Investing.com - Les bourses européennes restaient mitigées mais regardaient à nouveau vers le haut ce jeudi après-midi, grâce à la réussite des enchères espagnoles, la nervosité restant cependant de mise à l'approche des tractations sur la dette américaine.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.22%, et le CAC 40 français de 0.74%, mais le DAX 30 allemand laissait échapper 0.14%.
Madrid a en effet rencontré un franc succès et bénéficié d'une diminution des coûts de ses emprunts en émettant comme prévu pour 4.5 milliards d'euros d'obligations.
Les taux des quinquennales est tombé de 3.99 à 3.77% en une semaine, celui des biennales de 3.35 à 2.71% en un mois.
Les incertitudes découlant de l'impasse politique au sujet du relèvement du plafond d'endettement des Etats-Unis continuaient toutefois de peser, le président Barack Obama ayant exhorté en début de semaine les élus républicains à ne pas chercher à monnayer leur approbation contre des concessions budgétaires.
Le moral restait atteint, après que la Banque Mondiale ait revu mardi ses prévisions en nette baisse, passant des 3% espérés en juin à seulement 2.4%, avertissant du fait que les pays en voie de développement seraient en difficulté cette année.
La finance évoluait en ordre dispersé, les français BNP Paribas et Société Générale avançant respectivement de 2.55 et 0.15%, alors que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank fléchissaient de 0.33 et 0.44%.
En France, les supermarchés Carrefour ont poursuivi leur offensive du matin de 7.61% grâce à la revendication d'une augmentation de 0.8% de ses ventes au quatrième trimestre, grâce notamment à l'Amérique Latine, assurant aussi que la situation dans leur pays d'origine était aussi en voie d'amélioration.
Le néerlandais ASML dérapait par contre de 3.43% suite à l'aveu de prévisions de ventes annuelles similaires à celles de l'année passée, au lieu des 10% supplémentaires espérés auparavant, envisageant d'ailleurs un premier trimestre sans emballement.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a arraché 0.04%, tiré vers le haut par des établissements financiers en forme.
Lloyds Banking grimpait ainsi de 0.43%, et HSBC Holdings de 0.48%, la Royal Bank of Scotland et Barclays prenant la tête du peloton avec 1.11 et 1.16%.
Associated British Foods était aussi en amélioration, s'élevant de 6.88%, après avoir indiqué que ses rentrées du premier trimestre fiscal avaient bondi de 10%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton restaient en difficulté, fondant de 1.69 et 1.05%, suivis du cuivrier Xstrata avec 1.75%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt bonnes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
Il était aussi à noter qu'Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, avait estimé dans la matinée que la situation du bloc euro s'est stabilisée, et laissé entendre qu'il ne craignait pas la récente poussée de la devise régionale.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler dans l'après-midi le nombre des permis de construire qu'ils ont accordé, ainsi que celui des lancements de constructions, sans oublier leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le volume officiel de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.22%, et le CAC 40 français de 0.74%, mais le DAX 30 allemand laissait échapper 0.14%.
Madrid a en effet rencontré un franc succès et bénéficié d'une diminution des coûts de ses emprunts en émettant comme prévu pour 4.5 milliards d'euros d'obligations.
Les taux des quinquennales est tombé de 3.99 à 3.77% en une semaine, celui des biennales de 3.35 à 2.71% en un mois.
Les incertitudes découlant de l'impasse politique au sujet du relèvement du plafond d'endettement des Etats-Unis continuaient toutefois de peser, le président Barack Obama ayant exhorté en début de semaine les élus républicains à ne pas chercher à monnayer leur approbation contre des concessions budgétaires.
Le moral restait atteint, après que la Banque Mondiale ait revu mardi ses prévisions en nette baisse, passant des 3% espérés en juin à seulement 2.4%, avertissant du fait que les pays en voie de développement seraient en difficulté cette année.
La finance évoluait en ordre dispersé, les français BNP Paribas et Société Générale avançant respectivement de 2.55 et 0.15%, alors que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank fléchissaient de 0.33 et 0.44%.
En France, les supermarchés Carrefour ont poursuivi leur offensive du matin de 7.61% grâce à la revendication d'une augmentation de 0.8% de ses ventes au quatrième trimestre, grâce notamment à l'Amérique Latine, assurant aussi que la situation dans leur pays d'origine était aussi en voie d'amélioration.
Le néerlandais ASML dérapait par contre de 3.43% suite à l'aveu de prévisions de ventes annuelles similaires à celles de l'année passée, au lieu des 10% supplémentaires espérés auparavant, envisageant d'ailleurs un premier trimestre sans emballement.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a arraché 0.04%, tiré vers le haut par des établissements financiers en forme.
Lloyds Banking grimpait ainsi de 0.43%, et HSBC Holdings de 0.48%, la Royal Bank of Scotland et Barclays prenant la tête du peloton avec 1.11 et 1.16%.
Associated British Foods était aussi en amélioration, s'élevant de 6.88%, après avoir indiqué que ses rentrées du premier trimestre fiscal avaient bondi de 10%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton restaient en difficulté, fondant de 1.69 et 1.05%, suivis du cuivrier Xstrata avec 1.75%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt bonnes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
Il était aussi à noter qu'Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, avait estimé dans la matinée que la situation du bloc euro s'est stabilisée, et laissé entendre qu'il ne craignait pas la récente poussée de la devise régionale.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler dans l'après-midi le nombre des permis de construire qu'ils ont accordé, ainsi que celui des lancements de constructions, sans oublier leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le volume officiel de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.