Investing.com - Les bourses européennes étaient en repli ce lundi matin, le moral se trouvant largement affecté par l'annonce de la démission prochaine du premier ministre italien Mario Monti, alimentant les craintes concernant la gestion de la crise de la dette du pays.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.49%, le CAC 40 français de 0.52%, et le DAX 30 allemand de 0.4%.
L'ambiance s'est en effet assombrie après que M. Monti ait révélé en fin de semaine son intention d'abandonner son poste une fois la loi de finances cruciale votée, suite au retrait du soutien des membres du parti de Silvio Berlusconi, qui l'occupait auparavant.
La nervosité avait déjà été de mise après que la Bundesbank ait réduit vendredi ses projections d'expansion économique allemande, ajoutant que celle-ci pourrait rentrer en récession en raison du problème du surendettement de la région où elle a cours.
Il était aussi à noter que le surplus du commerce extérieur chinois avait davantage diminué en novembre qu'il n'était craint, ravivant les angoisses concernant la croissance de la seconde économie mondiale.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 2.91 et 1.74%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 2.03 et 1.64%.
La périphérie n'était pas mieux lotie, les italient Unicredi et Intesa Sanpaolo s'effondrant de 4.61 et 5.62%, alors que les espagnols BBVA et Banco Santander limitaient les dégâts à 2.28 et 2.53%.
Le fournisseur de services collectifs RWE AG les imitait de 2.05% après que la Bank of America Corp. en ait rabaissé l'évaluation.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, STMicroelectronics engrangeant 5.04% en France après avoir exprimé son intention de mettre fin à son association avec Ericsson AB.
A Londres, le FTSE 100 laissait échapper 0.18%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking trébuchait ainsi de 0.04%, HSBC Holdings de 0.64%, la Royal Bank of Scotland et Barclays coiffant le bonnet d'âne avec 0.87 et 1%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier BHP Billiton fondant de 0.95%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys lui emboîtant le pas de 0.02 et 0.34%.
Les perspectives des marchés américains partageaient aussi ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.32%.
Une étude officielle a d'autre part montré ce matin que la production industrielle française avait subi un revers inattendu de 0.7% en octobre, prolongeant les 2.7% déjà déplorés le mois précédent.
Les experts pensaient pourtant la voir grignoter 0.3% pour la période considérée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.49%, le CAC 40 français de 0.52%, et le DAX 30 allemand de 0.4%.
L'ambiance s'est en effet assombrie après que M. Monti ait révélé en fin de semaine son intention d'abandonner son poste une fois la loi de finances cruciale votée, suite au retrait du soutien des membres du parti de Silvio Berlusconi, qui l'occupait auparavant.
La nervosité avait déjà été de mise après que la Bundesbank ait réduit vendredi ses projections d'expansion économique allemande, ajoutant que celle-ci pourrait rentrer en récession en raison du problème du surendettement de la région où elle a cours.
Il était aussi à noter que le surplus du commerce extérieur chinois avait davantage diminué en novembre qu'il n'était craint, ravivant les angoisses concernant la croissance de la seconde économie mondiale.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 2.91 et 1.74%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 2.03 et 1.64%.
La périphérie n'était pas mieux lotie, les italient Unicredi et Intesa Sanpaolo s'effondrant de 4.61 et 5.62%, alors que les espagnols BBVA et Banco Santander limitaient les dégâts à 2.28 et 2.53%.
Le fournisseur de services collectifs RWE AG les imitait de 2.05% après que la Bank of America Corp. en ait rabaissé l'évaluation.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, STMicroelectronics engrangeant 5.04% en France après avoir exprimé son intention de mettre fin à son association avec Ericsson AB.
A Londres, le FTSE 100 laissait échapper 0.18%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking trébuchait ainsi de 0.04%, HSBC Holdings de 0.64%, la Royal Bank of Scotland et Barclays coiffant le bonnet d'âne avec 0.87 et 1%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier BHP Billiton fondant de 0.95%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys lui emboîtant le pas de 0.02 et 0.34%.
Les perspectives des marchés américains partageaient aussi ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.32%.
Une étude officielle a d'autre part montré ce matin que la production industrielle française avait subi un revers inattendu de 0.7% en octobre, prolongeant les 2.7% déjà déplorés le mois précédent.
Les experts pensaient pourtant la voir grignoter 0.3% pour la période considérée.