Investing.com - Les bourses européennes étaient en forte baisse ce lundi matin, l'intensification de l'instabilité politique italienne, dans l'ombre d'une possible paralysie des administrations américaines.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 1,10%, le CAC 40 français de 1,12%, et le DAX 30 allemand de 1,10%.
L'ambiance s'est en effet assombrie après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,58%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,88 et 2,03%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 1,02 et 1,91%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 3,60 et 3,86%.
Le troisième avait auparavant désigné Carlo Messina au poste de directeur général suite à la démission d'Enrico Tommaso Cucchiani.
Siemens dérapait de 1,14% après qu'il ait été rapporté que Joe Kaeser, nouvellement installé à sa tête, compterait supprimer davantage d'emplois que prévu, afin d'en augmenter les bénéfices.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,83%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings plongeait de 0,59% et Barclays de 0,73%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland jouaient les lanternes rouges avec 1,44 et 2,50%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier Glencore Xstrata fondait de 2,41%, ses rivaux Evraz et Polymetal n'étant pas à l'abri avec 1,64 et 1,19%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,80%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,82% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,66%.
Il avait aussi été noté à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait subi ce mois-ci une érosion partant d'une évaluation préalable à 51,2 révisée vers plus de modestie jusqu'à 50,2, alors que les experts ne s'attendaient pourtant pas à le voir varier, rappelant la fragilité de la relance de la seconde économie mondiale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 1,10%, le CAC 40 français de 1,12%, et le DAX 30 allemand de 1,10%.
L'ambiance s'est en effet assombrie après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,58%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,88 et 2,03%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 1,02 et 1,91%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 3,60 et 3,86%.
Le troisième avait auparavant désigné Carlo Messina au poste de directeur général suite à la démission d'Enrico Tommaso Cucchiani.
Siemens dérapait de 1,14% après qu'il ait été rapporté que Joe Kaeser, nouvellement installé à sa tête, compterait supprimer davantage d'emplois que prévu, afin d'en augmenter les bénéfices.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,83%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings plongeait de 0,59% et Barclays de 0,73%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland jouaient les lanternes rouges avec 1,44 et 2,50%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier Glencore Xstrata fondait de 2,41%, ses rivaux Evraz et Polymetal n'étant pas à l'abri avec 1,64 et 1,19%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,80%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,82% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,66%.
Il avait aussi été noté à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait subi ce mois-ci une érosion partant d'une évaluation préalable à 51,2 révisée vers plus de modestie jusqu'à 50,2, alors que les experts ne s'attendaient pourtant pas à le voir varier, rappelant la fragilité de la relance de la seconde économie mondiale.