Investing.com - Les bourses européennes étaient pour la plupart en forme ce mercredi, les bons résultats manufacturiers des Etats-Unis apaisant les angoisses concernant le futur de leur économie, sur fond de craintes persistantes découlant de la dette de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.87%, le CAC 40 français de 1.14%, et le DAX 30 allemand de 1.15%.
Le moral a en effet retrouvé des couleurs après que l'institut de gestion des approvisionnements ISM ait déclaré hier que son indice de l'activité manufacturière était passé de 53.4 en mars à 54.8, alors qu'un recul à 53 était redouté.
Cette bonne surprise a étouffé l'angoisse d'une perte de vitesse de l'économie américaine découlant d'une série de performances médiocres, diminuant du même coup l'attente d'une troisième série d'assouplissements de la part de la Réserve Fédérale.
Les acteurs des marchés restaient tendus dans l'expectative des élections de fin de semaine en Grèce et en France, et de la réunion d'orientation politique de la Banque Centrale Européenne de demain.
La finance était en tête de peloton, les banques françaises Société Générale et BNP Paribas engrangeant respectivement 3.08 et 1.45%, les allemandes Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 1.4 et 1.9%.
L'UBS, première du secteur en Suisse, n'était pas en reste avec 2.43%, bien que ses bénéfices au permier trimestre se soient effondrés de 54% suite à des pertes de sa branche d'investissement et d'autres découlant de ses propres dettes.
En France, le constructeur automobile Peugeot a gagné 2.23% et son rival Renault 0.68% bien que les aimmatriculations nationales aient fondu de 1.6% en avril d'après les spécialistes du comité des constructeurs français d’automobiles.
A Londres, le FTSE 100 s'est par contre contracté de 0.18%, après qu'il ait été révélé hier que l'indice des directeurs des achats manufacturiers national était tombé à 50.5 ajustés pour avril, après s'être situé à 51.9 après révision à la baisse lors du mois précédent, demeurant toutefois au-dessus de la barre des 50 dénotant une croissance de la régression.
BSkyB se plaçait toutefois au tableau d'honneur, raflant 2.13% au lendemain de la déclaration d'un comité parlementaire britannique selon laquelle Rupert Murdoch, qui en détient 39% par l'intermédiaire de News Corporation, n'était pas "apte à assurer la direction d'une multinationale majeure".
BAE Systems Plc, premier fournisseur d'équipements de défense européen, a grignoté 0.07% de son côté, après avoir affirmé constater une avancée modeste de ses revenus par action pour 2012, les transactions sur les quatre premiers mois de l'année ayant été conformes à ses attentes.
La City était plus mitigée, HSBC Holdings prenant 0.36%, tandis que la Royal Bank of Scotland, Barclays et Lloyds Banking laissaient échapper 1.42, 1.04 et 0.76%.
Cette dernière avait fait savoir hier qu'elle avait encaissé 2 millions de bénéfices nets au premier trimestre, mettant de côté des capitaux afin de couvrir d'éventuelles réclamations de clients concernant des ventes d'assurances protégeant leurs paiements, et qu'elle se préparait à une période de stagnation économique dans le Royaume-Uni.
Dans le secteur énergétique, le géant des hydrocarbures BP à reculé de 0.34%, se trouvant toujours affecté par l'aveu mardi d'une plongée de ses profits au premier trimestre en raison de sa baisse de productivité ayant découlé de la marée noire qu'il avait provoquée en 2010.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.11% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.08%.
La zone euro divulguera dans la journée son taux de chômage officiel, tandis que les autorités allemandes révèleront les évolutions qu'elles auront constatées sur le marché du travail.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste avec le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi non agricole, puis les autorités du pays dévoileront le volume des commandes passées auprès des usines et l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.87%, le CAC 40 français de 1.14%, et le DAX 30 allemand de 1.15%.
Le moral a en effet retrouvé des couleurs après que l'institut de gestion des approvisionnements ISM ait déclaré hier que son indice de l'activité manufacturière était passé de 53.4 en mars à 54.8, alors qu'un recul à 53 était redouté.
Cette bonne surprise a étouffé l'angoisse d'une perte de vitesse de l'économie américaine découlant d'une série de performances médiocres, diminuant du même coup l'attente d'une troisième série d'assouplissements de la part de la Réserve Fédérale.
Les acteurs des marchés restaient tendus dans l'expectative des élections de fin de semaine en Grèce et en France, et de la réunion d'orientation politique de la Banque Centrale Européenne de demain.
La finance était en tête de peloton, les banques françaises Société Générale et BNP Paribas engrangeant respectivement 3.08 et 1.45%, les allemandes Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 1.4 et 1.9%.
L'UBS, première du secteur en Suisse, n'était pas en reste avec 2.43%, bien que ses bénéfices au permier trimestre se soient effondrés de 54% suite à des pertes de sa branche d'investissement et d'autres découlant de ses propres dettes.
En France, le constructeur automobile Peugeot a gagné 2.23% et son rival Renault 0.68% bien que les aimmatriculations nationales aient fondu de 1.6% en avril d'après les spécialistes du comité des constructeurs français d’automobiles.
A Londres, le FTSE 100 s'est par contre contracté de 0.18%, après qu'il ait été révélé hier que l'indice des directeurs des achats manufacturiers national était tombé à 50.5 ajustés pour avril, après s'être situé à 51.9 après révision à la baisse lors du mois précédent, demeurant toutefois au-dessus de la barre des 50 dénotant une croissance de la régression.
BSkyB se plaçait toutefois au tableau d'honneur, raflant 2.13% au lendemain de la déclaration d'un comité parlementaire britannique selon laquelle Rupert Murdoch, qui en détient 39% par l'intermédiaire de News Corporation, n'était pas "apte à assurer la direction d'une multinationale majeure".
BAE Systems Plc, premier fournisseur d'équipements de défense européen, a grignoté 0.07% de son côté, après avoir affirmé constater une avancée modeste de ses revenus par action pour 2012, les transactions sur les quatre premiers mois de l'année ayant été conformes à ses attentes.
La City était plus mitigée, HSBC Holdings prenant 0.36%, tandis que la Royal Bank of Scotland, Barclays et Lloyds Banking laissaient échapper 1.42, 1.04 et 0.76%.
Cette dernière avait fait savoir hier qu'elle avait encaissé 2 millions de bénéfices nets au premier trimestre, mettant de côté des capitaux afin de couvrir d'éventuelles réclamations de clients concernant des ventes d'assurances protégeant leurs paiements, et qu'elle se préparait à une période de stagnation économique dans le Royaume-Uni.
Dans le secteur énergétique, le géant des hydrocarbures BP à reculé de 0.34%, se trouvant toujours affecté par l'aveu mardi d'une plongée de ses profits au premier trimestre en raison de sa baisse de productivité ayant découlé de la marée noire qu'il avait provoquée en 2010.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.11% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.08%.
La zone euro divulguera dans la journée son taux de chômage officiel, tandis que les autorités allemandes révèleront les évolutions qu'elles auront constatées sur le marché du travail.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste avec le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi non agricole, puis les autorités du pays dévoileront le volume des commandes passées auprès des usines et l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.