Investing.com - Les bourses européennes gardaient le sourire ce mardi, la confiance se trouvant confortée par les bons résultats de l'emploi de l'Espagne, dont la dette, ainsi que celle de la Grèce, semblaient devoir donner des signes d'amélioration.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.35%, le CAC 40 français de 0.52%, et le DAX 30 allemand de seulement 0.05%.
Le ministère du travail espagnol a en effet dénombré 74 300 demandeurs d'emploi supplémentaires en novembre, soit nettement moins que redouté suite aux 128 200 du mois précédent.
Les experts craignaint en effet d'en constater 90 500 pour la période considérée.
L'ambiance s'était déjà ragaillardie après que les autorités grecques aient lancé hier un plan de rachat de créances aux investisseurs privés, dans le cadre de l'accord lui débloquant l'accès aux 44 milliards d'euros de fonds de secours.
Les taux des emprunts contractés par Madrid ont fondu de leur côté après que le gouvernement ait formulé une demande officielle d'aides destinées à recapitaliser le secteur bancaire national.
La finance était en forme, les français BNP Paribas et Société Générale grimpant respectivement de 1.08 et 1.04%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzban avec 1.15 et 0.44%.
La périphérie n'était pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo gagnant 1.91 et 1.84%, les espagnols BBVA et Banco Santander leur emboîtant le pas avec 0.31 et 0.54%.
Tout n'était cependant pas rose, notamment en France où Renault reculait de 0.88% après qu'il ait été rapporté que ses ventes diminuaient plus vite que celles de tous les autres constructeurs automobiles européens.
A Londres, le FTSE 100 a grignoté 0.02%, soutenu par une City suivant le chemin tracé par ses homologues continentaux.
Barclays s'élevait de 0.65%, imité par la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking avec 0.79% tous les deux, tandis que HSBC Holdings décevait avec un faux pas de 0.13%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas non plus à négliger, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton frémissant de 0.34 et 0.09%, imités par la cuivrier Kazakhmys avec 0.34%.
Le fournisseur de matériel professionnel de plomberie et de chauffage Wolseley plongeait par contre de 1.31% malgré l'augmentation revendiquée de ses revenus au premier trimestre fiscal, avouant prévoir davantage de coûts de restructuration.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
Les ministres des finances de l'Union Européenne comptaient de leur côté poursuivre aujourd'hui leurs pourparlers dans la capitale belge.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.35%, le CAC 40 français de 0.52%, et le DAX 30 allemand de seulement 0.05%.
Le ministère du travail espagnol a en effet dénombré 74 300 demandeurs d'emploi supplémentaires en novembre, soit nettement moins que redouté suite aux 128 200 du mois précédent.
Les experts craignaint en effet d'en constater 90 500 pour la période considérée.
L'ambiance s'était déjà ragaillardie après que les autorités grecques aient lancé hier un plan de rachat de créances aux investisseurs privés, dans le cadre de l'accord lui débloquant l'accès aux 44 milliards d'euros de fonds de secours.
Les taux des emprunts contractés par Madrid ont fondu de leur côté après que le gouvernement ait formulé une demande officielle d'aides destinées à recapitaliser le secteur bancaire national.
La finance était en forme, les français BNP Paribas et Société Générale grimpant respectivement de 1.08 et 1.04%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzban avec 1.15 et 0.44%.
La périphérie n'était pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo gagnant 1.91 et 1.84%, les espagnols BBVA et Banco Santander leur emboîtant le pas avec 0.31 et 0.54%.
Tout n'était cependant pas rose, notamment en France où Renault reculait de 0.88% après qu'il ait été rapporté que ses ventes diminuaient plus vite que celles de tous les autres constructeurs automobiles européens.
A Londres, le FTSE 100 a grignoté 0.02%, soutenu par une City suivant le chemin tracé par ses homologues continentaux.
Barclays s'élevait de 0.65%, imité par la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking avec 0.79% tous les deux, tandis que HSBC Holdings décevait avec un faux pas de 0.13%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas non plus à négliger, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton frémissant de 0.34 et 0.09%, imités par la cuivrier Kazakhmys avec 0.34%.
Le fournisseur de matériel professionnel de plomberie et de chauffage Wolseley plongeait par contre de 1.31% malgré l'augmentation revendiquée de ses revenus au premier trimestre fiscal, avouant prévoir davantage de coûts de restructuration.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
Les ministres des finances de l'Union Européenne comptaient de leur côté poursuivre aujourd'hui leurs pourparlers dans la capitale belge.