Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mercredi, sur fond de soulagement général après que les élus américains se soient enfin mis d'accord pour esquiver l'épée de Damoclès suspendue au-dessus du pays, qui ravivait le spectre du naufrage économique.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 2.89%, le CAC 40 français de 1.86%, et le DAX 30 allemand de 1.73%.
Le parlement des Etats-Unis a en effet ratifié hier une loi ménageant la chèvre et le chou pour échapper au mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires qui auraient probablement entraîné un retour en récession national.
Le président Barack Obama a du coup salué "un simple pas sur le chemin du renforcement de l'économie".
Cette déclaration survenait après que les députés aient accepté la proposition de loi approuvée par le sénat avec 257 voix contre 167.
La finance était la première à s'en réjouir, les français BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement de 2.47 et 3.11%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 2.06 et 2.72%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo n'étant pas en reste avec 3.08% chacun, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 1.72 et 1.31%.
ArcelorMittal suivait le mouvement de 3.74% après que China Steeel et Posco aient pris la tête d'un groupe désirant payer 1.1 milliards d'USD pour 15% de ses mines du Canada afin d'assurer leur approvisionnement en minerai de fer.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 1.54%, tiré vers le haut par des extracteurs ayant le sourire.
Le sidérurgiste Evraz s'est ainsi élevé de 4.81% et Eurasian Natural resources de 4.14%, mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ne faisant pas tapisserie avec 4.44 et 2.95%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas à négliger avec 3.05 et 3.15%, ni les poids lourds pétroliers Anglo American et BP avec 3.46 et 0.85%.
La City empruntait elle aussi le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings engrangeant 1.86%, et la Royal Bank of Scotland 2.68%, surpassés par Lloyds Banking et Barclays avec 3.19 et 3.91%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois plus pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.08% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.17%.
Le groupe de recherches économiques Markit a pour sa part fait savoir ce matin que son indice des directeurs des achats du secteur manufacturier espagnol avait régressé de 45.3 vers 44.6 pour décembre, alors que les experts redoutaient déjà de le voir se réduire à 45.1 pour la période considérée.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté révéler dans l'après-midi ses informations sur la croissance des industries américaines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 2.89%, le CAC 40 français de 1.86%, et le DAX 30 allemand de 1.73%.
Le parlement des Etats-Unis a en effet ratifié hier une loi ménageant la chèvre et le chou pour échapper au mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires qui auraient probablement entraîné un retour en récession national.
Le président Barack Obama a du coup salué "un simple pas sur le chemin du renforcement de l'économie".
Cette déclaration survenait après que les députés aient accepté la proposition de loi approuvée par le sénat avec 257 voix contre 167.
La finance était la première à s'en réjouir, les français BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement de 2.47 et 3.11%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 2.06 et 2.72%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo n'étant pas en reste avec 3.08% chacun, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 1.72 et 1.31%.
ArcelorMittal suivait le mouvement de 3.74% après que China Steeel et Posco aient pris la tête d'un groupe désirant payer 1.1 milliards d'USD pour 15% de ses mines du Canada afin d'assurer leur approvisionnement en minerai de fer.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 1.54%, tiré vers le haut par des extracteurs ayant le sourire.
Le sidérurgiste Evraz s'est ainsi élevé de 4.81% et Eurasian Natural resources de 4.14%, mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ne faisant pas tapisserie avec 4.44 et 2.95%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas à négliger avec 3.05 et 3.15%, ni les poids lourds pétroliers Anglo American et BP avec 3.46 et 0.85%.
La City empruntait elle aussi le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings engrangeant 1.86%, et la Royal Bank of Scotland 2.68%, surpassés par Lloyds Banking et Barclays avec 3.19 et 3.91%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois plus pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.08% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.17%.
Le groupe de recherches économiques Markit a pour sa part fait savoir ce matin que son indice des directeurs des achats du secteur manufacturier espagnol avait régressé de 45.3 vers 44.6 pour décembre, alors que les experts redoutaient déjà de le voir se réduire à 45.1 pour la période considérée.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté révéler dans l'après-midi ses informations sur la croissance des industries américaines.