Investing.com - Les bourses d'Europe étaient sur la défensive ce vendredi matin, alors que le moral se trouvait légèrement affecté à l'orée de la seconde journée de négociations de l'Union Européenne par l'absence d'annonce concernant les problèmes de surendettement de la Grèce et de l'Espagne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.22%, le CAC 40 français de 0.03%, et le DAX 30 allemand de 0.25%.
Lors de leur réunion d'hier à Bruxelles, les dirigeants régionaux ont avancé dans la mise en place d'une supervision bancaire unifiée du bloc euro, mais n'ont comme prévu pas évoqué le futur immédiat de la gestion des problèmes financiers espagnols et grecs.
La nervosité s'était aussi trouvée exacerbée par les performances économiques américaines mitigées dévoilée hier, après que les autoriités aient constaté 388 000 nouvelles inscriptions hebdomadaires au chômage tandis que l'indice manufacturier établi par la Banque de Réserve Fédérale de Philadelphie se situait à 5.7 pour ce mois-ci, au lieu des -1.9 du précédent.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.26 et 0.67%, imités par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 1.06 et 0.5%.
Il en était de même à la périphérie, l'italien Unicredit reculant de 0.54%, de même que les espagnols BBVA et Banco Santander avec 1.2 et 0.85%.
SMA Solar Technology, premier fournisseur d'électricité solaire d'Allemagne en valeur boursière, a carrément fondu de 23.08%, ayant prévu une plongée de son chiffre d'affaires de l'année prochaine en raison de suppressions "massives" des subventions de l'Europe, ternissant ainsi l'attrait de son offre.
Les supermarchés Carrefour gardaient par contre le sourire après que Cencosud SA, premier grand distributeur chilien en volume des ventes, ait accepté d'en acquérir la branche colombienne pour 2 milliards d'euros, dettes comprises.
A Londres, le FTSE 100 a fléchi de 0.07%, les établissement financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings a ainsi dérapé de 0.36%, et la Royal Bank of Scotland de 1.13%, alors que Barclays et Lloyds Banking dégrigolaient de 1.79% de concert.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 1.18 et 0.32%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys limitant les dégâts à 1.11 et 0.64%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient un faux pas de 0.03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.04%.
Une étude émanant des autorités allemandes avait de son côté montré en début de journée que les prix à la consommation du pays avaient évolué sans surprise en septembre, frémissant de 0.03% après les 0.05% constatés le mois précédent.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.22%, le CAC 40 français de 0.03%, et le DAX 30 allemand de 0.25%.
Lors de leur réunion d'hier à Bruxelles, les dirigeants régionaux ont avancé dans la mise en place d'une supervision bancaire unifiée du bloc euro, mais n'ont comme prévu pas évoqué le futur immédiat de la gestion des problèmes financiers espagnols et grecs.
La nervosité s'était aussi trouvée exacerbée par les performances économiques américaines mitigées dévoilée hier, après que les autoriités aient constaté 388 000 nouvelles inscriptions hebdomadaires au chômage tandis que l'indice manufacturier établi par la Banque de Réserve Fédérale de Philadelphie se situait à 5.7 pour ce mois-ci, au lieu des -1.9 du précédent.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.26 et 0.67%, imités par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 1.06 et 0.5%.
Il en était de même à la périphérie, l'italien Unicredit reculant de 0.54%, de même que les espagnols BBVA et Banco Santander avec 1.2 et 0.85%.
SMA Solar Technology, premier fournisseur d'électricité solaire d'Allemagne en valeur boursière, a carrément fondu de 23.08%, ayant prévu une plongée de son chiffre d'affaires de l'année prochaine en raison de suppressions "massives" des subventions de l'Europe, ternissant ainsi l'attrait de son offre.
Les supermarchés Carrefour gardaient par contre le sourire après que Cencosud SA, premier grand distributeur chilien en volume des ventes, ait accepté d'en acquérir la branche colombienne pour 2 milliards d'euros, dettes comprises.
A Londres, le FTSE 100 a fléchi de 0.07%, les établissement financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings a ainsi dérapé de 0.36%, et la Royal Bank of Scotland de 1.13%, alors que Barclays et Lloyds Banking dégrigolaient de 1.79% de concert.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 1.18 et 0.32%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys limitant les dégâts à 1.11 et 0.64%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient un faux pas de 0.03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.04%.
Une étude émanant des autorités allemandes avait de son côté montré en début de journée que les prix à la consommation du pays avaient évolué sans surprise en septembre, frémissant de 0.03% après les 0.05% constatés le mois précédent.