Investing.com - Les bourses européennes étaient en progression modeste après l'ouverture ce mercredi, alors que le net recul d'hier avait créé des opportunités d'achat, malgré le spectre persistant d'un "atterrissage en catastrophe" possible pour la Chine.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a avancé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.5%, et DAX 30 allemand de 0.3%.
Les places mondiales avaient en effet subi une forte pression baissière, encouragée par l'angoisse d'un ralentissement plus important que redouté de la croissance économique chinoise après que le géant des matières premières BHP Billiton ait déclaré que la demande en minerai de fer du pays était "en train d'atteindre un plateau".
Cette remarque faisait écho à la récente révision à la baisse des objectifs de progression de la Chine, et à son déficit du commerce extérieur supérieur aux craintes.
Une perte de vitesse aggravée de la seconde économie de la planète mettrait à mal la reprise mondiale, déjà handicapée par les mesures de rigueur draconiennes prises en Europe.
Les valeurs ont toutefois rebondi aujourd'hui, les constructeurs automobiles rattrapant une partie des dégâts de suite à la révision à la hausse de l'évaluation du secteur par Citigroup, passant de "neutre" à "poids lourd".
En France, Renault et Peugeot ont respectivement engrangé 2.1 et 1.4%, tandis que Daimler s'élevait de 1.1% à Francfort et BMW de 0.85%.
La finance n'était pas en reste, grâce au soulagement collectif après que la date fatidique du 20 mars, qui voyait la Grèce risquer le défaut de paiement, soit passée sans encombre.
Les banques allemandes Deutsche Bank et Commerzbank ont gagné 1.3 et 1.7%, leurs collègues françaises BNP Paribas et Société Générale se contentant de 1.1 et 0.8%.
Il n'en a pas été de même en Italie, les observateurs attendaient d'autre part une motion de confiance italienne en cours de journée, devant permettre au premier ministre de mettre en place des réformes concernant le marché de l'emploi national.
Unicredit a ainsi trébuché de 0.25% et Intesa Sanpaolo de 0.2%.
Les revendeurs allemands n'ont guère brillé, le fournisseur d'articles de sport Adidas dérapant de 1.8% après que Morgan Stanley en ait dégradé la notation, et METRO s'effondrant de 4% après que HSBC l'ait passé de "neutre" à "décevant".
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.25%, à l'orée de la présentation du budget prévue dans la journée, les établissements financiers se trouvant mitigés, Barclays prenant 0.4% mais le Lloyds Banking Group cédant 0.8%.
Les miniers étaient aussi en demi-teinte face à la peur d'une foonte de la demande chinoise, premier consommateur de nombre de matériaux bruts, le mastodonte minier Rio Tinto laissant échapper 0.6%, alors que son rival Rio Tinto arrachait 0.35%.
Tout n'était cependant pas désespéré, J Sainsbury, troisième chaîne de supermarchés britannique, s'envolant de 3.1% après avoir battu les prévisions de croissance des ventes au quatrième trimestre grâce à la prise de parts de marché de ses rivaux.
Le Vodafone Group s'est pour sa part renforcé de 1.4% après que Goldman Sachs ait rajouté l'opérateur de téléphonie mobile dans sa liste d'achats certains.
Les perspectives des marchés américains étaient également prudemment optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis devraient quand à eux dévoiler dans l'après-midi leurs informations concernant les ventes de logements d'occasion.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a avancé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.5%, et DAX 30 allemand de 0.3%.
Les places mondiales avaient en effet subi une forte pression baissière, encouragée par l'angoisse d'un ralentissement plus important que redouté de la croissance économique chinoise après que le géant des matières premières BHP Billiton ait déclaré que la demande en minerai de fer du pays était "en train d'atteindre un plateau".
Cette remarque faisait écho à la récente révision à la baisse des objectifs de progression de la Chine, et à son déficit du commerce extérieur supérieur aux craintes.
Une perte de vitesse aggravée de la seconde économie de la planète mettrait à mal la reprise mondiale, déjà handicapée par les mesures de rigueur draconiennes prises en Europe.
Les valeurs ont toutefois rebondi aujourd'hui, les constructeurs automobiles rattrapant une partie des dégâts de suite à la révision à la hausse de l'évaluation du secteur par Citigroup, passant de "neutre" à "poids lourd".
En France, Renault et Peugeot ont respectivement engrangé 2.1 et 1.4%, tandis que Daimler s'élevait de 1.1% à Francfort et BMW de 0.85%.
La finance n'était pas en reste, grâce au soulagement collectif après que la date fatidique du 20 mars, qui voyait la Grèce risquer le défaut de paiement, soit passée sans encombre.
Les banques allemandes Deutsche Bank et Commerzbank ont gagné 1.3 et 1.7%, leurs collègues françaises BNP Paribas et Société Générale se contentant de 1.1 et 0.8%.
Il n'en a pas été de même en Italie, les observateurs attendaient d'autre part une motion de confiance italienne en cours de journée, devant permettre au premier ministre de mettre en place des réformes concernant le marché de l'emploi national.
Unicredit a ainsi trébuché de 0.25% et Intesa Sanpaolo de 0.2%.
Les revendeurs allemands n'ont guère brillé, le fournisseur d'articles de sport Adidas dérapant de 1.8% après que Morgan Stanley en ait dégradé la notation, et METRO s'effondrant de 4% après que HSBC l'ait passé de "neutre" à "décevant".
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.25%, à l'orée de la présentation du budget prévue dans la journée, les établissements financiers se trouvant mitigés, Barclays prenant 0.4% mais le Lloyds Banking Group cédant 0.8%.
Les miniers étaient aussi en demi-teinte face à la peur d'une foonte de la demande chinoise, premier consommateur de nombre de matériaux bruts, le mastodonte minier Rio Tinto laissant échapper 0.6%, alors que son rival Rio Tinto arrachait 0.35%.
Tout n'était cependant pas désespéré, J Sainsbury, troisième chaîne de supermarchés britannique, s'envolant de 3.1% après avoir battu les prévisions de croissance des ventes au quatrième trimestre grâce à la prise de parts de marché de ses rivaux.
Le Vodafone Group s'est pour sa part renforcé de 1.4% après que Goldman Sachs ait rajouté l'opérateur de téléphonie mobile dans sa liste d'achats certains.
Les perspectives des marchés américains étaient également prudemment optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis devraient quand à eux dévoiler dans l'après-midi leurs informations concernant les ventes de logements d'occasion.