Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt pessimistes ce lundi matin, la prudence restant de mise au vu des inquiétudes découlant la relance de l'emploi des Etats-Unis et de leurs tractations imminentes concernant leur dette maximale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.08%, le CAC 40 français laissant échapper 0.14%, et le DAX 30 allemand 0.21%.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait dénombré vendredi 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu plus que les 150 000 espérées, mais moins que les 161 000 révisés à la hausse précédents, le taux de chômage stagnant à 7.8%, laissant redouter un ralentissement de la reprise du marché de l'emploi.
La nervosité concernant l'économie du pays demeurait aussi exacerbée à l'horizon de février, anticipant les tractations visant à relever son plafond d'endettement maximal.
La finance se frottait les mains après que les autorités financières leur aient laissé davantage de mou concernant leurs quotas prudentiels, leur permettant ainsi d'accorder davantage de crédits pour donner un coup de pouce à la croissance.
Les français BNP Paribas et Société Générale ont ainsi respectivement engrangé 3.4 et 3.44%, imités par les allemands Deutsche Bank et commerzbank avec 4.08 et 3.23%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit bondissant de 4.2 et 4.37%, suivis des espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.96 et 0.95%.
Le constructeur automobile germanique Daimler a aussi avancé de 1.7% après qu'il ait été rapporté que China Investment Corp. pourrait en acquérir des parts.
A Londres, le FTSE 100 a sombré de 0.23%, malgré la forme de ses établissements financiers, et une étude selon laquelle les prix des logements britanniques avaint augmenté en décembre de manière nettement supérieure aux attentes.
La City suivant le chemin tracé par ses homologues continentales, HSBC Holdings empochant 0.7%, et la Royal Bank of Scotland 1.75%, surpassées par Lloyds Banking et Barclays avec 1.95 et 3.82%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre souffert, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant 0.6 et 0.49%, le cuivrier Xstrata étant encore plus mal loti avec 1.05%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.42%, et son rival BP faisant encore pire avec 0.95%.
Les perspectives des marchés américains partageaient aussi la morosité ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement 0.03%.
Les autorités européennes comptaient pour leur part divulguer aujourd'hui leur inflation des prix à la production, ainsi qu'un rapport sur la confiance des investisseurs.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.08%, le CAC 40 français laissant échapper 0.14%, et le DAX 30 allemand 0.21%.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait dénombré vendredi 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu plus que les 150 000 espérées, mais moins que les 161 000 révisés à la hausse précédents, le taux de chômage stagnant à 7.8%, laissant redouter un ralentissement de la reprise du marché de l'emploi.
La nervosité concernant l'économie du pays demeurait aussi exacerbée à l'horizon de février, anticipant les tractations visant à relever son plafond d'endettement maximal.
La finance se frottait les mains après que les autorités financières leur aient laissé davantage de mou concernant leurs quotas prudentiels, leur permettant ainsi d'accorder davantage de crédits pour donner un coup de pouce à la croissance.
Les français BNP Paribas et Société Générale ont ainsi respectivement engrangé 3.4 et 3.44%, imités par les allemands Deutsche Bank et commerzbank avec 4.08 et 3.23%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit bondissant de 4.2 et 4.37%, suivis des espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.96 et 0.95%.
Le constructeur automobile germanique Daimler a aussi avancé de 1.7% après qu'il ait été rapporté que China Investment Corp. pourrait en acquérir des parts.
A Londres, le FTSE 100 a sombré de 0.23%, malgré la forme de ses établissements financiers, et une étude selon laquelle les prix des logements britanniques avaint augmenté en décembre de manière nettement supérieure aux attentes.
La City suivant le chemin tracé par ses homologues continentales, HSBC Holdings empochant 0.7%, et la Royal Bank of Scotland 1.75%, surpassées par Lloyds Banking et Barclays avec 1.95 et 3.82%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre souffert, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant 0.6 et 0.49%, le cuivrier Xstrata étant encore plus mal loti avec 1.05%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.42%, et son rival BP faisant encore pire avec 0.95%.
Les perspectives des marchés américains partageaient aussi la morosité ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement 0.03%.
Les autorités européennes comptaient pour leur part divulguer aujourd'hui leur inflation des prix à la production, ainsi qu'un rapport sur la confiance des investisseurs.