Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne lors des rares transactions de ce jeudi, alors que le moral était toujours mis à mal par les incertitudes politiques de la Grèce et la possibilité qu'elle quitte la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.77%, le CAC 40 français de 0.66%, et le DAX 30 allemand de 0.47%.
Les spéculations sur les éventuelles conséquences d'une sécession de la Grèce vis-à-vis des pays les plus vulnérables de la région, notamment l'Italie et l'Espagne, se sont répandues après que Robert Zoellick, président de la Banque Mondiale, ait déclaré qu'un tel évènement mettrait à mal la confiance envers le bloc euro, et déclencherait un nouvel assèchement des flux de capitaux.
La Banque Centrale Européenne a de plus cessé de se contenter de fournir des liquidités à un certain nombre de banques hellènes gravement en manque de fonds, le plaçant dans un programme d'urgence d'assistance à la recapitalisation.
La finance s'en est ressentie, le français BNP Paribas en première ligne avec un recul de 1.51%, suivi de près par l'ING Groep néerlandais, avec 1.3% et l'italien Unicredit avec 1.18%.
L'espagnol Bankia, en grande difficulté, a plongé de 6.38% après que le quotidien El Mundo ait affirmé que ses clients avaient retiré plus d'un milliard d'euros de leurs comptes au cours de la semaine écoulée.
Le groupe financier français Axa a également contribué à la tendance, dérapant de 0.99% après avoir pourtant annoncé l'ouverture de bureaux à Pékin.
Il espère ainsi profiter du développement rapide de la gestion d'actifs dans le pays, où la compétition pour les capitaux augmente et où les possibilités de placement pour les particuliers et les institutions serait d'après les études sur la question en pleine expansion.
A Londres, le FTSE 100 a reculé de 0.62%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a glissé de 2.01%, Lloyds Banking de 1.92% et la Royal Bank of Scotland de 0.96%.
HSBC Holdings a par contre grignoté 0.07% aprèsavoir déclaré en début de matinée avoir réduit ses frais de 2 milliards d'USD dès la première année de son plan triennal de redressement, estimant être sur la bonne voie pour remplir ses objectifs financiers, concernant notamment les retours sur capitaux.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont toutefois respectivement fondu de 0.74 et 0.44%, après que le premier ait avoué qu'il ne remplirait pas les objectifs de son plan quinquennal d'investissement à hauteur de 80 milliards d'USD afin d'exploiter des mines et d'augmenter ses actifs, estimant que les produits bruts devraient conntinuer à baisser.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ne l'ont pas démenti, fléchissant de 1.46 et 0.77%.
L'assureur britannique Aviva a pour sa part laissé échapper 1.57%, alors qu'il prévoit de procéder à une étude stratégique de toutes ses branches et de renforcer ses fonds propres, ce qui pourrait constituer son plus profond remaniement des quatre dernières années.
Cette annoncé a suivi la sortie fracassante du directeur général Andrew Moss la semaine passée, démissionnant après que les actionnaires aient refusé le plan de rémunération d ses plus hauts responsables, et exprimé leur colère dûe à l'effondrement de 60% de la valeur de leurs parts constaté depuis 2007.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.14%.
Les Etats-Unis rendront de leur côté cet après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, puis un autre sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.77%, le CAC 40 français de 0.66%, et le DAX 30 allemand de 0.47%.
Les spéculations sur les éventuelles conséquences d'une sécession de la Grèce vis-à-vis des pays les plus vulnérables de la région, notamment l'Italie et l'Espagne, se sont répandues après que Robert Zoellick, président de la Banque Mondiale, ait déclaré qu'un tel évènement mettrait à mal la confiance envers le bloc euro, et déclencherait un nouvel assèchement des flux de capitaux.
La Banque Centrale Européenne a de plus cessé de se contenter de fournir des liquidités à un certain nombre de banques hellènes gravement en manque de fonds, le plaçant dans un programme d'urgence d'assistance à la recapitalisation.
La finance s'en est ressentie, le français BNP Paribas en première ligne avec un recul de 1.51%, suivi de près par l'ING Groep néerlandais, avec 1.3% et l'italien Unicredit avec 1.18%.
L'espagnol Bankia, en grande difficulté, a plongé de 6.38% après que le quotidien El Mundo ait affirmé que ses clients avaient retiré plus d'un milliard d'euros de leurs comptes au cours de la semaine écoulée.
Le groupe financier français Axa a également contribué à la tendance, dérapant de 0.99% après avoir pourtant annoncé l'ouverture de bureaux à Pékin.
Il espère ainsi profiter du développement rapide de la gestion d'actifs dans le pays, où la compétition pour les capitaux augmente et où les possibilités de placement pour les particuliers et les institutions serait d'après les études sur la question en pleine expansion.
A Londres, le FTSE 100 a reculé de 0.62%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a glissé de 2.01%, Lloyds Banking de 1.92% et la Royal Bank of Scotland de 0.96%.
HSBC Holdings a par contre grignoté 0.07% aprèsavoir déclaré en début de matinée avoir réduit ses frais de 2 milliards d'USD dès la première année de son plan triennal de redressement, estimant être sur la bonne voie pour remplir ses objectifs financiers, concernant notamment les retours sur capitaux.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont toutefois respectivement fondu de 0.74 et 0.44%, après que le premier ait avoué qu'il ne remplirait pas les objectifs de son plan quinquennal d'investissement à hauteur de 80 milliards d'USD afin d'exploiter des mines et d'augmenter ses actifs, estimant que les produits bruts devraient conntinuer à baisser.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ne l'ont pas démenti, fléchissant de 1.46 et 0.77%.
L'assureur britannique Aviva a pour sa part laissé échapper 1.57%, alors qu'il prévoit de procéder à une étude stratégique de toutes ses branches et de renforcer ses fonds propres, ce qui pourrait constituer son plus profond remaniement des quatre dernières années.
Cette annoncé a suivi la sortie fracassante du directeur général Andrew Moss la semaine passée, démissionnant après que les actionnaires aient refusé le plan de rémunération d ses plus hauts responsables, et exprimé leur colère dûe à l'effondrement de 60% de la valeur de leurs parts constaté depuis 2007.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.14%.
Les Etats-Unis rendront de leur côté cet après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, puis un autre sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.