Investing.com - Les bourses européennes demeuraient en berne ce mardi après-midi, dans le sillage des statistiques rgionales, la nervosité étant palpable à l'approche de la réunion des ministres des finances de l'Union Européenne devant bientôt être entamée à Bruxelles.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,41%, le CAC 40 français de 0,47%, et le DAX 30 allemand de 0,19%.
Le baromètre de la confiance dans l'économie allemande établi par le centre de recherches économiques ZEW a en effet frémi depuis les 36,3 d'avril vers 36.4, soit nettement moins que les 38,3 envisagés.
Son équivalent portant sur la situation actuelle a quand à lui sombré depuis 9,2 vers 8,9 dans le même temps, laissant craindre des difficultés à se sortir des 0,5% de contraction subis par le pays au cours du quatrième trimestre.
Il a d'autre part été constaté que la production industrielle de la zone euro avait bondi en mars de 1% après ajustement saisonnier, soit plus du double des 0,4% espérés.
La finance restait aux abris, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank sombrant respectivement de 1,86 et 1,41%, suivis des français BNP PAribas et Société Générale avec 0,16 et 1,13%.
La première avait auparavant proposé à ses actionnaires d'y investir 2,5 milliards d'euros de capitaux supplémentaires, pour ce qui constitue sa ciqnuième levée de fonds en quatre ans, proposant d'acquérir 20 nouvelles actions pour toutes les 21 déjà détenues, à 4,5 euros chacune.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant de 1,67 et 1,35%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,43 et 1,07%.
Tout n'était cependant pas désespéré, EADS, maison-mère d'Airbus, bondissant de 2,40% grâce à des rentrées avant intérêts, impôts et frais exceptionnels atteignant 741 millions d'euros pour le premier trimestre, dépassant ainsi les estimations des experts.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,07%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 1,52 et 2,40%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American faisant bien pire avec 3,48%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking fléchissant de 0,50%, la Royal Bank of Scotland de 1,06% et Barclays de 1,10%, tandis que HSBC Holdings surnageait de 0,10%.
Mais parmi les bonnes nouvelles, Severn Trent, second plus gros fournisseur d'eau publiquement coté du pays, gardait le sourire avec une envolée de 14,60% après avoir déclaré qu'un groupe composé de Borealis Infrastructure Management, du Kuwait Investment Office du Universities Superannuation Scheme lui avait proposé des négociations.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,29%.
L'Espagne a de son côté vu les coûts de ses emprunts tomber à leur plus bas niveau depuis 2010 lors d'une émission de bons du trésor à douze mois.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,41%, le CAC 40 français de 0,47%, et le DAX 30 allemand de 0,19%.
Le baromètre de la confiance dans l'économie allemande établi par le centre de recherches économiques ZEW a en effet frémi depuis les 36,3 d'avril vers 36.4, soit nettement moins que les 38,3 envisagés.
Son équivalent portant sur la situation actuelle a quand à lui sombré depuis 9,2 vers 8,9 dans le même temps, laissant craindre des difficultés à se sortir des 0,5% de contraction subis par le pays au cours du quatrième trimestre.
Il a d'autre part été constaté que la production industrielle de la zone euro avait bondi en mars de 1% après ajustement saisonnier, soit plus du double des 0,4% espérés.
La finance restait aux abris, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank sombrant respectivement de 1,86 et 1,41%, suivis des français BNP PAribas et Société Générale avec 0,16 et 1,13%.
La première avait auparavant proposé à ses actionnaires d'y investir 2,5 milliards d'euros de capitaux supplémentaires, pour ce qui constitue sa ciqnuième levée de fonds en quatre ans, proposant d'acquérir 20 nouvelles actions pour toutes les 21 déjà détenues, à 4,5 euros chacune.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant de 1,67 et 1,35%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,43 et 1,07%.
Tout n'était cependant pas désespéré, EADS, maison-mère d'Airbus, bondissant de 2,40% grâce à des rentrées avant intérêts, impôts et frais exceptionnels atteignant 741 millions d'euros pour le premier trimestre, dépassant ainsi les estimations des experts.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,07%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 1,52 et 2,40%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American faisant bien pire avec 3,48%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking fléchissant de 0,50%, la Royal Bank of Scotland de 1,06% et Barclays de 1,10%, tandis que HSBC Holdings surnageait de 0,10%.
Mais parmi les bonnes nouvelles, Severn Trent, second plus gros fournisseur d'eau publiquement coté du pays, gardait le sourire avec une envolée de 14,60% après avoir déclaré qu'un groupe composé de Borealis Infrastructure Management, du Kuwait Investment Office du Universities Superannuation Scheme lui avait proposé des négociations.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,29%.
L'Espagne a de son côté vu les coûts de ses emprunts tomber à leur plus bas niveau depuis 2010 lors d'une émission de bons du trésor à douze mois.