Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mercredi, dans l'attente de la publications des performances européennes, et dans l'ombre de l'épée de Damoclès de la gestion de la dette espagnole.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.18%, le CAC 40 français de 0.34%, et le DAX 30 allemand de 0.1%.
Le goût pour le risque a en effet fondu après que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy ait exclu dans la soirée de mardi qu'une demande de secours soit formulée avant la fin de semaine, malgré les rumeurs grandissantes d'un recours à une aide extérieure.
L'agence Moody's a par contre fait savoir qu'elle révèlerait en cours de mois les conclusions de sa révision de la notation du pays, éloignant ainsi le spectre d'une dégradation imminente.
Des chiffres officiels ont toutefois montré en début de matinée que la croissance des services chinois avait été plus modérée en septembre, attisant l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
La finance était mitigée, les français Société Générale et BNP Paribas perdant respectivement 0.58 et 0.11%, tandis que l'allemand Deutsche Bank bondissait de 1.39% et que son compatriote Commerzbank plongeait de 0.97%.
Sanofi, en tête de l'industrie pharmaceutique de France, a aussi laissé échapper 0.51% après que Bristol-Myers Squibb ait accepté de lui rétrocéder les droits de l'anticoagulant Plavix et du traitement contre l'hypertension Avapro à présent que les brevets assurant leur propriété intellectuelle sont en cours d'expiration.
Parmi less autres mauvaises nouvelles, Telefonica, premier opérateur téléphonique espagnol, a trébuché de 0.09%, suite sa déclaration d'intention de demander aux autorités la permision de revendre sa branche allemande O2 Germany.
A Londres, le FTSE 100 a glissé de 0.14%, tiré vers le haut par une étude montrant que l'activité tertiaire nationale avait subi un septembre un revers plus grave qu'anticipé.
Tesco, premier acteur de la grande distribution britannique, se trouvait parmi les lanternes rouges, s'effondrant de 1.37% après avoir avoué la première diminution de ses bénéfices en près de deux décennies, alors qu'il tâchait de mettre fin à la diminution des ventes par magasin en investissant dans ses supermarchés.
La City était toutefois plus enthousiaste, HSBC Holdings grimpant de 0.52%, la Royal Bank of Scotland de 0.47% et Lloyds Banking de 0.49%, tandis que Barclays décevait avec un faux pas de 0.01%.
Les mastodontes miniers ne dégagaient pas non plus de tendance claire, Rio Tinto engrangeant 1.14% et BHP Billiton dérapant de 0.23%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avançant toutefois de 1.14 et 0.28%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt neutres: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un frémissement de 0.07%.
La zone euro devrait fournir aujourd'hui la révision des résultats de l'activité de son secteur tertiaire, ainsi que le volume des ventes au détail, après quoi aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP conclura de son côté la journée avec ses informations au sujet de l'évolution du nombre des salariés hors agriculture, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements divulguera une étude sur l'activité dans le domaine des services.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.18%, le CAC 40 français de 0.34%, et le DAX 30 allemand de 0.1%.
Le goût pour le risque a en effet fondu après que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy ait exclu dans la soirée de mardi qu'une demande de secours soit formulée avant la fin de semaine, malgré les rumeurs grandissantes d'un recours à une aide extérieure.
L'agence Moody's a par contre fait savoir qu'elle révèlerait en cours de mois les conclusions de sa révision de la notation du pays, éloignant ainsi le spectre d'une dégradation imminente.
Des chiffres officiels ont toutefois montré en début de matinée que la croissance des services chinois avait été plus modérée en septembre, attisant l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
La finance était mitigée, les français Société Générale et BNP Paribas perdant respectivement 0.58 et 0.11%, tandis que l'allemand Deutsche Bank bondissait de 1.39% et que son compatriote Commerzbank plongeait de 0.97%.
Sanofi, en tête de l'industrie pharmaceutique de France, a aussi laissé échapper 0.51% après que Bristol-Myers Squibb ait accepté de lui rétrocéder les droits de l'anticoagulant Plavix et du traitement contre l'hypertension Avapro à présent que les brevets assurant leur propriété intellectuelle sont en cours d'expiration.
Parmi less autres mauvaises nouvelles, Telefonica, premier opérateur téléphonique espagnol, a trébuché de 0.09%, suite sa déclaration d'intention de demander aux autorités la permision de revendre sa branche allemande O2 Germany.
A Londres, le FTSE 100 a glissé de 0.14%, tiré vers le haut par une étude montrant que l'activité tertiaire nationale avait subi un septembre un revers plus grave qu'anticipé.
Tesco, premier acteur de la grande distribution britannique, se trouvait parmi les lanternes rouges, s'effondrant de 1.37% après avoir avoué la première diminution de ses bénéfices en près de deux décennies, alors qu'il tâchait de mettre fin à la diminution des ventes par magasin en investissant dans ses supermarchés.
La City était toutefois plus enthousiaste, HSBC Holdings grimpant de 0.52%, la Royal Bank of Scotland de 0.47% et Lloyds Banking de 0.49%, tandis que Barclays décevait avec un faux pas de 0.01%.
Les mastodontes miniers ne dégagaient pas non plus de tendance claire, Rio Tinto engrangeant 1.14% et BHP Billiton dérapant de 0.23%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avançant toutefois de 1.14 et 0.28%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt neutres: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un frémissement de 0.07%.
La zone euro devrait fournir aujourd'hui la révision des résultats de l'activité de son secteur tertiaire, ainsi que le volume des ventes au détail, après quoi aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP conclura de son côté la journée avec ses informations au sujet de l'évolution du nombre des salariés hors agriculture, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements divulguera une étude sur l'activité dans le domaine des services.