Investing.com - Les bourses européennes étaient en demi-teinte ce mercredi, alors que la circonspection restait de mise face à la gestion de la crise financière espagnole, et au retour du spectre d'un éventuel départ de la Grèce hors du bloc euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.28%, le CAC 40 français de 0.17%, et le DAX 30 allemand de 0.03%.
Le taux des obligations décennales de l'Espagne a culminé aujourd'hui à 7.73%, dépassant largement le seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme pour éviter la faillite, confortant l'hypothèse selon laquelle le pays pourrait se retrouver boudé par les marchés financiers internationaux.
Certains représentants de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International ont encore contribué à plomber l'atmosphère en estimant que la Grèce avait peu de chances de remplir les objectifs de son plan de sauvetage, ravivant les doutes sur son futur au sein du bloc euro.
Antonis Samaras, son premier ministre, avait auparavant avoué que l'économie nationale régresserait de plus de 7% cette année, rendant ses espoirs de réduction de l'endettement encore plus inaccessibles.
La technologie n'était pas à la fête, après que l'américain Apple ait annoncé des résultats décevants, Nokia reculant de 0.68% et l'allemand Infineon de 2.67%.
La Deutsche Bank allemande n'était pas mieux lotie, avec un hémorrhagie de 3.66% après que l'agence Moody's ait revu lundi à la baisse les perspectives de la note AAA germanique, passant ainsi de "stable" à "négative".
Mais le reste de la finance tirait son épingle du jeu, les espagnols Banco Santander et BBVA en tête avec respectivement 2.28 et 1.81%, suivis de près par les français Société Générale et BNP Paribas avec 1.49 et 1.25%.
Les constructeurs automobiles allaient aussi de l'avant, Daimler bondissant de 2.88% et Volkswagen de 1.84%, suivis pas BMW avec 1.09%, le premier ayant maintenu hier ses prévisions de tendance bénéficiaire stable pour l'année, après avoir constaté un repli trimestriel moins grave qu'il n'avait été redouté.
Le français Peugeot Citroën leur faisait l'aspiration avec 3.32%, après avoir pourtant déploré 819 millions d'euros de pertes au premier semestre, contre 806 milliards d'encaissés au cours de celui de l'année 2011, assurant viser un redressement de 600 millions par la restructuration de sa base industrielle et la diminution des frais.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a cédé 0.24%, tiré vers le bas par des valeurs énergétiques sur la défensive.
BP a ainsi chuté de 0.84%, Anglo American limitant le dégâts à 0.1% et Tullow Oil s'effondrant de 3.87%.
Parmi les autres lanternes rouges, le BT Group, premier opérateur de lignes fixes britannique, s'est effondré de 4.48% dans le sillage de la révélation de la chute de ses recettes.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton étaient plus nuancés, le premier fondant 0.1%, et le second grignotant un pourcentage similaire, alors que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys raflaient 0.3 et 0.15%.
La City suivait le chemin positif tracé de l'autre côté de la Manche, HSBC Holdings grimpant de 1.04%, et la Royal Bank of Scotland de 1.03%, Barclays et Lloyds Banking se contentant de 0.72 et 0.66%.
Les perspectives des marchés américains étaient également hésitantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 redoutant un fléchissement de 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 un faux pas de 0.66%.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptit dévoiler de son côté dans la journée son baromètre de la confiance dans les affaires de l'Allemagne, et les autorités des Etats-Unis faire de même avec le nombre des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire des réserves pétrolières nationales.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.28%, le CAC 40 français de 0.17%, et le DAX 30 allemand de 0.03%.
Le taux des obligations décennales de l'Espagne a culminé aujourd'hui à 7.73%, dépassant largement le seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme pour éviter la faillite, confortant l'hypothèse selon laquelle le pays pourrait se retrouver boudé par les marchés financiers internationaux.
Certains représentants de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International ont encore contribué à plomber l'atmosphère en estimant que la Grèce avait peu de chances de remplir les objectifs de son plan de sauvetage, ravivant les doutes sur son futur au sein du bloc euro.
Antonis Samaras, son premier ministre, avait auparavant avoué que l'économie nationale régresserait de plus de 7% cette année, rendant ses espoirs de réduction de l'endettement encore plus inaccessibles.
La technologie n'était pas à la fête, après que l'américain Apple ait annoncé des résultats décevants, Nokia reculant de 0.68% et l'allemand Infineon de 2.67%.
La Deutsche Bank allemande n'était pas mieux lotie, avec un hémorrhagie de 3.66% après que l'agence Moody's ait revu lundi à la baisse les perspectives de la note AAA germanique, passant ainsi de "stable" à "négative".
Mais le reste de la finance tirait son épingle du jeu, les espagnols Banco Santander et BBVA en tête avec respectivement 2.28 et 1.81%, suivis de près par les français Société Générale et BNP Paribas avec 1.49 et 1.25%.
Les constructeurs automobiles allaient aussi de l'avant, Daimler bondissant de 2.88% et Volkswagen de 1.84%, suivis pas BMW avec 1.09%, le premier ayant maintenu hier ses prévisions de tendance bénéficiaire stable pour l'année, après avoir constaté un repli trimestriel moins grave qu'il n'avait été redouté.
Le français Peugeot Citroën leur faisait l'aspiration avec 3.32%, après avoir pourtant déploré 819 millions d'euros de pertes au premier semestre, contre 806 milliards d'encaissés au cours de celui de l'année 2011, assurant viser un redressement de 600 millions par la restructuration de sa base industrielle et la diminution des frais.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a cédé 0.24%, tiré vers le bas par des valeurs énergétiques sur la défensive.
BP a ainsi chuté de 0.84%, Anglo American limitant le dégâts à 0.1% et Tullow Oil s'effondrant de 3.87%.
Parmi les autres lanternes rouges, le BT Group, premier opérateur de lignes fixes britannique, s'est effondré de 4.48% dans le sillage de la révélation de la chute de ses recettes.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton étaient plus nuancés, le premier fondant 0.1%, et le second grignotant un pourcentage similaire, alors que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys raflaient 0.3 et 0.15%.
La City suivait le chemin positif tracé de l'autre côté de la Manche, HSBC Holdings grimpant de 1.04%, et la Royal Bank of Scotland de 1.03%, Barclays et Lloyds Banking se contentant de 0.72 et 0.66%.
Les perspectives des marchés américains étaient également hésitantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 redoutant un fléchissement de 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 un faux pas de 0.66%.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptit dévoiler de son côté dans la journée son baromètre de la confiance dans les affaires de l'Allemagne, et les autorités des Etats-Unis faire de même avec le nombre des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire des réserves pétrolières nationales.