Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mardi, alors que les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro persistaient se trouvaient ravivées par les élections de fin de semaine en Grèce et en France, attisant l'angoisse d'un abandon des plans d'austérité.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 0.86%, et le DAX 30 allemand de 0.84%, le CAC 40 français demeurant inactif en raison d'un jour férié.
La nervosité restait de mise après que les résultats des élections grecques et françaises aient semé le doute quand à la capcité de l'Europe à mettre en place les mesures de rigueur annoncées comme indispensables dans la lutte contre la crise de la dette régionale.
Les premières tentatives de formation d'un gouvernement en Grèce ont échoué hier, laissant à craindre que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales.
Les observateurs gardent aussi un oeil sur la France, où le socialiste François Hollande, qui a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance, devrait être intronisé le 15 mai.
La finance coiffait le bonnet d'âne, les français BNP Paribas et Société Générale ayant respectivement plongé de 1.92 et 1.56%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitaient le dégâts à 0.19 et 1.14%.
Leurs collègues espagnols ont nagé à contre-courant, BBVA et Banco Santander gagnant 0.61 et 0.66%, après que Rodrigo Rato ait démissionné lundi de son poste de président de la banque Bankia, en grande difficulté, laissant ainsi la voie libre au plan de secours impliquant l'utilisation de fonds publics destinés à aider les établissements nationaux en danger.
Les gouvernement espère en effet que celui-ci persuadera les investisseurs de fonds internationaux de la stabilité financière du pays.
La compagnie de télécommunications néerlandaise KPN a pour sa part fléchi de 0.3% arpès qu'America Movil ait offert 8 euro pour chaque action fin de faire plus que quintupler sa participation dans le premier opérateur téléphonique des Pays-Bas, pour l'amener à 28%.
A Londres, le FTSE 100 a reculé de 0.24%, après qu'il ait été montré que les prix des logements avaient davantage diminué en avril qu'il n'était redouté.
Les prêteurs de Grande-Bretagne suivaient le chemin tracé par leurs homologues continentaux, Barclays glissant de 3.14%, HSBC Holdings de 1.23%, la Royal Bank of Scotland de 0.25% et Lloyds Banking de 0.18%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Tullow Oil bondissant de 3.98% après avoir annoncé que son forage d'exploration Ngamia-1, dans le bloc 10BB sur les terres du Kenya, avait atteint une profondeur de 1 515 mètres, et que le total de l'épaisseur de la couche pétrolière atteinte jusque là avait été revue à la hausse de cent mètres sur toute l'étendue des multiples réservoirs qui la composent.
Aviva, second assureur britanniquee, a lui aussi bien résisté, s'élevant de 1.54% après qu'Andrew Moss ait libéré le poste de directeur général, après que les actionnaires aient protesté contre les bonus des hauts cadres.
Les perspectives des marchés américains étaient eles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.39%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.39% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.44%.
La zone euro verra dans la journée la publication des performances de la production industrielle de l'Allemagne, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prendra la parole à Francfort.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 0.86%, et le DAX 30 allemand de 0.84%, le CAC 40 français demeurant inactif en raison d'un jour férié.
La nervosité restait de mise après que les résultats des élections grecques et françaises aient semé le doute quand à la capcité de l'Europe à mettre en place les mesures de rigueur annoncées comme indispensables dans la lutte contre la crise de la dette régionale.
Les premières tentatives de formation d'un gouvernement en Grèce ont échoué hier, laissant à craindre que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales.
Les observateurs gardent aussi un oeil sur la France, où le socialiste François Hollande, qui a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance, devrait être intronisé le 15 mai.
La finance coiffait le bonnet d'âne, les français BNP Paribas et Société Générale ayant respectivement plongé de 1.92 et 1.56%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitaient le dégâts à 0.19 et 1.14%.
Leurs collègues espagnols ont nagé à contre-courant, BBVA et Banco Santander gagnant 0.61 et 0.66%, après que Rodrigo Rato ait démissionné lundi de son poste de président de la banque Bankia, en grande difficulté, laissant ainsi la voie libre au plan de secours impliquant l'utilisation de fonds publics destinés à aider les établissements nationaux en danger.
Les gouvernement espère en effet que celui-ci persuadera les investisseurs de fonds internationaux de la stabilité financière du pays.
La compagnie de télécommunications néerlandaise KPN a pour sa part fléchi de 0.3% arpès qu'America Movil ait offert 8 euro pour chaque action fin de faire plus que quintupler sa participation dans le premier opérateur téléphonique des Pays-Bas, pour l'amener à 28%.
A Londres, le FTSE 100 a reculé de 0.24%, après qu'il ait été montré que les prix des logements avaient davantage diminué en avril qu'il n'était redouté.
Les prêteurs de Grande-Bretagne suivaient le chemin tracé par leurs homologues continentaux, Barclays glissant de 3.14%, HSBC Holdings de 1.23%, la Royal Bank of Scotland de 0.25% et Lloyds Banking de 0.18%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Tullow Oil bondissant de 3.98% après avoir annoncé que son forage d'exploration Ngamia-1, dans le bloc 10BB sur les terres du Kenya, avait atteint une profondeur de 1 515 mètres, et que le total de l'épaisseur de la couche pétrolière atteinte jusque là avait été revue à la hausse de cent mètres sur toute l'étendue des multiples réservoirs qui la composent.
Aviva, second assureur britanniquee, a lui aussi bien résisté, s'élevant de 1.54% après qu'Andrew Moss ait libéré le poste de directeur général, après que les actionnaires aient protesté contre les bonus des hauts cadres.
Les perspectives des marchés américains étaient eles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.39%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.39% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.44%.
La zone euro verra dans la journée la publication des performances de la production industrielle de l'Allemagne, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prendra la parole à Francfort.