Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mardi matin, dans l'attente de statistiques portant sur l'Allemagne, la nervosité étant palpable à l'approche de la réunion des ministres des finances de l'Union Européenne devant bientôt être entamée à Bruxelles.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,41%, le CAC 40 français de 0,37%, et le DAX 30 allemand de 0,30%.
Les interrogations se faisaient nombreuses après qu'un haut responsable de la Banque Centrale Européenne ait évoqué l'éventualité qu'elle adopte une valeur négative à son taux pour les facilités de dépôt.
L'attention se focalisait désormais sur la série de résultats économiques américains de la semaine, portant notamment sur l'activité du secteur secondaire, les lancements de chantiers, l'inflation et le moral économique.
La finance était aux abris, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank sombrant respectivement de 2,37 et 1,52%, suivis du français Société Générale avec 0,87%.
La première avait auparavant proposé à ses actionnaires d'y investir 2,5 milliards d'euros de capitaux supplémentaires, pour ce qui constitue sa ciqnuième levée de fonds en quatre ans, proposant d'acquérir 20 nouvelles actions pour toutes les 21 déjà détenues, à 4,5 euros chacune.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant de 0,19 et 0,27%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,29 et 0,15%.
Tout n'était cependant pas désespéré, EADS, maison-mère d'Airbus, bondissant de 1,58% grâce à des rentrées avant intérêts, impôts et frais exceptionnels atteignant 741 millons d'euros pour le premier trimestre, dépassant ainsi les estimations des experts.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,01%, tiré vers le haut par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 0,72 et 1,70%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 1,89%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking fléchissant de 0,15%, la Royal Bank of Scotland de 1,06% et Barclays de 1,17%, tandis que HSBC Holdings surnageait de 0,07%.
Mais parmi les bonnes nouvelles, Severn Trent, seconde plus gros fournisseur d'eau publiquement coté du pays, se portait en tête avec une envolée de 15,75% après avoir déclaré qu'un groupe composé de Borealis Infrastructure Management, du Kuwait Investment Office du Universities Superannuation Scheme lui avait proposé des négociations.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,10% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,12%.
Le centre de recherches économiques ZEW rendra quand à lui aujourd'hui un rapport très attendu sur le moral économique allemand, et la zone euro fera de même avec le volume de sa production industrielle.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,41%, le CAC 40 français de 0,37%, et le DAX 30 allemand de 0,30%.
Les interrogations se faisaient nombreuses après qu'un haut responsable de la Banque Centrale Européenne ait évoqué l'éventualité qu'elle adopte une valeur négative à son taux pour les facilités de dépôt.
L'attention se focalisait désormais sur la série de résultats économiques américains de la semaine, portant notamment sur l'activité du secteur secondaire, les lancements de chantiers, l'inflation et le moral économique.
La finance était aux abris, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank sombrant respectivement de 2,37 et 1,52%, suivis du français Société Générale avec 0,87%.
La première avait auparavant proposé à ses actionnaires d'y investir 2,5 milliards d'euros de capitaux supplémentaires, pour ce qui constitue sa ciqnuième levée de fonds en quatre ans, proposant d'acquérir 20 nouvelles actions pour toutes les 21 déjà détenues, à 4,5 euros chacune.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant de 0,19 et 0,27%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,29 et 0,15%.
Tout n'était cependant pas désespéré, EADS, maison-mère d'Airbus, bondissant de 1,58% grâce à des rentrées avant intérêts, impôts et frais exceptionnels atteignant 741 millons d'euros pour le premier trimestre, dépassant ainsi les estimations des experts.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,01%, tiré vers le haut par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 0,72 et 1,70%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 1,89%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking fléchissant de 0,15%, la Royal Bank of Scotland de 1,06% et Barclays de 1,17%, tandis que HSBC Holdings surnageait de 0,07%.
Mais parmi les bonnes nouvelles, Severn Trent, seconde plus gros fournisseur d'eau publiquement coté du pays, se portait en tête avec une envolée de 15,75% après avoir déclaré qu'un groupe composé de Borealis Infrastructure Management, du Kuwait Investment Office du Universities Superannuation Scheme lui avait proposé des négociations.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,10% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,12%.
Le centre de recherches économiques ZEW rendra quand à lui aujourd'hui un rapport très attendu sur le moral économique allemand, et la zone euro fera de même avec le volume de sa production industrielle.