Investing.com - Les bourses européennes étaient en repli ce lundi matin, la nervosité étant palpable à dans l'expectative de la réunion imminente des ministres des finances du bloc régional, tandis que la déception dûe à l'activité des usines chinoises ravivait les inquiétudes au sujet de la croissance mondiale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,30%, le CAC 40 français de 0,25%, et le DAX 30 allemand de 0,26%.
Une étude officielle avait en effet souligné à l'aube que la production industrielle de la Chine avait augmenté de 9,3% en avril, au lieu des 9,5% envisagés dans le sillage des 8,9% précédents.
Ces statistiques sans éclat laissaient imaginer un essoufflement de la relance du pays, constituant un débouché crucial pour les exportations de la région.
La finance était sur la défensive, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank se rétractant respectivement de 4,25 et 0,80%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1,30 et 1,07%.
La première avait auparavant fait savoir qu'elle comptait émettre de nouvelles actions afin de lever 2,5 milliards d'euros.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutannt de 1,09 et 1,07%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,93 et 0,01%.
Adecco, première agence de travail temporaire au monde, bondissait toutefois de 1,01% après que JP Morgan-Chase é Co en ait relevé son appréciation depuis la neutralité vers de la bienveillance, invoquant la diminution des risques économiques.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,28%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland plongeait de 0,87%, et Barclays de 1,19%, HSBC Holdings et Lloyds Banking faisant bien pire avec 1,35 et 1,57%.
La banque Standard Chartered s'est quand à elle effondrée de 4,25% après que Carson Block, spécialiste des ventes à découvert dirigeant Muddy Waters LLC, ait affirmé parier à l'encontre des dettes qu'elle émet.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,90 et 1,12%, Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American n'étant pas en reste avec 1,60%.
Les perspectives des marchés américains partageaient ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,30%.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe comptaient tenir aujourd'hui des négociations à Bruxelles.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leurs volumes offficiels des ventes auprès des particuliers.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,30%, le CAC 40 français de 0,25%, et le DAX 30 allemand de 0,26%.
Une étude officielle avait en effet souligné à l'aube que la production industrielle de la Chine avait augmenté de 9,3% en avril, au lieu des 9,5% envisagés dans le sillage des 8,9% précédents.
Ces statistiques sans éclat laissaient imaginer un essoufflement de la relance du pays, constituant un débouché crucial pour les exportations de la région.
La finance était sur la défensive, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank se rétractant respectivement de 4,25 et 0,80%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1,30 et 1,07%.
La première avait auparavant fait savoir qu'elle comptait émettre de nouvelles actions afin de lever 2,5 milliards d'euros.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutannt de 1,09 et 1,07%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,93 et 0,01%.
Adecco, première agence de travail temporaire au monde, bondissait toutefois de 1,01% après que JP Morgan-Chase é Co en ait relevé son appréciation depuis la neutralité vers de la bienveillance, invoquant la diminution des risques économiques.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,28%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland plongeait de 0,87%, et Barclays de 1,19%, HSBC Holdings et Lloyds Banking faisant bien pire avec 1,35 et 1,57%.
La banque Standard Chartered s'est quand à elle effondrée de 4,25% après que Carson Block, spécialiste des ventes à découvert dirigeant Muddy Waters LLC, ait affirmé parier à l'encontre des dettes qu'elle émet.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,90 et 1,12%, Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American n'étant pas en reste avec 1,60%.
Les perspectives des marchés américains partageaient ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,30%.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe comptaient tenir aujourd'hui des négociations à Bruxelles.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leurs volumes offficiels des ventes auprès des particuliers.