Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce lundi après-midi, à la suite de la publication de résultats régionaux mitigés, dans l'ombre persistante du flou dans les orientations futures de la banque centrale des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,65%, le CAC 40 français de 0,65% aussi, et le DAX 30 allemand de 0,28%.
Les autorités européennes avaient auparavant fait savoir que le taux de chômage de la région avait frémi depuis 12 vers 12,1% pour mai, au lieu des 12,3% redoutés.
D'autres informations situaient sans surprise son inflation à la consommation à 1,6% pour juin après les 1,4% précédents.
La prudence restait de mise en raison des attentes de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale, les yeux sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, qui pourraient accentuer le mouvement ascendant du billet vert en cas de belles performances.
La finance arborait un sourire moins unanime, la Deutsche Bank allemande se rétractant de 0,32%, suivie du français Société Générale avec 1,29%, dont le compatriote BNP Paribas réussissait cependant à émerger de 0,28%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol BBVA en repli de 0,47%, alors que Banco Santander encaissait 2,04%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec respectivement 0,73 et 0,06%.
Aker Solutions n'était pas en reste avec 0,36%, ayant revendiqué l'obtention d'un contrat s'élevant à 440 millions d'USD pour la fourniture des équipements de production sous-marine pour un champ pétrolier de la Mer du Nord.
Parmi les autres bonnes nouvelles, le fabricant de téléphones mobiles Nokia Oyj s'envolait de 7,52% après avoir accepté de racheter à Siemens ses parts dans leur coentreprise.
A Londres, le FTSE 100, conquérait 0,78% après que des informations aient souligné que l'activité du secteur secondaire britannique avait connu en juin sa plus forte progression en deux ans.
La City retrouvait majoritairement du mordant, Barclays gagnant 0,18%, Lloyds Banking 1,08% et HSBC Holdings 1,56%, tandis que la Royal Bank of Scotland laissait toujours échapper 0,11%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières redressaient également la barre, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,74 et 0,50%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,99% et Polymetal aussi avec 4,74%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,52%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,62%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir en fin de matinée que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de l'Espagne avait bondi depuis 48,1 vers 50,0 pour juin, dépassant ainsi les 48,5 espérés et repassant en territoire positif pour la première fois depuis mai 2011.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son état des lieux de l'activité industrielle des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,65%, le CAC 40 français de 0,65% aussi, et le DAX 30 allemand de 0,28%.
Les autorités européennes avaient auparavant fait savoir que le taux de chômage de la région avait frémi depuis 12 vers 12,1% pour mai, au lieu des 12,3% redoutés.
D'autres informations situaient sans surprise son inflation à la consommation à 1,6% pour juin après les 1,4% précédents.
La prudence restait de mise en raison des attentes de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale, les yeux sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, qui pourraient accentuer le mouvement ascendant du billet vert en cas de belles performances.
La finance arborait un sourire moins unanime, la Deutsche Bank allemande se rétractant de 0,32%, suivie du français Société Générale avec 1,29%, dont le compatriote BNP Paribas réussissait cependant à émerger de 0,28%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol BBVA en repli de 0,47%, alors que Banco Santander encaissait 2,04%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec respectivement 0,73 et 0,06%.
Aker Solutions n'était pas en reste avec 0,36%, ayant revendiqué l'obtention d'un contrat s'élevant à 440 millions d'USD pour la fourniture des équipements de production sous-marine pour un champ pétrolier de la Mer du Nord.
Parmi les autres bonnes nouvelles, le fabricant de téléphones mobiles Nokia Oyj s'envolait de 7,52% après avoir accepté de racheter à Siemens ses parts dans leur coentreprise.
A Londres, le FTSE 100, conquérait 0,78% après que des informations aient souligné que l'activité du secteur secondaire britannique avait connu en juin sa plus forte progression en deux ans.
La City retrouvait majoritairement du mordant, Barclays gagnant 0,18%, Lloyds Banking 1,08% et HSBC Holdings 1,56%, tandis que la Royal Bank of Scotland laissait toujours échapper 0,11%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières redressaient également la barre, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,74 et 0,50%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,99% et Polymetal aussi avec 4,74%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,52%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,62%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir en fin de matinée que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de l'Espagne avait bondi depuis 48,1 vers 50,0 pour juin, dépassant ainsi les 48,5 espérés et repassant en territoire positif pour la première fois depuis mai 2011.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son état des lieux de l'activité industrielle des Etats-Unis.