Investing.com - Les bourses européennes restaient en forme ce mercredi après-midi, à l'approche du témoignage imminent et crucial devant le congrès du chef de la banque centrale des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,41%, le CAC 40 français de 0,44%, et le DAX 30 allemand de 0,17%.
La nervosité était en effet palpable alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, s'apprêtait à effectuer cet après-midi son intervention semestrielle au sujet de sa politique monétaire, sur fond de rumeurs sur le moment où débuterait une éventuelle diminution de ses 85 milliards d'USD rachats mensuels.
Les cours avaient bondi après qu'il ait confirmé la semaine passée que celle-ci opterait pour le statu quo jusqu'à ce que la situation évolue.
Il répètera vraisemblablement qu'ils pourraient être réduits d'ici la fin de l'année en cas d'accélération de la relance, mais que les taux d'intérêt demeureront à leur plus bas niveaux historiques aussi loin que les projections puissent porter.
La finance avait par contre perdu le sourire, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,13%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,07 et 0,18%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de 0,38 et 0,62%, l'italien Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,28%.
L'ogre des cosmétiques L'Oréal s'effondrait aussi de 3,03% malgré un chiffre d'affaires trimestriel gonflant de 5,2%, une performance inférieure aux espérances, imputée à une diminution des recettes en Amérique du Nord.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,08%, après que le procès-verbal de la dernière réunion de la Banque d'Angleterre ait montré que ses décideurs avaient opté unanimement pour le statu quo.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient ainsi 1,88 et 3,82%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American étant aussi de la fête avec 1,51 et Randgold Resources aussi avec 3,66%.
Le premier avait auparavant annoncé que la production de minerai de fer avait atteint un nouveau record avec 47,7 millions de tonnes au second trimestre, au lieu des 40,9 millions précédents.
La City était plus mitigée, Barclays chutant de 0,23% et HSBC Holdings de 0,16%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en tête avec 0,55 et 0,64%.
Le commission fédérale de régulation du secteur énergétique des Etats-Unis avait auparavant infligé au premier et à quatre opérateurs une amende et des pénalités combinées de 487,9 millions d'USD, en raison de l'enquête ayant suivi des accusations de manipulations de ce marché primordial.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une régression de 0,16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,01%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés ainsi qu'avec celui des lancements de chantiers, tandis que la Fed diffusera son livre beige.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,41%, le CAC 40 français de 0,44%, et le DAX 30 allemand de 0,17%.
La nervosité était en effet palpable alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, s'apprêtait à effectuer cet après-midi son intervention semestrielle au sujet de sa politique monétaire, sur fond de rumeurs sur le moment où débuterait une éventuelle diminution de ses 85 milliards d'USD rachats mensuels.
Les cours avaient bondi après qu'il ait confirmé la semaine passée que celle-ci opterait pour le statu quo jusqu'à ce que la situation évolue.
Il répètera vraisemblablement qu'ils pourraient être réduits d'ici la fin de l'année en cas d'accélération de la relance, mais que les taux d'intérêt demeureront à leur plus bas niveaux historiques aussi loin que les projections puissent porter.
La finance avait par contre perdu le sourire, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,13%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,07 et 0,18%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de 0,38 et 0,62%, l'italien Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,28%.
L'ogre des cosmétiques L'Oréal s'effondrait aussi de 3,03% malgré un chiffre d'affaires trimestriel gonflant de 5,2%, une performance inférieure aux espérances, imputée à une diminution des recettes en Amérique du Nord.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,08%, après que le procès-verbal de la dernière réunion de la Banque d'Angleterre ait montré que ses décideurs avaient opté unanimement pour le statu quo.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient ainsi 1,88 et 3,82%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American étant aussi de la fête avec 1,51 et Randgold Resources aussi avec 3,66%.
Le premier avait auparavant annoncé que la production de minerai de fer avait atteint un nouveau record avec 47,7 millions de tonnes au second trimestre, au lieu des 40,9 millions précédents.
La City était plus mitigée, Barclays chutant de 0,23% et HSBC Holdings de 0,16%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en tête avec 0,55 et 0,64%.
Le commission fédérale de régulation du secteur énergétique des Etats-Unis avait auparavant infligé au premier et à quatre opérateurs une amende et des pénalités combinées de 487,9 millions d'USD, en raison de l'enquête ayant suivi des accusations de manipulations de ce marché primordial.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une régression de 0,16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,01%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés ainsi qu'avec celui des lancements de chantiers, tandis que la Fed diffusera son livre beige.