Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce vendredi matin, encouragées par la première accélération de la croissance chinoise en deux ans, le chef du gouvernement britannique ayant annulé son discours devant redéfinir les relations de son pays avec l'Union Européenne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.2%, le CAC 40 français de 0.22%, et le DAX 30 allemand de 0.05%.
L'atmosphère s'est en effet éclaircie après qu'une étude officielle ait montré que le produit intérieur brut de la Chine avait bondi au quatrième trimestre de 7.9% par rapport à l'année dernière, au lieu des 7.8% espérés suite aux 7.4% précédents.
La pression visant à renégocier les termes d'appartenance à l'UE s'accentuait sur le premier ministre David Cameron, dans l'attente d'un referendum sur la question, qui ne devrait toutefois pas intervenir avant les élections légisatives de 2015.
La finance était en pointe, les français BNP Paribas et Société Générale encaissant respectivment 1.27 et 0.49%, suivis des allemand Commerzbank et Deutsche Bank avec 1.27 et 0.24%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit engrangeant 0.67 et 1.15%, les espagnols Banco Santander et BBVA leur emboîtant le pas avec 0.93 et 1.17%.
Parmi les entreprises annonçant leurs résultats, ASML Holding s'élevait de 2.29% grâce à la revendication après la clôture de mercredi de bénéfices nets passant d'une année sur l'autre de 284.7 à 297.1 millions d'euros pour le quatrième trimestre.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.29%, tiré vers le haut par ses exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto avançant de 0.61 et 1.67%, imités par leur rival Evraz avec 1.54%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.62%, tandis que BP décevait avec un recul de 0.3%.
La City était encore plus mitigée, HSBC Holdings laissant échapper 0.01%, et la Royal Bank of Scotland 0.78%, tandis que Barclays et Lloyds Banking ajoutaient 0.11 et 0.19% à leurs besaces.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un faux pas de 0.11%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le baromètre de l'humeur des particuliers établi par l'université du Michigan.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.2%, le CAC 40 français de 0.22%, et le DAX 30 allemand de 0.05%.
L'atmosphère s'est en effet éclaircie après qu'une étude officielle ait montré que le produit intérieur brut de la Chine avait bondi au quatrième trimestre de 7.9% par rapport à l'année dernière, au lieu des 7.8% espérés suite aux 7.4% précédents.
La pression visant à renégocier les termes d'appartenance à l'UE s'accentuait sur le premier ministre David Cameron, dans l'attente d'un referendum sur la question, qui ne devrait toutefois pas intervenir avant les élections légisatives de 2015.
La finance était en pointe, les français BNP Paribas et Société Générale encaissant respectivment 1.27 et 0.49%, suivis des allemand Commerzbank et Deutsche Bank avec 1.27 et 0.24%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit engrangeant 0.67 et 1.15%, les espagnols Banco Santander et BBVA leur emboîtant le pas avec 0.93 et 1.17%.
Parmi les entreprises annonçant leurs résultats, ASML Holding s'élevait de 2.29% grâce à la revendication après la clôture de mercredi de bénéfices nets passant d'une année sur l'autre de 284.7 à 297.1 millions d'euros pour le quatrième trimestre.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.29%, tiré vers le haut par ses exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto avançant de 0.61 et 1.67%, imités par leur rival Evraz avec 1.54%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.62%, tandis que BP décevait avec un recul de 0.3%.
La City était encore plus mitigée, HSBC Holdings laissant échapper 0.01%, et la Royal Bank of Scotland 0.78%, tandis que Barclays et Lloyds Banking ajoutaient 0.11 et 0.19% à leurs besaces.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un faux pas de 0.11%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le baromètre de l'humeur des particuliers établi par l'université du Michigan.