Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mardi, le goût pour les valeurs risquées étant revenu après que les membres de l'Eurogroupe aient négocié le déblocage des prochains fonds de secours destinés à la Grèce.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.6%, le CAC 40 français de 0.7%, et le DAX 30 allemand de 0.7% également.
Les ministres des finances du bloc euro, la Banque Centrale Européenne et le Fonds Monétaire International ont en effet trouvvé à Bruxelles un terrain d'entente lors d'une réunion achevée à l'aube, revoyant les objectifs de réduction de la dette hellène à la baisse de 40 milliards d'euros, afin qu'elle ne représente plus que 124% du produit intérieur brut national d'ici 2020.
Ils ont aussi réduit les taux des prêts de secours, suspendu les paiements d'intérêts pour dix ans, donné davantage de temps au pays pour rembourser et lancer un processus de rachat de ses obligations, se préparant à lui octroyer une bouée de sauvetage de 34.4 milliards d'euros en décembre.
Athènes devrait ainsi recevoir un prêt crucial de 34.4 milliards d'euros le mois prochain, apaisant du coup l'angoisse d'un défaut de paiement et d'une sortie du bloc euro.
Jean-Claude Juncker, président de l'Eurogroupe, a déclaré que les représentants de ce dernier donneraient leur approbation formelle à l'attribution de ces capitaux de secours le 13 décembre.
Les opérateurs demeuraient cependant prudents, estimant que cette avancée ne résolvait pas fondamentalement la crise de la dette européenne.
La finance était largement en forme, les français BNP Paribas et Société Générale engrangeant respectivement 1.9 et 2.3%, surpassés par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 2.5 et 3%.
Il en était de même à la périphérie, l'italien Intesa Sanpaolo progressant de 1% et l'espagnol BBVA de 0.9%.
Il était aussi à signaler qu'en France, les spiritueux Rémy Cointreau s'étaient envolés de 3.8% grâce à la revendication de profits opérationnels ajustés ayant grimpé à 141.5 millions d'euros pour le premier semestre, au lieu des 137.3 millions attendus.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.5%, dans l'xpectative de l'évaluation préliminaire du PIB britannique du troisième trimestre.
La City était en première ligne, la Royal Bank of Scotland raflant 3.7%, le Lloyds Banking Group 2.35% et Barclays 1.1%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas en reste, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se renforçant respectivement de 1.2 et 1.1%, et le spécialiste de l'argent Fresnillo de 2.7%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois plus modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
L'attention restait toutefois attirée par la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer aujourd'hui le volume officiel des commandes de bien durables, ainsi que les variations des coûts des logements.
Le Conference Board publiera de plus une étude sur la confiance des consommateurs américains, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, prononcera un discours bref à l'occasion des finales du concours national universitaire de la Fed à Washington D.C.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.6%, le CAC 40 français de 0.7%, et le DAX 30 allemand de 0.7% également.
Les ministres des finances du bloc euro, la Banque Centrale Européenne et le Fonds Monétaire International ont en effet trouvvé à Bruxelles un terrain d'entente lors d'une réunion achevée à l'aube, revoyant les objectifs de réduction de la dette hellène à la baisse de 40 milliards d'euros, afin qu'elle ne représente plus que 124% du produit intérieur brut national d'ici 2020.
Ils ont aussi réduit les taux des prêts de secours, suspendu les paiements d'intérêts pour dix ans, donné davantage de temps au pays pour rembourser et lancer un processus de rachat de ses obligations, se préparant à lui octroyer une bouée de sauvetage de 34.4 milliards d'euros en décembre.
Athènes devrait ainsi recevoir un prêt crucial de 34.4 milliards d'euros le mois prochain, apaisant du coup l'angoisse d'un défaut de paiement et d'une sortie du bloc euro.
Jean-Claude Juncker, président de l'Eurogroupe, a déclaré que les représentants de ce dernier donneraient leur approbation formelle à l'attribution de ces capitaux de secours le 13 décembre.
Les opérateurs demeuraient cependant prudents, estimant que cette avancée ne résolvait pas fondamentalement la crise de la dette européenne.
La finance était largement en forme, les français BNP Paribas et Société Générale engrangeant respectivement 1.9 et 2.3%, surpassés par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 2.5 et 3%.
Il en était de même à la périphérie, l'italien Intesa Sanpaolo progressant de 1% et l'espagnol BBVA de 0.9%.
Il était aussi à signaler qu'en France, les spiritueux Rémy Cointreau s'étaient envolés de 3.8% grâce à la revendication de profits opérationnels ajustés ayant grimpé à 141.5 millions d'euros pour le premier semestre, au lieu des 137.3 millions attendus.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.5%, dans l'xpectative de l'évaluation préliminaire du PIB britannique du troisième trimestre.
La City était en première ligne, la Royal Bank of Scotland raflant 3.7%, le Lloyds Banking Group 2.35% et Barclays 1.1%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas en reste, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se renforçant respectivement de 1.2 et 1.1%, et le spécialiste de l'argent Fresnillo de 2.7%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois plus modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
L'attention restait toutefois attirée par la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer aujourd'hui le volume officiel des commandes de bien durables, ainsi que les variations des coûts des logements.
Le Conference Board publiera de plus une étude sur la confiance des consommateurs américains, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, prononcera un discours bref à l'occasion des finales du concours national universitaire de la Fed à Washington D.C.