Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce jeudi matin, suite à des résultats économiques peu reluisants de la part de la France et de l'Allemagne, bien que le moral reste soutenu par les remarques provenant de la Réserve Fédérale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.39%, le CAC 40 français de 0.44%, et le DAX 30 allemand de 0.29%.
Il a en effet été montré que les ventes au détail de l'Allemagne avaient plongé de 1.7% en décembre, leur pire revers en plus de trois ans, au lieu des 0.1% déjà redoutés, après avoir pourtant avancé de 0.6%.
Une autre étude signalait pour sa part de les dépenses de consommation avaient stagné en France dans le même temps, alors qu'un frémissement de 0.2% était espéré suite aux 0.2% déjà constatés en novembre.
La banque centrale américaine avait quand à elle rappelé hier qu'elle continuerait à procéder 85 milliards d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs "si les perspectives du marché de l'emploi ne montraient pas d'améliorations substantielles".
Elle a aussi assuré que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro tant que le chômage ne passerait pas sous les 6.5%.
La finance était mitigée, les français BNP Paribas et Société Générale chutant respectivement de 0.43 et 0.3%, tandis que les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avançaient de 0.31 et 0.51%.
Cette dernière a enregitré, d'après l'agence de presse Bloomberg, des pertes dépassant les estimations pour le quatrième trimestre après avoir pourtant supprimé plus de 1 400 emplois, ayant mis de côté un milliard d'euros pour des frais judiciaires.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit grignotant 0.07 et 0.48%, tandis que les espagnols Banco Santander et BBVA dégringolaient de 2.03 et 1.2%.
A Londres, le FTSE 100 sombrait de 0.35%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne étant plus unanimement sur la défensive que leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings dévissait ainsi de 0.4%, et Lloyds Banking de 0.82%, la Royal Bank of Scotland et Barclays faisant bien pire avec 1.14 et 1.09%.
Les mastodontes miniers gardaient cependant le sourire, BHP Billiton et Rio Tinto encaissant 0.4 et 0.06%, surpassés par le cuivrier Kazakhmys avec 2.07%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.5%, de même que son rival BP avec 0.32%, tandis que Petrofac, fournisseur d'infrastructures intégrées axées sur la production et la gestion du pétrole, du gaz et de l'énergie, s'élevait de 1.85%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modetement pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.34%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.39%, le CAC 40 français de 0.44%, et le DAX 30 allemand de 0.29%.
Il a en effet été montré que les ventes au détail de l'Allemagne avaient plongé de 1.7% en décembre, leur pire revers en plus de trois ans, au lieu des 0.1% déjà redoutés, après avoir pourtant avancé de 0.6%.
Une autre étude signalait pour sa part de les dépenses de consommation avaient stagné en France dans le même temps, alors qu'un frémissement de 0.2% était espéré suite aux 0.2% déjà constatés en novembre.
La banque centrale américaine avait quand à elle rappelé hier qu'elle continuerait à procéder 85 milliards d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs "si les perspectives du marché de l'emploi ne montraient pas d'améliorations substantielles".
Elle a aussi assuré que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro tant que le chômage ne passerait pas sous les 6.5%.
La finance était mitigée, les français BNP Paribas et Société Générale chutant respectivement de 0.43 et 0.3%, tandis que les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avançaient de 0.31 et 0.51%.
Cette dernière a enregitré, d'après l'agence de presse Bloomberg, des pertes dépassant les estimations pour le quatrième trimestre après avoir pourtant supprimé plus de 1 400 emplois, ayant mis de côté un milliard d'euros pour des frais judiciaires.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit grignotant 0.07 et 0.48%, tandis que les espagnols Banco Santander et BBVA dégringolaient de 2.03 et 1.2%.
A Londres, le FTSE 100 sombrait de 0.35%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne étant plus unanimement sur la défensive que leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings dévissait ainsi de 0.4%, et Lloyds Banking de 0.82%, la Royal Bank of Scotland et Barclays faisant bien pire avec 1.14 et 1.09%.
Les mastodontes miniers gardaient cependant le sourire, BHP Billiton et Rio Tinto encaissant 0.4 et 0.06%, surpassés par le cuivrier Kazakhmys avec 2.07%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.5%, de même que son rival BP avec 0.32%, tandis que Petrofac, fournisseur d'infrastructures intégrées axées sur la production et la gestion du pétrole, du gaz et de l'énergie, s'élevait de 1.85%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modetement pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.34%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.