Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce lundi, l'espoir que la Banque Centrale Européenne dévoile lors de sa réunion de cette semaine de nouvelles mesures destinées à apaiser les tensions pesant sur les coûts des emprunts espagnols et italiens regonflant le moral général.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.71%, le CAC 40 français de 0.58%, et le DAX 30 allemand de 0.46%.
Les actions avaient retrouvé le sourire la semaine dernière, après que Mario Draghi ait déclaré que la BCE protègerait le bloc euro de l'effondrement par tous les moyens nécessaires, alimentant l'espoir qu'elle ferait en sorte de rabaisser les coûts des emprunts de ses membres surendettés, notamment l'Espagne et l'Italie.
La chancelière allemande Angela Merkel et le président français François Hollande se sont engagés à faire de même dans un communiqué commun diffusé le lendemain, précisant être "profondément engagés dans la défense de l'intégrité du bloc euro".
Les conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale de mercredi sont elles aussi très attendues, sur fond de rumeurs selon lesquelles ses décideurs pourraient donnner des signes indiquant une série d'injections de liquidités supplémentaires.
La finance était largement en forme, l'italien Unicredit en tête avec un bond de 3.92%, les français BNP Paribas et Société Générale lui emboîtant respectivement le pas de 3.35 et 3.06%.
Leurs deux plus gros collègues allemands n'étaient pas en reste, la Deutsche Bank et Commerzbank s'élevant de 2.46 et 0.73%.
Parmi les entreprises ayant dévoilé leurs résultats, le groupe Air France-KLM s'est envolé de 9.11% grâce à des dégâts limités pour le second trimestre, grâce à une amélioration du nombre de ses passagers.
La multinationalle française Air Liquide a par contre cédé 0.77%, sa croissance pour la même période ayant été plus lente en Europe et en Asie, bien que ses bénéfices du premier semestre aient augmenté de 5.3% grâce à la demande industrielle pour les gaz provenant principalement d'Amérique du Nord, permettant ainsi le maintien des prévisions annuelles.
A Londres, le FTSE 100 a engrangé 0.4%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking a raflé 2.69%, Barclays 1.69%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings se contentant de 1.19 et 0.83%.
Les mastodontes minier Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste, avec 0.59 et 0.2% d'amélioration, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas à négliger avec des avancées de 0.65 et 0.35%.
Du côté des compagnies faisant l'actualité, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American a dérapé de 1.49% suite à l'aveu selon lequel ses profits opérationnels sous-jacents avaient dégringolé de 38% d'une année sur l'autre, pour passer à 3.7 milliards d'USD pour le premier semestre, se situant du coup au-dessosu des espoirs des analystes.
Parmi les autres moins bonnes nouvelles, la compagnie aérienne Ryanair Holdings a sombré de 3.53%, ses rentrées du premier trimestre ayant fondu en raison de la flambée des coûts du carburant.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.36% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.12%.
Des évaluations préliminaires avaient quand à elles signalé ce matin que le produit intérieur brut espagnol avait laissé échapper 0.4% au second trimestre, comme il avait été redouté, après avoir déjà diminué de 0.3% lors du précédent.
Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis, comptait de son côté rencontrer aujourd'hui Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, ainsi que Mario Draghi afin d'évoquer l'économie mondiale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.71%, le CAC 40 français de 0.58%, et le DAX 30 allemand de 0.46%.
Les actions avaient retrouvé le sourire la semaine dernière, après que Mario Draghi ait déclaré que la BCE protègerait le bloc euro de l'effondrement par tous les moyens nécessaires, alimentant l'espoir qu'elle ferait en sorte de rabaisser les coûts des emprunts de ses membres surendettés, notamment l'Espagne et l'Italie.
La chancelière allemande Angela Merkel et le président français François Hollande se sont engagés à faire de même dans un communiqué commun diffusé le lendemain, précisant être "profondément engagés dans la défense de l'intégrité du bloc euro".
Les conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale de mercredi sont elles aussi très attendues, sur fond de rumeurs selon lesquelles ses décideurs pourraient donnner des signes indiquant une série d'injections de liquidités supplémentaires.
La finance était largement en forme, l'italien Unicredit en tête avec un bond de 3.92%, les français BNP Paribas et Société Générale lui emboîtant respectivement le pas de 3.35 et 3.06%.
Leurs deux plus gros collègues allemands n'étaient pas en reste, la Deutsche Bank et Commerzbank s'élevant de 2.46 et 0.73%.
Parmi les entreprises ayant dévoilé leurs résultats, le groupe Air France-KLM s'est envolé de 9.11% grâce à des dégâts limités pour le second trimestre, grâce à une amélioration du nombre de ses passagers.
La multinationalle française Air Liquide a par contre cédé 0.77%, sa croissance pour la même période ayant été plus lente en Europe et en Asie, bien que ses bénéfices du premier semestre aient augmenté de 5.3% grâce à la demande industrielle pour les gaz provenant principalement d'Amérique du Nord, permettant ainsi le maintien des prévisions annuelles.
A Londres, le FTSE 100 a engrangé 0.4%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking a raflé 2.69%, Barclays 1.69%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings se contentant de 1.19 et 0.83%.
Les mastodontes minier Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste, avec 0.59 et 0.2% d'amélioration, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas à négliger avec des avancées de 0.65 et 0.35%.
Du côté des compagnies faisant l'actualité, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American a dérapé de 1.49% suite à l'aveu selon lequel ses profits opérationnels sous-jacents avaient dégringolé de 38% d'une année sur l'autre, pour passer à 3.7 milliards d'USD pour le premier semestre, se situant du coup au-dessosu des espoirs des analystes.
Parmi les autres moins bonnes nouvelles, la compagnie aérienne Ryanair Holdings a sombré de 3.53%, ses rentrées du premier trimestre ayant fondu en raison de la flambée des coûts du carburant.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.36% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.12%.
Des évaluations préliminaires avaient quand à elles signalé ce matin que le produit intérieur brut espagnol avait laissé échapper 0.4% au second trimestre, comme il avait été redouté, après avoir déjà diminué de 0.3% lors du précédent.
Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis, comptait de son côté rencontrer aujourd'hui Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, ainsi que Mario Draghi afin d'évoquer l'économie mondiale.