Investing.com - Les bourses européennes ont poursuivi leur offensive ce mardi après-midi, alors que les yeux demeuraient braqués sur les intempéries américaines.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.99%, le CAC 40 français de 0.98%, et le DAX 30 allemand de 0.84%.
L'atmosphère s'était éclaircie après que les premiers bilans des dégâts causés par l'ouragan Sandy aient été rassurants.
Les craintes au sujet des perspectives économiques de la zone euro étaient par contre revenues au premier plan, après qu'une étude émanant des autorités ait dénombré pour octobre 20 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en Allemagne, soit le double des 10 000 déjà redoutés.
Le taux de chômage a du coup fremi jusqu'à 6.9%, atteignant ainsi le niveau de septembre après révision à la hausse des 6.8% initialement mesurés.
Il était cependant à noter que des chiffres officiels avaient montré que l'économie de l'Espagne ne s'était contractée que de 0.3% au troisième trimestre, au lieu des 0.4% redoutés, dérapant cependant de 1.6% par rapport à l'année passée.
La finance était encore nettement en forme, les français BNP Paribas engrangeant respectivement 0.69 et 1.02%, surpassés par les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 1.92 et 3.9%.
Cette dernière avait fait savoir en début de matinée que ses bénéfices du troisième trimestre avaient augmenté de manière inattendue après que sa branche d'affaires ait dépassé ses objectifs.
L'UBS n'était pas en reste, raflant 4.65% suite à la révélation de son plan de réduction de 3.4 milliards de CHF de ses coûts de fonctionnement annuels d'ici la fin 2015 en réduisant le nombre de ses employés aux alentours des 54 000.
Le fournisseur majeur de carburants qu'est l'italien Eni SpA s'est toutefois contenté de 1.85%, avec des profits nets opérationnels ajustés à 1.78 milliards d'euros entre début juillet et fin septembre, au lieu des 1.56 milliards envisagés.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.74%, tiré vers le haut par l'offensive des exploitants.
BP, poids lourd des hydrocarbures, était en tête avec 3.73%, après avoir proclamé une progression depuis 5 jusqu'à 5.4 milliards d'USD de ses bénéfices nets entre ses troisièmes trimestres 2011 et 2012, imité par son rival Anglo American avec 0.74%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 1.62 et 1.04%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys non plus avec 1.37 et 1.61%.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland se contentant de 0.51%, Lloyds Banking de 0.84% et Barclays de 1.87%, tandis que HSBC Holdings décevait avec un dérapage de 0.07%.
Les marchés américains s'apprêtaient par ailleurs à rester clos pour la seconde journée d'affilée en raison de problèmes météorologiques exceptionnels.
Les Etats-Unis comptaient de leur coté diffuser en fin de journée leur baromètre de la confiance de leurs consommateurs, ainsi que l'évolution des coûts des logements constatée par les spécialistes de l'immobilier.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.99%, le CAC 40 français de 0.98%, et le DAX 30 allemand de 0.84%.
L'atmosphère s'était éclaircie après que les premiers bilans des dégâts causés par l'ouragan Sandy aient été rassurants.
Les craintes au sujet des perspectives économiques de la zone euro étaient par contre revenues au premier plan, après qu'une étude émanant des autorités ait dénombré pour octobre 20 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en Allemagne, soit le double des 10 000 déjà redoutés.
Le taux de chômage a du coup fremi jusqu'à 6.9%, atteignant ainsi le niveau de septembre après révision à la hausse des 6.8% initialement mesurés.
Il était cependant à noter que des chiffres officiels avaient montré que l'économie de l'Espagne ne s'était contractée que de 0.3% au troisième trimestre, au lieu des 0.4% redoutés, dérapant cependant de 1.6% par rapport à l'année passée.
La finance était encore nettement en forme, les français BNP Paribas engrangeant respectivement 0.69 et 1.02%, surpassés par les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 1.92 et 3.9%.
Cette dernière avait fait savoir en début de matinée que ses bénéfices du troisième trimestre avaient augmenté de manière inattendue après que sa branche d'affaires ait dépassé ses objectifs.
L'UBS n'était pas en reste, raflant 4.65% suite à la révélation de son plan de réduction de 3.4 milliards de CHF de ses coûts de fonctionnement annuels d'ici la fin 2015 en réduisant le nombre de ses employés aux alentours des 54 000.
Le fournisseur majeur de carburants qu'est l'italien Eni SpA s'est toutefois contenté de 1.85%, avec des profits nets opérationnels ajustés à 1.78 milliards d'euros entre début juillet et fin septembre, au lieu des 1.56 milliards envisagés.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.74%, tiré vers le haut par l'offensive des exploitants.
BP, poids lourd des hydrocarbures, était en tête avec 3.73%, après avoir proclamé une progression depuis 5 jusqu'à 5.4 milliards d'USD de ses bénéfices nets entre ses troisièmes trimestres 2011 et 2012, imité par son rival Anglo American avec 0.74%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 1.62 et 1.04%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys non plus avec 1.37 et 1.61%.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland se contentant de 0.51%, Lloyds Banking de 0.84% et Barclays de 1.87%, tandis que HSBC Holdings décevait avec un dérapage de 0.07%.
Les marchés américains s'apprêtaient par ailleurs à rester clos pour la seconde journée d'affilée en raison de problèmes météorologiques exceptionnels.
Les Etats-Unis comptaient de leur coté diffuser en fin de journée leur baromètre de la confiance de leurs consommateurs, ainsi que l'évolution des coûts des logements constatée par les spécialistes de l'immobilier.