Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce vendredi matin, encouragées par la bonne surprise des résultats manufacturiers régionaux, tandis que les yeux se tournaient vers les chiffres de l'emploi américain de la fin de journée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.35%, le CAC 40 français de 0.89%, et le DAX 30 allemand de 0.67%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fait savoir que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de l'Espagne était remonté depuis 44.6 jusqu'à 46.1 pour janvier, au lieu des 45.5 espérés.
Celui de l'Italie est passé de 46.7 à 47.8 dans le même temps, dépassant ainsi les 47.6 prédits.
L'étude ajoutait que celui de la zone euro avait frémi de 47.5 vers 47.9, alors qu'une stagnation était redoutée sur la période considérée.
L'attention se reportait désormais vers le rapport sur l'emploi hors agriculture national qui sera publié cet après-midi, après que celui de l'agence de gestion des ressources humaines ADP ait montré la création de 192 000 emplois au cours du mois dernier, dépassant nettement les 165 000 anticipés.
La finance arborait un large sourire, les français BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement de 1.43 et 1.38%, imités par les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 1.24 et 0.86%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que le Crédit Agricole, troisième acteur du secteur en France, comptait devoir enregistrer 2.68 milliards d'euros de dévaluations volontaires au quatrième trimestre, afin de refléter le durcissement de la règlementation et l'aggravation de la situation économique, ce qui ne l'empêchait pas de suivre ses collègues de 1.57%.
Les constructeurs automobiles, et notamment germaniques, étaient aussi en pleine accélération, les groups Daimler et Volkswagen en tête avec 0.65 et 1.38%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.56%, tiré vers le haut par des extracteurs et des exploitants pleins de dynamisme, bien qu'il ait été montré que l'activité manufacturière du Royaume-Uni avait davantage diminué qu'anticipé au cours du mois dernier.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, raflait ainsi 1.48%, son rival BP 0.48%, mais Tullow Oil les surpassait avec 2.15%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto n'étaient pas en reste avec 0.94 et 1.94%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata non plus avec 1.51 et 0.89% d'amélioration.
La City était par contre moins unanime, Barclays grignotant 0.01%, HSBC Holdings 0.04%, et Lloyds Banking 0.6%, tandis que la Royal Bank of Scotland nageait à contre-courant, sombrant de 0.2%.
Les perspectives des marchés américains étaient malgré tout nettement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.48%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.42%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le rapport gouvernemental crucial sur le nombre des employés hors agriculture et le taux des demandeurs d'emploi, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements rendra son rapport sur l'activité des usines nationales.
L'université du Michigan fera de même avec son étude révisée sur le moral des consommateurs.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.35%, le CAC 40 français de 0.89%, et le DAX 30 allemand de 0.67%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fait savoir que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de l'Espagne était remonté depuis 44.6 jusqu'à 46.1 pour janvier, au lieu des 45.5 espérés.
Celui de l'Italie est passé de 46.7 à 47.8 dans le même temps, dépassant ainsi les 47.6 prédits.
L'étude ajoutait que celui de la zone euro avait frémi de 47.5 vers 47.9, alors qu'une stagnation était redoutée sur la période considérée.
L'attention se reportait désormais vers le rapport sur l'emploi hors agriculture national qui sera publié cet après-midi, après que celui de l'agence de gestion des ressources humaines ADP ait montré la création de 192 000 emplois au cours du mois dernier, dépassant nettement les 165 000 anticipés.
La finance arborait un large sourire, les français BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement de 1.43 et 1.38%, imités par les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 1.24 et 0.86%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que le Crédit Agricole, troisième acteur du secteur en France, comptait devoir enregistrer 2.68 milliards d'euros de dévaluations volontaires au quatrième trimestre, afin de refléter le durcissement de la règlementation et l'aggravation de la situation économique, ce qui ne l'empêchait pas de suivre ses collègues de 1.57%.
Les constructeurs automobiles, et notamment germaniques, étaient aussi en pleine accélération, les groups Daimler et Volkswagen en tête avec 0.65 et 1.38%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.56%, tiré vers le haut par des extracteurs et des exploitants pleins de dynamisme, bien qu'il ait été montré que l'activité manufacturière du Royaume-Uni avait davantage diminué qu'anticipé au cours du mois dernier.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, raflait ainsi 1.48%, son rival BP 0.48%, mais Tullow Oil les surpassait avec 2.15%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto n'étaient pas en reste avec 0.94 et 1.94%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata non plus avec 1.51 et 0.89% d'amélioration.
La City était par contre moins unanime, Barclays grignotant 0.01%, HSBC Holdings 0.04%, et Lloyds Banking 0.6%, tandis que la Royal Bank of Scotland nageait à contre-courant, sombrant de 0.2%.
Les perspectives des marchés américains étaient malgré tout nettement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.48%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.42%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le rapport gouvernemental crucial sur le nombre des employés hors agriculture et le taux des demandeurs d'emploi, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements rendra son rapport sur l'activité des usines nationales.
L'université du Michigan fera de même avec son étude révisée sur le moral des consommateurs.