Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt positives ce lundi après-midi, la confiance restant soutenue par les nouveaux signes d'avancées dans la gestion de la crise de la dette régionale, les yeux étant désormais braqués vers les statistiques d'outre-Atlantique.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.12%, et le CAC 40 français de 0.04%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.14%.
Le moral est en effet remonté après que la Banque Centrale Européenne ait annoncé que des banques opérant sous sa tutelle comptaient lui rembourser 137.2 milliards d'euros d'emprunts dès cette semaine, laissant espérer un retour des flux de liquidités.
Cette tendance s'est accentuée après que le baromètre de la confiance dans les affaires allemandes établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait grimpé ce mois-ci au plus haut des sept mois écoulés, confortant les signes positifs de relance de la première économie de la zone.
La prudence restait toutefois de mise dans l'expectative de l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis et du conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi, ainsi que du rapport sur l'emploi hors agriculture national qui sera publié vendredi.
La finance restait largement en forme, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.7 et 0.35%, imités par les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.36 et 0.57%.
Il était aussi à noter que le fournisseur d'équipements de fabrication de circuits intégrés ASML Holding raflait 4.22% après que Citigroup en ait relevé l'appréciation depuis la neutralité jusqu'à l'achat.
Le transporteur TNT Expresss a rebondi de 3.58% après que l'UBS ait poussé à l'achat après avoir été indifférente, affirmant que sa nouvelle direction agirait rapidement afin de résoudre les problèmes ou se débarrasser de ses succursales du Brésil et de Chine.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.19%, tout en étant tiré vers le haut par des établissements bancaires suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland grignotait 0.75%, Barclays 0.76%, et HSBC Holdings 0.95%, mais Lloyds banking décevait en reculant de 0.52%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto limitaient les dégâts à 0.18 et 0.25%, alors que leurs rivaux Evraz et Fresnillo s'effondraient de 2 et 1.62%.
Les magasins de bricolage Debenhams plongeaient encore de 1.99% après que Morgan Stanley ait estimé qu'après de bonnes performances, ils étaient retrés dans le rang.
La banque a d'ailleurs rabaissé ses perspectives générales du secteur de la grande distribution britannique vers davantage de prudence.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles à peine optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.03%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume des commandes de biens durables, tandis quoi leurs acteurs de l'immobilier divulgueront le nombre des ventes de logements en cours.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.12%, et le CAC 40 français de 0.04%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.14%.
Le moral est en effet remonté après que la Banque Centrale Européenne ait annoncé que des banques opérant sous sa tutelle comptaient lui rembourser 137.2 milliards d'euros d'emprunts dès cette semaine, laissant espérer un retour des flux de liquidités.
Cette tendance s'est accentuée après que le baromètre de la confiance dans les affaires allemandes établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait grimpé ce mois-ci au plus haut des sept mois écoulés, confortant les signes positifs de relance de la première économie de la zone.
La prudence restait toutefois de mise dans l'expectative de l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis et du conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi, ainsi que du rapport sur l'emploi hors agriculture national qui sera publié vendredi.
La finance restait largement en forme, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.7 et 0.35%, imités par les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.36 et 0.57%.
Il était aussi à noter que le fournisseur d'équipements de fabrication de circuits intégrés ASML Holding raflait 4.22% après que Citigroup en ait relevé l'appréciation depuis la neutralité jusqu'à l'achat.
Le transporteur TNT Expresss a rebondi de 3.58% après que l'UBS ait poussé à l'achat après avoir été indifférente, affirmant que sa nouvelle direction agirait rapidement afin de résoudre les problèmes ou se débarrasser de ses succursales du Brésil et de Chine.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.19%, tout en étant tiré vers le haut par des établissements bancaires suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland grignotait 0.75%, Barclays 0.76%, et HSBC Holdings 0.95%, mais Lloyds banking décevait en reculant de 0.52%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto limitaient les dégâts à 0.18 et 0.25%, alors que leurs rivaux Evraz et Fresnillo s'effondraient de 2 et 1.62%.
Les magasins de bricolage Debenhams plongeaient encore de 1.99% après que Morgan Stanley ait estimé qu'après de bonnes performances, ils étaient retrés dans le rang.
La banque a d'ailleurs rabaissé ses perspectives générales du secteur de la grande distribution britannique vers davantage de prudence.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles à peine optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.03%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume des commandes de biens durables, tandis quoi leurs acteurs de l'immobilier divulgueront le nombre des ventes de logements en cours.