Investing.com - Les bourses européennes restaient en nette difficulté ce jeudi après-midi, l'angoisse s'étant mise à régner après que le chef de la banque centrale des Etats-Unis ait rappelé qu'elle pourrait diminuer le volume de ses rachats d'actifs d'ici peu.
En secnode partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 s'écroulait de 2,33%, le CAC 40 français de 2,32%, et le DAX 30 allemand de 2,31%.
Il avait été montré ce matin que l'évaluation préalable de son baromètre de l'activité manufacturée du bloc ayant adopté la monnaie unique passait de 48,3 vers 48,7 pour juin, demeurant simplement largement inférieurs à la barre des 50 dénotant une croissance du secteur et inversement.
Celui portant sur son tertiaire a pour sa part évolué dans le même temps depuis 47,2 jusqu'à 48,6, sa meilleure valeur en quinze mois, dépassant nettement les 47,5 avancés.
Les cours avaient déjà subi les propos de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé hier que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et qu'elle pourrait même les interrompre d'ici la mi-2014 au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
Le moral avait aussi sombré à l'aube, après qu'il ait été signalé que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par la banque HSBC, avait plongé depuis 49,2 vers 48,3 pour juin, son pire niveau en neuf mois, laissant redouter une aggravation de l'essoufflement de son secteur secondaire.
La finance était encore plus arc-boutée sur la défensive, la Deutsche Bank allemande laissait ainsi échapper 3,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 3,01 et 3,54%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de 2,86 et 3,26%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 3,40 et 3,03%.
A Londres, le FTSE 100 dérapait de 2,16%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, après que les autorités britanniques aient constaté des ventes au détail en mai, dépassant largement les performances pressenties.
Lloyds Banking sombrait de 0,62%, HSBC Holdings de 2,45%, la Royal Bank of Scotland de 3,09% et Barclays de 3,57%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du Royaume-Uni, avait avoué que le gouvernement "envisageait activement" la vente de ses parts de la première.
Cette nouvelle survenait après qu'un rapport parlementaire ait révélé hier que celle-ci, dont 39% appartiennent à l'état, était mieux placée que la troisième pour redevenir privée.
Aberdeen Asset Management, premier gestionnaire de fortune d'Ecosse, était aussi dans l'ornière, glissant de 6,21% après que Goldman Sachs en ait rabaissé l'appréciation depuis le conseil d'achat vers la neutralité.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 4,71 et 5,03%, leurs rivaux Polymetal et Rangold Resources n'étant pas à l'abri avec 7,35 et 7,62%.
Les perspectives des marchés américains partageaient plus modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,73%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,93% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,98%.
Le groupe de recherches économiques Markit a quand à lui montré ce matin que son baromètre de l'activité des usines allemandes s'était érodé depuis les 49,4 définitifs de mai vers 48,7, une déception au regard des 49,8 envisagés.
Son équivalent pour les prestataires de services a par contre rebondi depuis 49,7 vers 51,3 dans le même temps, dépassant ainsi les 50,0 pressentis.
La zone euro comptait elle aussi fournir aujourd'hui une première estimation de l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure avec la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier les chiffres des ventes de logements d'occasion, et l'indice manufacturier de la région de Philadelphie.
En secnode partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 s'écroulait de 2,33%, le CAC 40 français de 2,32%, et le DAX 30 allemand de 2,31%.
Il avait été montré ce matin que l'évaluation préalable de son baromètre de l'activité manufacturée du bloc ayant adopté la monnaie unique passait de 48,3 vers 48,7 pour juin, demeurant simplement largement inférieurs à la barre des 50 dénotant une croissance du secteur et inversement.
Celui portant sur son tertiaire a pour sa part évolué dans le même temps depuis 47,2 jusqu'à 48,6, sa meilleure valeur en quinze mois, dépassant nettement les 47,5 avancés.
Les cours avaient déjà subi les propos de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé hier que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et qu'elle pourrait même les interrompre d'ici la mi-2014 au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
Le moral avait aussi sombré à l'aube, après qu'il ait été signalé que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par la banque HSBC, avait plongé depuis 49,2 vers 48,3 pour juin, son pire niveau en neuf mois, laissant redouter une aggravation de l'essoufflement de son secteur secondaire.
La finance était encore plus arc-boutée sur la défensive, la Deutsche Bank allemande laissait ainsi échapper 3,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 3,01 et 3,54%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de 2,86 et 3,26%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 3,40 et 3,03%.
A Londres, le FTSE 100 dérapait de 2,16%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, après que les autorités britanniques aient constaté des ventes au détail en mai, dépassant largement les performances pressenties.
Lloyds Banking sombrait de 0,62%, HSBC Holdings de 2,45%, la Royal Bank of Scotland de 3,09% et Barclays de 3,57%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du Royaume-Uni, avait avoué que le gouvernement "envisageait activement" la vente de ses parts de la première.
Cette nouvelle survenait après qu'un rapport parlementaire ait révélé hier que celle-ci, dont 39% appartiennent à l'état, était mieux placée que la troisième pour redevenir privée.
Aberdeen Asset Management, premier gestionnaire de fortune d'Ecosse, était aussi dans l'ornière, glissant de 6,21% après que Goldman Sachs en ait rabaissé l'appréciation depuis le conseil d'achat vers la neutralité.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 4,71 et 5,03%, leurs rivaux Polymetal et Rangold Resources n'étant pas à l'abri avec 7,35 et 7,62%.
Les perspectives des marchés américains partageaient plus modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,73%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,93% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,98%.
Le groupe de recherches économiques Markit a quand à lui montré ce matin que son baromètre de l'activité des usines allemandes s'était érodé depuis les 49,4 définitifs de mai vers 48,7, une déception au regard des 49,8 envisagés.
Son équivalent pour les prestataires de services a par contre rebondi depuis 49,7 vers 51,3 dans le même temps, dépassant ainsi les 50,0 pressentis.
La zone euro comptait elle aussi fournir aujourd'hui une première estimation de l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure avec la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier les chiffres des ventes de logements d'occasion, et l'indice manufacturier de la région de Philadelphie.