Investing.com - Les bourses européennes gardaiznt du mordant ce mercredi après-midi, alors que les yeux étaient braqués sur les évènements chypriotes, après que le parlement ait refusé la taxation des dépôts auprès des banques nationales dont dépendait l'octroi des 10 milliards d'euros d'aides d'urgence internationales.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 1.52%, le CAC 40 français de 1.22%, et le DAX 30 allemand de 1.04%.
Le président chypriote Nicos Anastasiades a du coup convoqué une réunion d'urgence avec les chefs des différentes factions politiques afin d'étudier les solutions de rechange, une fois les termes de l'accord de secours refusés.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux établissements financiers de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Mais le moral était de retour grâce à l'espoir croissant de nouvelles négociations au sein de l'Union Européenne afin de maintenir le pays au sein du bloc euro.
La finance s'en réjouissait toujours, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 1.26 et 1.37%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 2 et 1.47%.
Le second avait revendiqué en fin de matinée une diminution de ses bénéfices 2012, après avoir dû provisionner davantage de fonds pour couvrir les frains découlant d'un procès portant sur des prêts américains et d'autres enquêtes des autorités.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA gagnant 1.25 et 1.66%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit étant plus dispersés avec 0.34 et 1.13%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.2%, le procès-verbal de la réunion du conseil directeur de la Banque d'Angleterre de mars ayant montré dans la matinée que ses membres restaient sur leurs positions concernant les apports de capitaux, sur fond de stabilisation du marché du travail en février.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières se sont retrouvées dans la tourmente, le mastodonte minier BHP Billiton et Rio Tinto dérapant de 1.11%, ses rivaux Eurasian Natural Resources et Evraz n'étant pas en reste avec 3.63 et 3.53%.
La City était cependant moins unanime, HSBC Holdings arrachant 0.06% et la Royal Bank of Scotland 2.01%, tandis que Barclays et Lloyds Banking décevaient avec des faux pas de 0.36 et 0.32%.
L'assureur Aviva plongeait aussi de 2.69% sur fond de rumeurs selon lesquelles 1 500 emplois pourraient être supprimés en cas de son départ de Perth, en Ecosse, alors qu'il se disait qu'une déménagement vers Glasgow était envisagé une fois le bail de ses bureaux de Pitheavlis expiré l'année prochaine.
Les perspectives des marchés américains partageaiant l'optimisme général: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.27% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.49%.
La BCE avait par ailleurs signalé en début de journée que l'excédent de son compte courant était passé de 16 à 14.8 milliards d'euros pour janvier, alors qu'un repli à 7.9 milliards était envisagé.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 1.52%, le CAC 40 français de 1.22%, et le DAX 30 allemand de 1.04%.
Le président chypriote Nicos Anastasiades a du coup convoqué une réunion d'urgence avec les chefs des différentes factions politiques afin d'étudier les solutions de rechange, une fois les termes de l'accord de secours refusés.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux établissements financiers de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Mais le moral était de retour grâce à l'espoir croissant de nouvelles négociations au sein de l'Union Européenne afin de maintenir le pays au sein du bloc euro.
La finance s'en réjouissait toujours, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 1.26 et 1.37%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 2 et 1.47%.
Le second avait revendiqué en fin de matinée une diminution de ses bénéfices 2012, après avoir dû provisionner davantage de fonds pour couvrir les frains découlant d'un procès portant sur des prêts américains et d'autres enquêtes des autorités.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA gagnant 1.25 et 1.66%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit étant plus dispersés avec 0.34 et 1.13%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.2%, le procès-verbal de la réunion du conseil directeur de la Banque d'Angleterre de mars ayant montré dans la matinée que ses membres restaient sur leurs positions concernant les apports de capitaux, sur fond de stabilisation du marché du travail en février.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières se sont retrouvées dans la tourmente, le mastodonte minier BHP Billiton et Rio Tinto dérapant de 1.11%, ses rivaux Eurasian Natural Resources et Evraz n'étant pas en reste avec 3.63 et 3.53%.
La City était cependant moins unanime, HSBC Holdings arrachant 0.06% et la Royal Bank of Scotland 2.01%, tandis que Barclays et Lloyds Banking décevaient avec des faux pas de 0.36 et 0.32%.
L'assureur Aviva plongeait aussi de 2.69% sur fond de rumeurs selon lesquelles 1 500 emplois pourraient être supprimés en cas de son départ de Perth, en Ecosse, alors qu'il se disait qu'une déménagement vers Glasgow était envisagé une fois le bail de ses bureaux de Pitheavlis expiré l'année prochaine.
Les perspectives des marchés américains partageaiant l'optimisme général: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.27% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.49%.
La BCE avait par ailleurs signalé en début de journée que l'excédent de son compte courant était passé de 16 à 14.8 milliards d'euros pour janvier, alors qu'un repli à 7.9 milliards était envisagé.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.