Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce mardi matin, l'ambiance se trouvant plombée par la renouvellement des inquiétudes au sujet de la Grèce, suite à la réunion des ministres des finances de la zone euro s'étant déroulée hier.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.69%, le CAC 40 français de 0.88%, et le DAX 30 allemand de 0.72%.
Les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International n'ont en effet pas réussi à se mettre d'accord sur un plan de réduction à long terme des dettes grecques, bloquant du même coup l'attribution des aides d'urgence.
Ils ont laissé à Athènes jusqu'à 2016 pour réduire son déficit à 20% du produit intérieur brut, mais ont repoussé jusqu'au 20 novembre toute prise de décision concernant une somme qui pourrait atteindre 32.6 milliards d'euros dont elle a besoin, tout en entretenant le flou sur la poursuite de la participation du FMI.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale se repliant respectivement de 0.66 et 1.49%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.3 et 0.52%.
Les matières premières n'était pas non plus à la fête, la France voyant GDF Suez plonger de 2.63, et l'extracteur et sidérurgiste ArcelorMittal de 1.73%, tandis qu'en Allemagne, le fournisseur d'énergie RWE AG sombrait de 3.81%.
Son compatriote E.ON AG, géant de l'éleectricité et du gaz, s'effondrait alors carrément de 9.18% après avoir déploré un passage à des pertes nettes au troisième trimestre, en raisn de frais importants dûs à l'inactivité de centrales thermiques à travers toute l'Europe, la faible demande ayant tiré les prix de gros au plus bas.
A Londres, le FTSE 100, chargé en produits bruts, a glissé de 0.76%, tiré vers le bas par le pétrole et les mines.
Eurasian Natural Resources coiffait le bonnet d'âne en dévissant de 3.65%, imité par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 1.27 et 1.76%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas mieux loti avec une dégringolade de 3.52%, son rival BP limitant les dégâts à 1.57%.
La City évoluait conformément à la tendance, HCBS Holdings se rétractant de 0.33%, et Lloyds banking de 0.35%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland laissaient échapper 0.68 et 1.04%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.64%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.77% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.71%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde officiel de leur budget fédéral.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.69%, le CAC 40 français de 0.88%, et le DAX 30 allemand de 0.72%.
Les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International n'ont en effet pas réussi à se mettre d'accord sur un plan de réduction à long terme des dettes grecques, bloquant du même coup l'attribution des aides d'urgence.
Ils ont laissé à Athènes jusqu'à 2016 pour réduire son déficit à 20% du produit intérieur brut, mais ont repoussé jusqu'au 20 novembre toute prise de décision concernant une somme qui pourrait atteindre 32.6 milliards d'euros dont elle a besoin, tout en entretenant le flou sur la poursuite de la participation du FMI.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale se repliant respectivement de 0.66 et 1.49%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.3 et 0.52%.
Les matières premières n'était pas non plus à la fête, la France voyant GDF Suez plonger de 2.63, et l'extracteur et sidérurgiste ArcelorMittal de 1.73%, tandis qu'en Allemagne, le fournisseur d'énergie RWE AG sombrait de 3.81%.
Son compatriote E.ON AG, géant de l'éleectricité et du gaz, s'effondrait alors carrément de 9.18% après avoir déploré un passage à des pertes nettes au troisième trimestre, en raisn de frais importants dûs à l'inactivité de centrales thermiques à travers toute l'Europe, la faible demande ayant tiré les prix de gros au plus bas.
A Londres, le FTSE 100, chargé en produits bruts, a glissé de 0.76%, tiré vers le bas par le pétrole et les mines.
Eurasian Natural Resources coiffait le bonnet d'âne en dévissant de 3.65%, imité par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 1.27 et 1.76%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas mieux loti avec une dégringolade de 3.52%, son rival BP limitant les dégâts à 1.57%.
La City évoluait conformément à la tendance, HCBS Holdings se rétractant de 0.33%, et Lloyds banking de 0.35%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland laissaient échapper 0.68 et 1.04%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.64%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.77% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.71%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde officiel de leur budget fédéral.