Investing.com - Les bourses européennes se sont retrouvées en berne ce mardi après-midi, la circonspection restant à l'ordre du jour dans l'expectative des conclusions du conseil de direction de la Réserve Fédérale et de résultats économiques de la part des Etats-Unis, et ce malgré les signes d'avancées dans la gestion de la crise du bloc euro.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.33%, le CAC 40 français de 0.27%, et le DAX 30 allemand de 0.26%.
Le groupe de recherches économiques Gfk a en effet fait savoir ce matin que son baromètre de l'humeur des consommateurs d'Allemagne avait frémi depuis 5.7 vers 5.8 pour janvier, alors qu'une stagnation était envisagée.
La prudence restait de mise à l'approche d'évènements économiques américains majeurs, avec la prise de cap de la Réserve Fédérale et les chiffres de la croissance des Etats-Unis attendus demain, tandis que le rapport sur l'emploi hors agriculture national sera publié vendredi.
La finance a perdu le nord, les français BNP Paribas et Société Générale dégringolant respectivement de 1.32 et 2.38%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.24 et 1.3%.
Sandvik, premier fabricant mondial d'outils de découpe métallique, plongeait de 0.87% suite à des profits décevants sur le quatrième trimestre.
Tout n'était cependant pas désespéré, Philips, grand fabricant d'éclairages, grimpant de 1.76% grâce à des bénéfices supérieurs aux estimations pour la même période, en raison des besoins pour ses équipements médicaux et de licenciements.
A Londres, le FTSE 100, fléchissait de 0.02%, tiré vers le bas par des établissements bancaires suivant le chemmin tracé sur le continent.
Barclays s'effondrait de 2.22%, Lloyds Banking de 2.33% et la Royal Bank of Scotland de 4.93%, tandis que HSBC Holdings gardait la tête hors de l'eau de 0.01%.
Le Wall Street Journal avait auparavant rapporté que les autorités américaines cherchaient à ce que la Royal Bank of Scotland plaide coupable dans le cadre d'un arrangement à hauteur de 500 millions de GBP destiné à leur faire abandonner les accusations découlant de leur enquête sur des manipulations de taux d'intérêt.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto gardaient cependant la forme avec 0.28 et 0.92% d'amélioration, leur rival Evraz les dépassant encore largement avec 1.43%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, engrangeait 2.31% après avoir déclaré compter dévaluer son installation brésilienne d'extraction de minerai de fer de Minas-Rio de 4 milliards d'USD, et remonter ses estimations d'investissements pour la sixième fois, après que des excès aient forcé sa directrice générale Cynthia Carroll à démissioner.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt mornes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.21%, celles sur le S&P 500 estimant subir un faux pas de 0.36% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.35%.
L'après-midi devrait de son côté voir la publication d'un rapport sur l'humeur des consommateurs des Etats-Unis, et d'un autre sur l'inflation des coûts des logements du pays.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.33%, le CAC 40 français de 0.27%, et le DAX 30 allemand de 0.26%.
Le groupe de recherches économiques Gfk a en effet fait savoir ce matin que son baromètre de l'humeur des consommateurs d'Allemagne avait frémi depuis 5.7 vers 5.8 pour janvier, alors qu'une stagnation était envisagée.
La prudence restait de mise à l'approche d'évènements économiques américains majeurs, avec la prise de cap de la Réserve Fédérale et les chiffres de la croissance des Etats-Unis attendus demain, tandis que le rapport sur l'emploi hors agriculture national sera publié vendredi.
La finance a perdu le nord, les français BNP Paribas et Société Générale dégringolant respectivement de 1.32 et 2.38%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.24 et 1.3%.
Sandvik, premier fabricant mondial d'outils de découpe métallique, plongeait de 0.87% suite à des profits décevants sur le quatrième trimestre.
Tout n'était cependant pas désespéré, Philips, grand fabricant d'éclairages, grimpant de 1.76% grâce à des bénéfices supérieurs aux estimations pour la même période, en raison des besoins pour ses équipements médicaux et de licenciements.
A Londres, le FTSE 100, fléchissait de 0.02%, tiré vers le bas par des établissements bancaires suivant le chemmin tracé sur le continent.
Barclays s'effondrait de 2.22%, Lloyds Banking de 2.33% et la Royal Bank of Scotland de 4.93%, tandis que HSBC Holdings gardait la tête hors de l'eau de 0.01%.
Le Wall Street Journal avait auparavant rapporté que les autorités américaines cherchaient à ce que la Royal Bank of Scotland plaide coupable dans le cadre d'un arrangement à hauteur de 500 millions de GBP destiné à leur faire abandonner les accusations découlant de leur enquête sur des manipulations de taux d'intérêt.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto gardaient cependant la forme avec 0.28 et 0.92% d'amélioration, leur rival Evraz les dépassant encore largement avec 1.43%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, engrangeait 2.31% après avoir déclaré compter dévaluer son installation brésilienne d'extraction de minerai de fer de Minas-Rio de 4 milliards d'USD, et remonter ses estimations d'investissements pour la sixième fois, après que des excès aient forcé sa directrice générale Cynthia Carroll à démissioner.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt mornes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.21%, celles sur le S&P 500 estimant subir un faux pas de 0.36% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.35%.
L'après-midi devrait de son côté voir la publication d'un rapport sur l'humeur des consommateurs des Etats-Unis, et d'un autre sur l'inflation des coûts des logements du pays.