Investing.com - Les bourses européennes étaient en bonne forme ce mercredi, suivant le chemin tracé par leurs homologues du reste du monde, l'évaluation positive de l'économie des Etats-Unis faite par la banque centrale du pays et la réussite des tests d'effort de bon nombre d'établissements financiers nationaux majeurs encourageant le moral.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.05%, le CAC 40 français de 0.7%, et le DAX 30 allemand de 1%.
Les valeurs d'outre-Atlantique ont connu hier leur meilleure journée de l'année 2012, clôturant à des sommets jamais vus depuis plusieurs années, après que la Réserve Fédérale ait déclaré voir des signes d'amélioration de l'économie, s'attendre à voir le taux de chômage continuer à baisser, et constater un apaisement des pressions touchant la finance mondiale.
L'euphorie a encore été encouragée par son annonce surprise des résultats des tests annuels de la capacité des banques à faire face aux épreuves, JP Morgan-Chase et 14 autres les ayant réussis, tandis que quatre autres, notamment Citigroup, avaient échoué.
Ces performances ont tiré leurs collègues européennes vers le haut, les poids lourds allemands Deutsche Bank et Commerzbank s'élevant respectivement de 3.15 et 2.85%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale suivaient le mouvement avec 3 et 2.5%.
Ceux de la périphérie n'étaient pas en reste, l'italien Intesa Sanpaolo gagnant 2.55% et l'espagnol Banco Santander 2.15%.
Le fournisseur de services collectifs germanique E.ON s'est pour sa part envolé de 6% après avoir enregistré des bénéfices supérieurs aux attentes pour 2011, ses recettes explosant de 22% pour totaliser 113 milliards d'euros sur la période considérée.
Pour rester en Allemagne, le tailleur de luxe Hugo Boss s'est regonflé de 8.5% après avoir fait savoir que ses profits opérationnels de 2012 pourraient crooître de plus de 10%.
Les observateurs attendaient avec impatience les chiffres de l'inflation à la consommation de la zone euro, ainsi que les résultats de sa production industrielle.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.45%, atteignant son plus haut niveau depuis juillet, tiré vers le haut par son secteur financier.
Barclays a raflé 3.25%, le Lloyds Banking Group 2.15%, HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se contentant de 1 et 1.8%.
Il ne fallait pas négliger la contribution de Legal & General Group, quatrième assureur du pays, avançant de 4.9% avec l'augmentation de son dividende et des bénéfices opérationnels dépassant les espérances avec 1.06 milliards de GBP pour 2011.
Le Home Retail Group s'est pour sa part ragaillardi de 5.5% après qque JP Morgan en ait positivement revu l'appréciation, de "poids plume" à "poids lourd".
Les autorités du Royaume-Uni comptaient dévoiler dans la journée l'évolution du nombre des demandeurs d'emploi, ainsi que le taux de chômage national.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois d'un optimisme plus prudent: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1% également.
Les Etats-Unis divulgueront quand à eux cet l'après-midi le solde officiel du compte courant du pays, ainsi que des informations sur les prix à l'importation et l'inventaire des réserves de pétrole brut, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, prononcera un discours.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.05%, le CAC 40 français de 0.7%, et le DAX 30 allemand de 1%.
Les valeurs d'outre-Atlantique ont connu hier leur meilleure journée de l'année 2012, clôturant à des sommets jamais vus depuis plusieurs années, après que la Réserve Fédérale ait déclaré voir des signes d'amélioration de l'économie, s'attendre à voir le taux de chômage continuer à baisser, et constater un apaisement des pressions touchant la finance mondiale.
L'euphorie a encore été encouragée par son annonce surprise des résultats des tests annuels de la capacité des banques à faire face aux épreuves, JP Morgan-Chase et 14 autres les ayant réussis, tandis que quatre autres, notamment Citigroup, avaient échoué.
Ces performances ont tiré leurs collègues européennes vers le haut, les poids lourds allemands Deutsche Bank et Commerzbank s'élevant respectivement de 3.15 et 2.85%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale suivaient le mouvement avec 3 et 2.5%.
Ceux de la périphérie n'étaient pas en reste, l'italien Intesa Sanpaolo gagnant 2.55% et l'espagnol Banco Santander 2.15%.
Le fournisseur de services collectifs germanique E.ON s'est pour sa part envolé de 6% après avoir enregistré des bénéfices supérieurs aux attentes pour 2011, ses recettes explosant de 22% pour totaliser 113 milliards d'euros sur la période considérée.
Pour rester en Allemagne, le tailleur de luxe Hugo Boss s'est regonflé de 8.5% après avoir fait savoir que ses profits opérationnels de 2012 pourraient crooître de plus de 10%.
Les observateurs attendaient avec impatience les chiffres de l'inflation à la consommation de la zone euro, ainsi que les résultats de sa production industrielle.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.45%, atteignant son plus haut niveau depuis juillet, tiré vers le haut par son secteur financier.
Barclays a raflé 3.25%, le Lloyds Banking Group 2.15%, HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se contentant de 1 et 1.8%.
Il ne fallait pas négliger la contribution de Legal & General Group, quatrième assureur du pays, avançant de 4.9% avec l'augmentation de son dividende et des bénéfices opérationnels dépassant les espérances avec 1.06 milliards de GBP pour 2011.
Le Home Retail Group s'est pour sa part ragaillardi de 5.5% après qque JP Morgan en ait positivement revu l'appréciation, de "poids plume" à "poids lourd".
Les autorités du Royaume-Uni comptaient dévoiler dans la journée l'évolution du nombre des demandeurs d'emploi, ainsi que le taux de chômage national.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois d'un optimisme plus prudent: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1% également.
Les Etats-Unis divulgueront quand à eux cet l'après-midi le solde officiel du compte courant du pays, ainsi que des informations sur les prix à l'importation et l'inventaire des réserves de pétrole brut, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, prononcera un discours.