Investing.com - Les bourses européennes restaient en berne ce mardi après-midi, suite à la publication de résultats allemands décevants, sur fond de retour du spectre du plafond de la dette des Etats-Unis, bien que les propos tenus hier par le chef de la Réserve Fédérale aient éclairci l'ambiance.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.45%, le CAC 40 français de 0.2%, et le DAX 30 allemand de 0.3%.
Il a en effet été révélé que l'économie allemande avait subi un revers de 0.5% au quiatrième trimestre, ramenant sa croissance annuelle à 0.7%, un net coup de frein par comparé aux 3% de 2011.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait toutefois précisé ne pas être satisfait des performances de l'économie, malgré les quelques signes récents d'amélioration.
La nervosité restait de mise, à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever le plafond d'endettement du pays le mois prochain.
La finance était nettement à la peine, les français BNP PAribas et Société Générale plongeant respectivement de 1.75 et 1.82%, la Deutsche Bank allemande limitant les dégâts à 0.03%.
La périphérie était plus nuancée, les espagnols BBVA et Banco Santander s'effondrant 0.9 et 3.17%, alors que les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo empochaient 1.03 et 1.15%.
L'Air Liquide a sombré de 0.83% et la compagnie d'ingénierie Linde de 1% après que Merrill Lynch, appartenant à la Bank of America, ait rabaissé leurs appréciations depuis la neutralité vers les performances décevantes.
A Londres, le FTSE 100 a laissé échapper 0.02%, après qu'une augmentation annuelle de 2.7% des prix au détail britanniques pour le mois passé ait été mesurée.
ARM Holdings, dont les microprocesseurs font tourner les iPhones d'Apple, restait sur la sellette, s'effondrant de 4.32% après que Morgan Stanley ait opté pour la neutralité à son égard.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland se rétractant de 1.65%, et Barclays de 0.77%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking s'amélioraient de 0.33 et 0.36%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières poursuivaient leur offensive, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton engrangeant 0.27 et 0.44%, imités par le cuivrier Xstrata avec 1.38%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
Une étude officielle avait d'autre part montré à la mi-journée que l'excédent de la balance commerciale de la zone euro était passé de 7.4 à 11 milliards d'euros, les exportations s'élevant de 5%.
Les Etats-Unis fourniront de leur côté dans l'après-midi leur volume de leurs ventes au détail, ainsi que l'évolution de leurs coûts de production, sans oublier un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.45%, le CAC 40 français de 0.2%, et le DAX 30 allemand de 0.3%.
Il a en effet été révélé que l'économie allemande avait subi un revers de 0.5% au quiatrième trimestre, ramenant sa croissance annuelle à 0.7%, un net coup de frein par comparé aux 3% de 2011.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait toutefois précisé ne pas être satisfait des performances de l'économie, malgré les quelques signes récents d'amélioration.
La nervosité restait de mise, à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever le plafond d'endettement du pays le mois prochain.
La finance était nettement à la peine, les français BNP PAribas et Société Générale plongeant respectivement de 1.75 et 1.82%, la Deutsche Bank allemande limitant les dégâts à 0.03%.
La périphérie était plus nuancée, les espagnols BBVA et Banco Santander s'effondrant 0.9 et 3.17%, alors que les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo empochaient 1.03 et 1.15%.
L'Air Liquide a sombré de 0.83% et la compagnie d'ingénierie Linde de 1% après que Merrill Lynch, appartenant à la Bank of America, ait rabaissé leurs appréciations depuis la neutralité vers les performances décevantes.
A Londres, le FTSE 100 a laissé échapper 0.02%, après qu'une augmentation annuelle de 2.7% des prix au détail britanniques pour le mois passé ait été mesurée.
ARM Holdings, dont les microprocesseurs font tourner les iPhones d'Apple, restait sur la sellette, s'effondrant de 4.32% après que Morgan Stanley ait opté pour la neutralité à son égard.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland se rétractant de 1.65%, et Barclays de 0.77%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking s'amélioraient de 0.33 et 0.36%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières poursuivaient leur offensive, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton engrangeant 0.27 et 0.44%, imités par le cuivrier Xstrata avec 1.38%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
Une étude officielle avait d'autre part montré à la mi-journée que l'excédent de la balance commerciale de la zone euro était passé de 7.4 à 11 milliards d'euros, les exportations s'élevant de 5%.
Les Etats-Unis fourniront de leur côté dans l'après-midi leur volume de leurs ventes au détail, ainsi que l'évolution de leurs coûts de production, sans oublier un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.