Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées ce lundi, alors que les ministres des finaances de l'Union Européenne se préparaient à se rencontrer à Bruxelles afin de discuter des résultats des dernières négociations entre la Grèce et ses créanciers privés.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.04%, tandis que le CAC 40 français grignotait 0.11%, et que le DAX 30 allemand trébuchait de 0.4%.
Les créanciers de la Grèce ont en effet affirmé dimanche avoir emis leur dernière proposition d'échange d'obligations, et déclaré que la balle était désormais dans le camp et l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International, qui devront décider de l'accepter ou non.
Les ministres des finances de l'UE doivent quand à eux se rassembler aujourd'hui à Bruxelles afin de discuter des termes du plan de rééchelonnement du fardeau grec, condition sine qua non de l'attribution de la prochaine tranche d'aides financières au pays.
La finance se trouvait en bonne position, l'Italien unicredit en tête avec un bond de 6.22%, et son compatriote Intesa Sanpaolo avec 2.82%.
Leurs collègues français Société Générale et BNP Paribas se sont respectivement contentés de 3.89 et 1.18%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank n'étant pas en reste avec 1.46 et 4.3%.
Outokumpu Oyj, premier producteur d'acier inoxydable finlandais, s'est pour sa part envolé de 11.36% après avoir entamé des pourparlers qui pourraient mener à une fusion avec une branche de ThyssenKrupp AG, plus gros sidérurgiste allemand.
A Londres, le FTSE 100 a pris 0.32%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland a accumulé 2.55%, Lloyds Banking 1.21%, HSBC Holdings et Barclays se liitant à 0.92 et 0.74%.
Le secteur énergétique a également réalisé de bonnes performances, British Petroleum grimpant de 1.08%, tandis que les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton gonflaient respectivement de 0.52 et 0.32%.
Thomas Cook a pour sa part dérapé de 3.33% après que le journal Financial Times ait révélé que les réservations auprès de la compagnie pour la première partie du mois de janvier s'étaient effondrées de 33% par rapport à la même période de l'année dernière.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient un fléchissement de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
Les places boursières de la Chine, de Hong Kong, de la Corée du Sud, de Taïwan et de Singapour sont pour leur part restées inactives afin de célébrer l'avènement de l'année du dragon.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.04%, tandis que le CAC 40 français grignotait 0.11%, et que le DAX 30 allemand trébuchait de 0.4%.
Les créanciers de la Grèce ont en effet affirmé dimanche avoir emis leur dernière proposition d'échange d'obligations, et déclaré que la balle était désormais dans le camp et l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International, qui devront décider de l'accepter ou non.
Les ministres des finances de l'UE doivent quand à eux se rassembler aujourd'hui à Bruxelles afin de discuter des termes du plan de rééchelonnement du fardeau grec, condition sine qua non de l'attribution de la prochaine tranche d'aides financières au pays.
La finance se trouvait en bonne position, l'Italien unicredit en tête avec un bond de 6.22%, et son compatriote Intesa Sanpaolo avec 2.82%.
Leurs collègues français Société Générale et BNP Paribas se sont respectivement contentés de 3.89 et 1.18%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank n'étant pas en reste avec 1.46 et 4.3%.
Outokumpu Oyj, premier producteur d'acier inoxydable finlandais, s'est pour sa part envolé de 11.36% après avoir entamé des pourparlers qui pourraient mener à une fusion avec une branche de ThyssenKrupp AG, plus gros sidérurgiste allemand.
A Londres, le FTSE 100 a pris 0.32%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland a accumulé 2.55%, Lloyds Banking 1.21%, HSBC Holdings et Barclays se liitant à 0.92 et 0.74%.
Le secteur énergétique a également réalisé de bonnes performances, British Petroleum grimpant de 1.08%, tandis que les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton gonflaient respectivement de 0.52 et 0.32%.
Thomas Cook a pour sa part dérapé de 3.33% après que le journal Financial Times ait révélé que les réservations auprès de la compagnie pour la première partie du mois de janvier s'étaient effondrées de 33% par rapport à la même période de l'année dernière.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient un fléchissement de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
Les places boursières de la Chine, de Hong Kong, de la Corée du Sud, de Taïwan et de Singapour sont pour leur part restées inactives afin de célébrer l'avènement de l'année du dragon.