Investing.com - Les bourses européennes étaient dans le vert ce lundi, alors que la confiance des investisseurs se trouvait encouragée par des signes mondiaux positifs et le renforcement par les ministres de la zone euro de la puissance de feu du fonds de secours régional.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.29%, le CAC 40 français de 0.52%, et le DAX 30 allemand de 1.05%.
Les valeurs ont retrouvé le sourire après que les résultats officiels dévoilés dimanche aient montré que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois s'était élevé en mars vers 53.1, son plus haut niveau en onze mois, contre 51 le mois précédent, dépassant les prévisions des experts.
Ces chiffres ont apaisé l'angoisse d'un essoufflement de la seconde économie mondiale, mais les observateurs demeuraient prudents dans l'attente de l'annonce des performances dans le même domaine de la Grande-Bretagne et des Etats-Unis, devant être révélées aujourd'hui.
L'atmosphère s'était déjà éclaircie avec l'accord des ministres des finances du bloc où elle a cours pour renforcer le pare-feu antidette adopté vendredi, afin de mieux empêcher la contamination des économies plus importantes comme celles de l'Espagne et de l'Italie.
Le secteur énergétique était en pointe suite aux performances chinoises, le fournisseur allemand d'électricité et de gaz E.ON AG gagnant 0.72%, son collègue cantonné aux services liés à l'électricité RWE AG prenant 0.21% et Total, géant français des hydrocarbures, grimpant de 2.26%.
Cimpor-Cimentos de Portugal SGPS SA a suivi le mouvement avec un envol de 9.88% après que le brésilien Camargo Correa ait offer d'en racheter le reste des parts n'étant pas déjà en sa possession pour 2.48 milliards d'euros.
Parmi les moins bonnes nouvelles, les banques européennes étaient à la peine, les français Société Générale et BNP Paribas fondant respectivement de 1.48 et 1.22%, et l'allemand Deutsche Bank de 0.5%.
Ceux de la périphérie ont également subi ce contrecoup, les espagnols Banco Santander et BBVA perdant 1.39 et 0.79%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit dévissant de leur côté de 0.3 et 0.69%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.51%, tiré vers le haut par des miniers en grande forme.
Le Rio Tinto Group, trisième plus grande compagnie minière au monde, se trouvait en tête de peloton avec un bond de 1.88%, son concurrent BHP Billiton lui emboîtant le pas avec 1.39%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas en reste avec 1.78 et 2.37%.
La finance brossait un tableau plus nuancé, la Royal Bank of Scotland gagnant 0.87%, Lloyds Banking, HSBC Holdings et Barclays laissant échapper 0.94, 0.63 et 0.39%.
La RBS avait annoncé ce matin avoir réussià sauver les meubles lors de la faillite du revendeur de jeux vidéo Game, après que le groupe d'investissement privé OpCapita en ait fait l'acquisition avec une manoeuvre assurant la sauvegarde de l'emploi de 270 travailleurs écossais.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.41%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir l'institut de gestion des approvisionnements ISM dévoiler cet après-midi ses résultats de l'activité manufacturière.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.29%, le CAC 40 français de 0.52%, et le DAX 30 allemand de 1.05%.
Les valeurs ont retrouvé le sourire après que les résultats officiels dévoilés dimanche aient montré que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois s'était élevé en mars vers 53.1, son plus haut niveau en onze mois, contre 51 le mois précédent, dépassant les prévisions des experts.
Ces chiffres ont apaisé l'angoisse d'un essoufflement de la seconde économie mondiale, mais les observateurs demeuraient prudents dans l'attente de l'annonce des performances dans le même domaine de la Grande-Bretagne et des Etats-Unis, devant être révélées aujourd'hui.
L'atmosphère s'était déjà éclaircie avec l'accord des ministres des finances du bloc où elle a cours pour renforcer le pare-feu antidette adopté vendredi, afin de mieux empêcher la contamination des économies plus importantes comme celles de l'Espagne et de l'Italie.
Le secteur énergétique était en pointe suite aux performances chinoises, le fournisseur allemand d'électricité et de gaz E.ON AG gagnant 0.72%, son collègue cantonné aux services liés à l'électricité RWE AG prenant 0.21% et Total, géant français des hydrocarbures, grimpant de 2.26%.
Cimpor-Cimentos de Portugal SGPS SA a suivi le mouvement avec un envol de 9.88% après que le brésilien Camargo Correa ait offer d'en racheter le reste des parts n'étant pas déjà en sa possession pour 2.48 milliards d'euros.
Parmi les moins bonnes nouvelles, les banques européennes étaient à la peine, les français Société Générale et BNP Paribas fondant respectivement de 1.48 et 1.22%, et l'allemand Deutsche Bank de 0.5%.
Ceux de la périphérie ont également subi ce contrecoup, les espagnols Banco Santander et BBVA perdant 1.39 et 0.79%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit dévissant de leur côté de 0.3 et 0.69%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.51%, tiré vers le haut par des miniers en grande forme.
Le Rio Tinto Group, trisième plus grande compagnie minière au monde, se trouvait en tête de peloton avec un bond de 1.88%, son concurrent BHP Billiton lui emboîtant le pas avec 1.39%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas en reste avec 1.78 et 2.37%.
La finance brossait un tableau plus nuancé, la Royal Bank of Scotland gagnant 0.87%, Lloyds Banking, HSBC Holdings et Barclays laissant échapper 0.94, 0.63 et 0.39%.
La RBS avait annoncé ce matin avoir réussià sauver les meubles lors de la faillite du revendeur de jeux vidéo Game, après que le groupe d'investissement privé OpCapita en ait fait l'acquisition avec une manoeuvre assurant la sauvegarde de l'emploi de 270 travailleurs écossais.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.41%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir l'institut de gestion des approvisionnements ISM dévoiler cet après-midi ses résultats de l'activité manufacturière.