après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré que les taux d'intérêt régionaux demeureraient faibles encore longtemps.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande sombrant de 0,80%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,13 et 0,90%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA subissant des déconvenues de 0,60 et 0,64%, l'italien Intesa Sanpaolo gagnant cependant 0,75%.
L'assureur Allianz grimpait par contre de 2,26% après avoir revendiqué des bénéfices annualisés s'élevant à 1,59 milliards d'euros, dépassant ainsi les prédictions moyennes, tout en exprimant sa crainte de devoir débourser environ 200 millions d'euros en raison des orages ayant touché l'Allemagne le mois passé.
Son rival Axa n'était pas en reste, avec 3,67%, malgré une chute de 3% de ses revenus au premier semestre, se liitant à 2,47 milliards d'euros, car ils demeuraient supérieurs aux estimatiions.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, conquérait conquérait 0,03%, bien qu'il se trouve tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Fresnillon fondaient de 1,25 et 4,24%, leurs rivaux Polymetal et Randgold Resources n'étant pas en reste avec 2,46 et 3,95%.
La City suivait quand à elle le chemin chaotique tracé sur le continent, Barclays et la Royal Bank of Scotland chutant de 0,62 et 3,63%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking encaissaient 0,30 et 2,73%.
Parmi les bonnes nouvelles, IAG, maison-mère de British Airways raflait 3,06%, ayant enregistré 245 millions d'euros de bénéfices d'exploitation, après avoir déploré 4 millions de pertes sur la même période de l'année précédente.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,19%.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la semaine avec une série de résultats concernant l'évolution de l'emploi hors agriculture, le taux de chômage, les revenus horaires moyens, et les dépenses individuelles, sans oublier le volume des commandes passées auprès des usines.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,28%, le CAC 40 français de laissant cependant échapper 0,01%, et le DAX 30 allemand arrachant 0,12%.
Une diminution du nombre des chômeurs espagnols avait en effet été mise en relief pour la cinquième fois d'affilée en juillet, voyant leur nombre diminué de 64.900 unités, prolongeant les 127.200 précédents.
Les experts attendaient cependant une soustraction de 80.000 pour la période considérée.
Les cours avaient retrouvé du poil de la bête après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré que les taux d'intérêt régionaux demeureraient faibles encore longtemps.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande sombrant de 0,80%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,13 et 0,90%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA subissant des déconvenues de 0,60 et 0,64%, l'italien Intesa Sanpaolo gagnant cependant 0,75%.
L'assureur Allianz grimpait par contre de 2,26% après avoir revendiqué des bénéfices annualisés s'élevant à 1,59 milliards d'euros, dépassant ainsi les prédictions moyennes, tout en exprimant sa crainte de devoir débourser environ 200 millions d'euros en raison des orages ayant touché l'Allemagne le mois passé.
Son rival Axa n'était pas en reste, avec 3,67%, malgré une chute de 3% de ses revenus au premier semestre, se liitant à 2,47 milliards d'euros, car ils demeuraient supérieurs aux estimatiions.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, conquérait conquérait 0,03%, bien qu'il se trouve tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Fresnillon fondaient de 1,25 et 4,24%, leurs rivaux Polymetal et Randgold Resources n'étant pas en reste avec 2,46 et 3,95%.
La City suivait quand à elle le chemin chaotique tracé sur le continent, Barclays et la Royal Bank of Scotland chutant de 0,62 et 3,63%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking encaissaient 0,30 et 2,73%.
Parmi les bonnes nouvelles, IAG, maison-mère de British Airways raflait 3,06%, ayant enregistré 245 millions d'euros de bénéfices d'exploitation, après avoir déploré 4 millions de pertes sur la même période de l'année précédente.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,19%.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la semaine avec une série de résultats concernant l'évolution de l'emploi hors agriculture, le taux de chômage, les revenus horaires moyens, et les dépenses individuelles, sans oublier le volume des commandes passées auprès des usines.