Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mercredi, l'enthousiasme s'affaiblissant dans l'expectative de pourparlers cruciaux en zone euro, bien que l'espoir de nouvelles initiatives de lutte contre le problème du surendettement régional demeure.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.83%, le CAC 40 français de 0.8%, et le DAX 30 allemand de 0.92%.
La prudence reste de mise, Jean-Claude Juncker, premier ministre du Luxembourg et chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, étant en effet attendu aujourd'hui à Athènes afin de discuter avec son homologue grec Antonis Samaras à propos de sa demande de deux ans d'extension de son programme d'ajustement fiscal.
Celui-ci devrait ensuite se rendre à Berlin et Paris en fin de semaine, après que le président français François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel se soient rencontrés demain dans la capitale germanique.
Les valeurs avaient bondi hier, après que le journal britannique The Telegraph ait assuré pouvoir confirmer les rumeurs de fin de semaine selon lesquelles la BCE pourrait établir un plafond pour les taux des dettes des membres de la périphérie du bloc ayant adopté la monnaie unique lors de son conseil directeur de septembre.
L'attention se concentrera également sur la publication procès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
La finance coiffait le bonnet d'âne, les espagnols BBVA et Banco Santander fermant la marche, dérapant respectivement de 1.51 et 1.4%.
Les allemands Deutsche Bank et Commerzbank ont par contre limité les dégâts à 0.07 et 0.94%, les français Société Générale et BNP Paribas constatnt 0.88 et 0.06% de recul.
Heineken a pour sa part coulé de 2.44% suite à des résultats décevants pour le premier semestre, en raison l'augmentation de ses frais.
Parmi les autres nouvelles peu réjouissantes, STMicroelectronics fléchissait de 0.77% après que son rival américain Dell ait revu ses perspectives de bénéfices pour l'année en raison de la diminution de la demande pour les ordinateurs personnels.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a sombré de 0.97%, tiré vers le bas par des matières premières en déprime.
Evraz a ainsi dégringolé de 4.53%, les mastodontes Rio tinto et BHP Billiton lui emboîtant de pas avec 2.69 et 1.89%.
Ce dernier avait auparavant avoué que ses profits nets annuels avaient subi un revers de 35% pour se situer à 15.42 milliards d'USD, en raison de l'effondrement des cours des produits bruts et des fortes diminutions de valorisation de ses projets concernant les poches de schiste américaines, mais aussi le nickel et l'éventuelle extension de la mine d'Olympic Dam en Australie.
Sa direction a ajouté qu'aucun nouveau projet ne serait adopté avant la mi-2013, dans la crainte d'une augmentation de la volatilité à court terme dans le secteur, en raison de l'affaiblissement dans les domaines de l'industrie et du bâtiment.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont suivi la tendance, avec 1.34 et 3.67% disparus.
La City n'a pas non plus nagé à contre-courant, la Royal Bank of Scotland laissant échapper 1.41%, Barclays 0.97%, HSBC Holdings et Lloyds Banking sauvant les meubles avec seulement 0.77 et 0.4% à déplorer.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.28%.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis divulgueront de leur côté dans l'après-midi leur volume des ventes de logements d'occasion.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.83%, le CAC 40 français de 0.8%, et le DAX 30 allemand de 0.92%.
La prudence reste de mise, Jean-Claude Juncker, premier ministre du Luxembourg et chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, étant en effet attendu aujourd'hui à Athènes afin de discuter avec son homologue grec Antonis Samaras à propos de sa demande de deux ans d'extension de son programme d'ajustement fiscal.
Celui-ci devrait ensuite se rendre à Berlin et Paris en fin de semaine, après que le président français François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel se soient rencontrés demain dans la capitale germanique.
Les valeurs avaient bondi hier, après que le journal britannique The Telegraph ait assuré pouvoir confirmer les rumeurs de fin de semaine selon lesquelles la BCE pourrait établir un plafond pour les taux des dettes des membres de la périphérie du bloc ayant adopté la monnaie unique lors de son conseil directeur de septembre.
L'attention se concentrera également sur la publication procès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
La finance coiffait le bonnet d'âne, les espagnols BBVA et Banco Santander fermant la marche, dérapant respectivement de 1.51 et 1.4%.
Les allemands Deutsche Bank et Commerzbank ont par contre limité les dégâts à 0.07 et 0.94%, les français Société Générale et BNP Paribas constatnt 0.88 et 0.06% de recul.
Heineken a pour sa part coulé de 2.44% suite à des résultats décevants pour le premier semestre, en raison l'augmentation de ses frais.
Parmi les autres nouvelles peu réjouissantes, STMicroelectronics fléchissait de 0.77% après que son rival américain Dell ait revu ses perspectives de bénéfices pour l'année en raison de la diminution de la demande pour les ordinateurs personnels.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a sombré de 0.97%, tiré vers le bas par des matières premières en déprime.
Evraz a ainsi dégringolé de 4.53%, les mastodontes Rio tinto et BHP Billiton lui emboîtant de pas avec 2.69 et 1.89%.
Ce dernier avait auparavant avoué que ses profits nets annuels avaient subi un revers de 35% pour se situer à 15.42 milliards d'USD, en raison de l'effondrement des cours des produits bruts et des fortes diminutions de valorisation de ses projets concernant les poches de schiste américaines, mais aussi le nickel et l'éventuelle extension de la mine d'Olympic Dam en Australie.
Sa direction a ajouté qu'aucun nouveau projet ne serait adopté avant la mi-2013, dans la crainte d'une augmentation de la volatilité à court terme dans le secteur, en raison de l'affaiblissement dans les domaines de l'industrie et du bâtiment.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont suivi la tendance, avec 1.34 et 3.67% disparus.
La City n'a pas non plus nagé à contre-courant, la Royal Bank of Scotland laissant échapper 1.41%, Barclays 0.97%, HSBC Holdings et Lloyds Banking sauvant les meubles avec seulement 0.77 et 0.4% à déplorer.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.28%.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis divulgueront de leur côté dans l'après-midi leur volume des ventes de logements d'occasion.