Investing.com - Les bourses d'Europe étaient sur la défensive ce vendredi matin, alors que l'angoisse régnait à l'approche des pourparlers cruciaux entre le président américain Barack Obama et les députés républicains afin de résoudre le problème du mur fiscal, sur fond de dette persistante du Vieux Continent.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.09%, mais le CAC 40 français arrachait 0.03%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.08%.
L'attention demeurait en effet focalisée sur la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent en effet que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
L'inquiétude était aussi de mise après que des chiffres officiels aient montré hier que le produit intérieur brut de la zone euro s'était contracté de 0.1% au troisième trimestre après les 0.2% déjà constatés lors du second, constituant ainsi un récession technique en raison de ses deux trimestres négatifs d'affilée.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 0.62 et 0.24%, suivis des allemands Deutscche Bank et Commerzbank avec 0.39 et 0.54%.
Le suisse STMicroelectronics, premier fabricant de semiconducteurs du continent, se trouvait aussi en difficulté, plongeant de 2.38% alors qu'il se disait que sa scission en deux entités serait probablement refusée suite aux désaccords entre les dirigeants français et italiens sur les modalités de la manoeuvre.
L'éditeur de logiciels SAP était par contre dans le peloton de tête, bondissant de 1.66% après avoir revendiqué une forte croissance après le lancement de sa grande base de données HANA, obtenant l'adhésion de 20 compagnies comptant s'en servir pour leurs applications.
A Londres, le FTSE 100, trébuchait de 0.09%, avec la prudence comme maître-mot.
La City ne savait sur quel pied danser, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking grignotant 0.09 et 0.13%, tandis que Barclays et HSBC Holdings fléchissaient de 0.01 et 0.26%.
Le mastodonte minier Rio Tinto frémissait de 0.02% tandis que son rival BHP Billiton fondait de 0.12%.
Les cuivriers n'étaient pas plus tranchés, Xstrata faiblissant de 0.2% et Kazakhmys avançant de 0.37%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi plutôt moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient un faux pas de 0.06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.05%.
La zone euro devait dévoiler aujourd'hui l'état officiel de son compte courant, fortement liée à la popularité de sa monnaie.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le taux d'utilisation des capacités et la production des industries, ainsi qu'une étude sur l'équilibre entre les achats de titres nationaux et ceux de l'étranger.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.09%, mais le CAC 40 français arrachait 0.03%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.08%.
L'attention demeurait en effet focalisée sur la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent en effet que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
L'inquiétude était aussi de mise après que des chiffres officiels aient montré hier que le produit intérieur brut de la zone euro s'était contracté de 0.1% au troisième trimestre après les 0.2% déjà constatés lors du second, constituant ainsi un récession technique en raison de ses deux trimestres négatifs d'affilée.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 0.62 et 0.24%, suivis des allemands Deutscche Bank et Commerzbank avec 0.39 et 0.54%.
Le suisse STMicroelectronics, premier fabricant de semiconducteurs du continent, se trouvait aussi en difficulté, plongeant de 2.38% alors qu'il se disait que sa scission en deux entités serait probablement refusée suite aux désaccords entre les dirigeants français et italiens sur les modalités de la manoeuvre.
L'éditeur de logiciels SAP était par contre dans le peloton de tête, bondissant de 1.66% après avoir revendiqué une forte croissance après le lancement de sa grande base de données HANA, obtenant l'adhésion de 20 compagnies comptant s'en servir pour leurs applications.
A Londres, le FTSE 100, trébuchait de 0.09%, avec la prudence comme maître-mot.
La City ne savait sur quel pied danser, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking grignotant 0.09 et 0.13%, tandis que Barclays et HSBC Holdings fléchissaient de 0.01 et 0.26%.
Le mastodonte minier Rio Tinto frémissait de 0.02% tandis que son rival BHP Billiton fondait de 0.12%.
Les cuivriers n'étaient pas plus tranchés, Xstrata faiblissant de 0.2% et Kazakhmys avançant de 0.37%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi plutôt moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient un faux pas de 0.06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.05%.
La zone euro devait dévoiler aujourd'hui l'état officiel de son compte courant, fortement liée à la popularité de sa monnaie.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le taux d'utilisation des capacités et la production des industries, ainsi qu'une étude sur l'équilibre entre les achats de titres nationaux et ceux de l'étranger.