Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mercredi, le moral des investisseurs s'étant affaibli à l'approche d'une mise aux enchères de bons du trésor allemands, sur fond de craintes liées à la crise de la dette régionale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 1.11%, le CAC 40 français de 0.66%, et le DAX 30 allemand de 0.57%.
Les observateurs demeuraient sur le qui-vive alors que l'Allemagne s'apprêtait à vendre 5 milliards d'euroos en bons du trésor décennaux au cours de la journée.
Ils attendaient également la rencontre entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français prévue pour le 9 janvier devant porter sur le renforcement de l'intégration fiscale de l'Union Européenne.
La finance coiffait le bonnet d'âne, la Deutsche Bank allemande dégringolant de 2.11%, et les français BNP Paribas et Société Générale de respectivement 1.3 et 2.22%.
Ceux de la périphérie ont également subi ce contrecoup, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo s'effondrant de 9.79 et 4.05%, tandis que les espanols BBVA et Banco Santander jugulaient l'hémorrhagie à 3.15 et 4.18%.
Audika Groupe a pour sa part reculé de 2.43% après avoir revu ses prévisions de ventes pour 2011 à la baisse, déclarant que les conditions économiques "très défavorables" avaient poussé bon nombre de ses clients à repousser l'achat de leurs prothèses auditives.
Vestas Wind Systems, premier fabricant d'éoliennes au monde, n'a pas mieux fait, s'écroulant de 17.96% après avoir rabaissé son volume des ventes espérées.
A Londres, le FTSE 100 a à peine arraché 0.01%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a sombré de 1.11%, et HSBC Holdings de 0.97%, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking limitant les dégâts à 0.76 et 0.19%.
Next, second distributeur vestimentaire du pays, a pour sa part subi un repli de 4.28% après avoir rapporté une baisse des quantités écoulées dépassant les craintes, la croissance de ses recettes en ligne n'ayant pas suffi à compenser le déclin de ses boutiques au cours d'une période incluant pourtant le pic des ventes de fin d'année.
Tout n'était cependant pas désespéré, le secteur énergétique se trouvant en grande forme, British Petroleum raflaant 1.33%, le mastodonte minier Rio Tinto 0.65% et son collègue BHP Billiton 0.29%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois mitigées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur 0.1% de progression.
La zone euro devrait dévoiler en cours de journée un rapport préliminaire sur son son évolution des prix à la consommation, et :ls Etats-Unis feront de même avec la quantité de commandes passées auprès des usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 1.11%, le CAC 40 français de 0.66%, et le DAX 30 allemand de 0.57%.
Les observateurs demeuraient sur le qui-vive alors que l'Allemagne s'apprêtait à vendre 5 milliards d'euroos en bons du trésor décennaux au cours de la journée.
Ils attendaient également la rencontre entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français prévue pour le 9 janvier devant porter sur le renforcement de l'intégration fiscale de l'Union Européenne.
La finance coiffait le bonnet d'âne, la Deutsche Bank allemande dégringolant de 2.11%, et les français BNP Paribas et Société Générale de respectivement 1.3 et 2.22%.
Ceux de la périphérie ont également subi ce contrecoup, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo s'effondrant de 9.79 et 4.05%, tandis que les espanols BBVA et Banco Santander jugulaient l'hémorrhagie à 3.15 et 4.18%.
Audika Groupe a pour sa part reculé de 2.43% après avoir revu ses prévisions de ventes pour 2011 à la baisse, déclarant que les conditions économiques "très défavorables" avaient poussé bon nombre de ses clients à repousser l'achat de leurs prothèses auditives.
Vestas Wind Systems, premier fabricant d'éoliennes au monde, n'a pas mieux fait, s'écroulant de 17.96% après avoir rabaissé son volume des ventes espérées.
A Londres, le FTSE 100 a à peine arraché 0.01%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a sombré de 1.11%, et HSBC Holdings de 0.97%, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking limitant les dégâts à 0.76 et 0.19%.
Next, second distributeur vestimentaire du pays, a pour sa part subi un repli de 4.28% après avoir rapporté une baisse des quantités écoulées dépassant les craintes, la croissance de ses recettes en ligne n'ayant pas suffi à compenser le déclin de ses boutiques au cours d'une période incluant pourtant le pic des ventes de fin d'année.
Tout n'était cependant pas désespéré, le secteur énergétique se trouvant en grande forme, British Petroleum raflaant 1.33%, le mastodonte minier Rio Tinto 0.65% et son collègue BHP Billiton 0.29%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois mitigées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur 0.1% de progression.
La zone euro devrait dévoiler en cours de journée un rapport préliminaire sur son son évolution des prix à la consommation, et :ls Etats-Unis feront de même avec la quantité de commandes passées auprès des usines.