Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mardi matin, avec le retour du spectre du plafond de la dette des Etats-Unis, bien que les propos tenus hier par le chef de la Réserve Fédérale aient éclairci l'ambiance.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.01%, et le DAX 30 allemand de 0.18%.
Ben Bernanke, à la tête de l'autorité monétaire des Etats-Unis, a en effet déclaré hier lors d'un discours sur la politique qu'elle mène qu'il n'était pas satisfait des performances de l'économie, malgré les quelques signes récents d'amélioration.
Le directeur de la Réserve Fédérale de San Francisco avait auparavant déclaré s'attendre à ce que les acquisitions d'actifs se prolongent "pendant une bonne partie du second semestre 2013".
Mais la nervosité restait de mise, à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever le plafond d'endettement du pays le mois prochain.
La finance était nettement à la peine, les français BNP PAribas et Société Générale plongeant respectivement de 1.91 et 1.64%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitant les dégâts à 1.33 et 1.62%.
Il en était de même à la périphérie, l'italien Unicredit trébuchant de 0.14%, suivi des espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.39 et 2.72%.
L'Air Liquide a sombré de 0.95% et la compagnie d'ingénierie Linde de 0.77% après que Merrill Lynch, appartenant à la Bank of America, ait rabaissé leurs appréciations depuis la neutralité vers les performances décevantes.
A Londres, le FTSE 100 a laissé échapper 0.07%, les établissement financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings s'est rétracté de 0.14%, et Lloyds Banking de 0.33%, Barclays et la Royal Bank of Scotland faisant bien pire avec 0.78 et 1.12%.
ARM Holdings, dont les microprocesseurs font tourner les iPhones d'Apple, était aussi sur la sellette, s'effondrant de 4.27% après que Morgan Stanley ait opté pour la neutralité à son égard.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont toutefois avancé, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton engrangeant 1.84 et 1.04%, imités par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.81 et 1.34%.
Les perspectives des marchés américains étaient modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.12% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.08%.
La zone euro comptait pour sa part divulguer à la mi-journée les chiffres officiels de son commerce extérieur.
Les Etats-Unis fourniront de leur côté dans l'après-midi leur volume de leurs ventes au détail, ainsi que l'évolution de leurs coûts de production, sans oublier un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.01%, et le DAX 30 allemand de 0.18%.
Ben Bernanke, à la tête de l'autorité monétaire des Etats-Unis, a en effet déclaré hier lors d'un discours sur la politique qu'elle mène qu'il n'était pas satisfait des performances de l'économie, malgré les quelques signes récents d'amélioration.
Le directeur de la Réserve Fédérale de San Francisco avait auparavant déclaré s'attendre à ce que les acquisitions d'actifs se prolongent "pendant une bonne partie du second semestre 2013".
Mais la nervosité restait de mise, à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever le plafond d'endettement du pays le mois prochain.
La finance était nettement à la peine, les français BNP PAribas et Société Générale plongeant respectivement de 1.91 et 1.64%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitant les dégâts à 1.33 et 1.62%.
Il en était de même à la périphérie, l'italien Unicredit trébuchant de 0.14%, suivi des espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.39 et 2.72%.
L'Air Liquide a sombré de 0.95% et la compagnie d'ingénierie Linde de 0.77% après que Merrill Lynch, appartenant à la Bank of America, ait rabaissé leurs appréciations depuis la neutralité vers les performances décevantes.
A Londres, le FTSE 100 a laissé échapper 0.07%, les établissement financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings s'est rétracté de 0.14%, et Lloyds Banking de 0.33%, Barclays et la Royal Bank of Scotland faisant bien pire avec 0.78 et 1.12%.
ARM Holdings, dont les microprocesseurs font tourner les iPhones d'Apple, était aussi sur la sellette, s'effondrant de 4.27% après que Morgan Stanley ait opté pour la neutralité à son égard.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont toutefois avancé, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton engrangeant 1.84 et 1.04%, imités par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.81 et 1.34%.
Les perspectives des marchés américains étaient modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.12% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.08%.
La zone euro comptait pour sa part divulguer à la mi-journée les chiffres officiels de son commerce extérieur.
Les Etats-Unis fourniront de leur côté dans l'après-midi leur volume de leurs ventes au détail, ainsi que l'évolution de leurs coûts de production, sans oublier un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.