Investing.com - Les bourses européennes étaient sans direction tranchée ce lundi après-midi, encouragées par de bons résultats de la région, la prudence demeurant de mise en raison des incertitudes sur les orientations de la banque centrale des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,03%, mais le CAC 40 français arrachait 0,09%, tandis que le DAX 30 allemand reculait de 0,13%.
Il avait auparavant été montré que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire là où elle a cours avait limité les dégâts en passant de 48,3 jusqu'à 49,8 en juillet, confirmant les signes de reprise régionaux.
Une étude officielle a d'autre part mis en relief une diminution de 0,5% des ventes au détail de la zone euro en juin, un léger soulagement par rapport aux 0,6% redoutés.
Les cours avaient repris du poil de la bête la semaine passée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré lors de sa conférence de presse post-réunion que les taux d'intérêt régionaux demeureraient faibles encore longtemps.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,29%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,67 et 1,32%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0,27 et 0,01%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit n'étant pas épargnés avec 1,40 et 0,52%.
Veolia Environnement bondissait par contre de 1,46%, malgré des profits nets dégringolant depuis 162 jusqu'à 3,6 millions d'euros d'une année sur l'autre, et des bénéfices d'exploitation passant de 373 à 364 millions d'euros dans le même temps.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, chutait de 0,04%, bien qu'il ait été montré que les prestataires de services britanniques avaient connu le mois passé leur plus nette embellie en plus de six ans et demi.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto gardaient toutefois la corde avec 0,61 et 0,52%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Vedanta Resources se joignant à la fête avec 1,66 et 3,98%.
La City suivait encore le chemin hésitant tracé sur le continent, HSBC Holdings dérapant de 3,88% et la Royal Bank of Scotland de 1,27%, tandis que Barclays se regonflait de 0,41% et Lloyds Banking de 3,76%.
La première avait avoué à la mi-journée avoir enregistré des rentrées inférieures aux estimations, son directeur général Stuart Gulliver déplorant un ralentissement de l'envolée des marchés émergents.
Les perspectives des marchés américains semblaient quand à elles moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,01% et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,02%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 laissaient espérer un sursaut de 0,05%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait de son côté révélé ce matin que son indice des directeurs des achats du secteur tertiaire espagnol avait grimpé à partir de 47,8 jusqu'à 48,5 en juillet, dépassant ainsi les 48,0 pressentis.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait conclure la journée avec son indice de l'activité non manufacturière.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,03%, mais le CAC 40 français arrachait 0,09%, tandis que le DAX 30 allemand reculait de 0,13%.
Il avait auparavant été montré que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire là où elle a cours avait limité les dégâts en passant de 48,3 jusqu'à 49,8 en juillet, confirmant les signes de reprise régionaux.
Une étude officielle a d'autre part mis en relief une diminution de 0,5% des ventes au détail de la zone euro en juin, un léger soulagement par rapport aux 0,6% redoutés.
Les cours avaient repris du poil de la bête la semaine passée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré lors de sa conférence de presse post-réunion que les taux d'intérêt régionaux demeureraient faibles encore longtemps.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,29%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,67 et 1,32%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0,27 et 0,01%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit n'étant pas épargnés avec 1,40 et 0,52%.
Veolia Environnement bondissait par contre de 1,46%, malgré des profits nets dégringolant depuis 162 jusqu'à 3,6 millions d'euros d'une année sur l'autre, et des bénéfices d'exploitation passant de 373 à 364 millions d'euros dans le même temps.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, chutait de 0,04%, bien qu'il ait été montré que les prestataires de services britanniques avaient connu le mois passé leur plus nette embellie en plus de six ans et demi.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto gardaient toutefois la corde avec 0,61 et 0,52%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Vedanta Resources se joignant à la fête avec 1,66 et 3,98%.
La City suivait encore le chemin hésitant tracé sur le continent, HSBC Holdings dérapant de 3,88% et la Royal Bank of Scotland de 1,27%, tandis que Barclays se regonflait de 0,41% et Lloyds Banking de 3,76%.
La première avait avoué à la mi-journée avoir enregistré des rentrées inférieures aux estimations, son directeur général Stuart Gulliver déplorant un ralentissement de l'envolée des marchés émergents.
Les perspectives des marchés américains semblaient quand à elles moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,01% et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,02%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 laissaient espérer un sursaut de 0,05%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait de son côté révélé ce matin que son indice des directeurs des achats du secteur tertiaire espagnol avait grimpé à partir de 47,8 jusqu'à 48,5 en juillet, dépassant ainsi les 48,0 pressentis.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait conclure la journée avec son indice de l'activité non manufacturière.