Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce jeudi, alors que les investisseurs surveillaient les débats grecs sur la rigueur, leur ascension restant toutefois limitée par une série de résultats décevants.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a gagné 0.3%, le CAC 40 français 0.37%, et le DAX 30 allemand 0.49%.
Les observateurs gardaient en effet le parlement hellène en ligne de mire, alors qu'il débattait des changements législatifs devant précéder une restructuration massive de sa dette lui permettant d'éviter un défaut de paiement.
Ces nouvelles loiss, devant être votées en cours de journée, font partie de l'accord de secours à hauteur de 130 milliards d'euros décidé en début de semaine et devant remettre le pays sur les rails menant vers un niveau d'endettement viable d'ici 2020.
Le Crédit Agricole, troisième prêteur français, a plongé de 2.14% suite à l'aveu de 3.07 milliards d'euros de pertes au quatrième trimestre, découlant de la mise de côté de fonds pour sa branche de détail grecque et de la perte de valeur de ses investissements.
Commerzbank, seconde banque allemande, n'a guère fait mieux, s'écroulant de 3.29% alors qu'elle comptait prendre des mesures de recapitalisation afin de renforcer sa force financière, bien qu'elle ait annoncé des profits au dernier trimestre en hausse de 23% après le rachat de produits hybrides imposé par le gendarme des banques européennes.
Vallourec, fabricant français de tuyaux d'acier pour l'industrie des hydrocarbures, a pour sa part dévissé de 3.61% bien qu'il ait enregistré des bénéfices ayant pris 8.3% pour se situer à 117 millions d'euros, dépassant ainsi les estimations des experts.
Tout n'était cependant pas désespéré, Swiss Re s'envolant de 5.26%, le second plus grand réassureur du monde ayant remonté son dividende annuel de 2.75 à 3 CHF pour 2011, ses revenus nets du quatrième trimestre se situant à 983 millions d'USD, après en avoir perdu 725 millions au cours de l'année précédente.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.31%, stimulé par la bonne forme du secteur financier.
La Royal Bank of Scotland a raflé 3.11%, Lloyds Banking 2.09%, Barclays et HSBC Holdings se contentant de 1.17 et 0.15%.
RBS s'est toutefois effondrée de 3.5% après avoir avoué que ses pertes nettes annuelles avaient augmenté jusqu'à 2 milliards de GBP.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont contribué à l'offensive, avec 0.8 et 0.07% d'amélioration, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 0.04 et 0.87%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.35%.
L'institut Ifo pour la recherche économique devrait dévoiler aujourd'hui son état du baromètre des affaires allemandes, tandis que les autorités des Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a gagné 0.3%, le CAC 40 français 0.37%, et le DAX 30 allemand 0.49%.
Les observateurs gardaient en effet le parlement hellène en ligne de mire, alors qu'il débattait des changements législatifs devant précéder une restructuration massive de sa dette lui permettant d'éviter un défaut de paiement.
Ces nouvelles loiss, devant être votées en cours de journée, font partie de l'accord de secours à hauteur de 130 milliards d'euros décidé en début de semaine et devant remettre le pays sur les rails menant vers un niveau d'endettement viable d'ici 2020.
Le Crédit Agricole, troisième prêteur français, a plongé de 2.14% suite à l'aveu de 3.07 milliards d'euros de pertes au quatrième trimestre, découlant de la mise de côté de fonds pour sa branche de détail grecque et de la perte de valeur de ses investissements.
Commerzbank, seconde banque allemande, n'a guère fait mieux, s'écroulant de 3.29% alors qu'elle comptait prendre des mesures de recapitalisation afin de renforcer sa force financière, bien qu'elle ait annoncé des profits au dernier trimestre en hausse de 23% après le rachat de produits hybrides imposé par le gendarme des banques européennes.
Vallourec, fabricant français de tuyaux d'acier pour l'industrie des hydrocarbures, a pour sa part dévissé de 3.61% bien qu'il ait enregistré des bénéfices ayant pris 8.3% pour se situer à 117 millions d'euros, dépassant ainsi les estimations des experts.
Tout n'était cependant pas désespéré, Swiss Re s'envolant de 5.26%, le second plus grand réassureur du monde ayant remonté son dividende annuel de 2.75 à 3 CHF pour 2011, ses revenus nets du quatrième trimestre se situant à 983 millions d'USD, après en avoir perdu 725 millions au cours de l'année précédente.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.31%, stimulé par la bonne forme du secteur financier.
La Royal Bank of Scotland a raflé 3.11%, Lloyds Banking 2.09%, Barclays et HSBC Holdings se contentant de 1.17 et 0.15%.
RBS s'est toutefois effondrée de 3.5% après avoir avoué que ses pertes nettes annuelles avaient augmenté jusqu'à 2 milliards de GBP.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont contribué à l'offensive, avec 0.8 et 0.07% d'amélioration, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 0.04 et 0.87%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.35%.
L'institut Ifo pour la recherche économique devrait dévoiler aujourd'hui son état du baromètre des affaires allemandes, tandis que les autorités des Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.